• (1985) Chessy France

    (1985) Chessy France


    émoignage : premier mars 1985, Chessy France

    Voici un témoignage remarquable par son caractère atypique.



    Suite à son observation, Monsieur Claude C. à confié son témoignage à plusieurs associations et a fait une déposition auprès de la gendarmerie de Lagny (77).

    Le 1er Mars 1985, ayant accompagné une amie habitant la commune de Chessy 77, près de Lagny, je prends le chemin de retour vers Paris, il est 3 heures du matin. Arrivé sur la place du village, je remarque une vive lumière sur laquelle les arbres de la place se découpent en ombres chinoises. Intrigué, je pense à un tournage de film ou à un incendie, mais ne remarque aucune flamme. De cette place à la RN 34 (sortie centrale du village), il y a une centaine de mètres, bordés à ma droite d’un mur qui me cache ce "feu". Parvenu au Stop au bord de la Nationale 34, je découvre le spectacle dans toute son ampleur : une lumière vive, blanc brillant vers le centre, s’amenuisant en bordure pour se confondre avec la nuit, en forme régulière de demi-sphère, immobile, posée sur la RN 34 à environ 200 mètres de ma voiture. Après un moment d’observation, une minute peut-être, je décide de m’approcher prudemment après avoir pensé à la vue de ce spectacle insolite : "Ce n’est pas possible ; il n’y a tout de même pas une soucoupe volante dans le champ".

    Je m’approche lentement en lanternes, passé le chemin de la Communauté situé à gauche en direction de Paris, la lumière éclaire bien la route. A ma gauche, en bordure du champ, un curieux petit nuage de vapeur seul et isolé. J’avance encore, j’ai devant moi un mur de lumière qui se fait plus opaque, plus brillant, à ma gauche l’herbe du bas-côté de la route est devenue blanche, comme s’il avait neigé. Je fais plusieurs appels de phares mais la lumière dans laquelle je me trouve est bien plus puissante que ceux-ci. Je décide de continuer et pénètre au cœur de cette luminosité dans laquelle, à 3 h du matin, j’aurais pu lire le journal avec des lunettes de soleil. J’ai eu la désagréable impression d’être enfermé dans un tube de Néon. Remontant définitivement ma vitre avant gauche, j’accélère et me sors enfin de cette demi-sphère de lumière d’un diamètre d’environ 150 à 200 mètres, pour me trouver plongé dans une atmosphère verte, comme enfermé dans une bouteille de couleur verte. Je baisse ma vitre, penche la tête, au-dessus de moi une haute colonne de lumières vertes bien dégradées se découpe en trois tronçons verts sur fond de nuit. Je me trouvais à la base d’un quatrième tronçon. Hauteur totale environ 30 mètres, largeur environ 6 mètres. L’ensemble était d’une beauté féerique. Bien que ce ne soit pas mon genre, j’ai à ce moment une pensée mystique devant tant de beauté. Je continue et l’atmosphère verte fait place à une nuée de particules dorées, grosses comme des têtes d’épingles, bien équidistantes les unes par rapport aux autres, fixes, immobiles ne présentant aucune turbulences. Il y en avait partout sur un espace de quelques mètres. Puis l’aspect de la route redevient normal.



    Peinture faite par le témoin pour rendre compte de son observation

    A ce moment un souffle puissant, unique, fait vibrer la végétation, des bruits divers : masse creuse heurtant le sol, frottement d’une masse sur le sol et, à ma gauche, à l’orée d’un petit bois bordant le champ, une flamme s’allume de droite à gauche à 20 mètres de moi. Rassuré de découvrir la cause, je me dis que je n’avais pas rêvé et qu’il y avait bien du feu.



    Alors que je cherchais une place pour me garer pour aller voir de plus près cette rangée de flammes "comme un sillon de labour dans lequel on aurait versé de l’essence et enflammé", cette rangée de flammes, d’un seul coup, en 1 à 2 secondes, s’élève et s’éloigne à 100 mètres au milieu du champ ; sous les flammes se découvre un immense trapèze de couleur vert vif au centre, vert émeraude en bordure des angles d’environ 60°, haut comme un grand talus d’autoroute, ceci dans l’espace au-dessus du champ. A ce moment les flammes qui coiffent ce trapèze en dansant mollement laissent entendre, paradoxalement, une énorme intensité de feu "comme une forêt entière de bois sec qui brûle". Pas très rassuré, je quitte les lieux et rejoins Paris.



    Peinture du phénomène observé par Madame M., faite par Monsieur Claude C.

    Le lendemain soir, retrouvant à Paris la personne que j’avais accompagnée, celle-ci me dit d’emblée : "Oh, vous savez hier, dix minutes après votre départ, je ne dirais pas que j’ai vu une soucoupe volante mais, au-dessus de mon pavillon, est passé un disque plat comme une assiette, dix fois grand comme la Lune ". Ce qui, pour moi, confirmait ma toute première impression."

    http://www.paranormal-info.com/Temoignage-premier-mars-1985.html

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