• Rencontres avec des intelligences non humaines


    En France, comme dans beaucoup d’autres pays, un certains nombre de personnes rapportent avoir été enlevées dans leur voiture sur une route déserte, ou dans leur lit au milieu de la nuit, puis emmenées dans une étrange structure dans laquelle ils ont été traités comme sujets d’expérimentations médicales. Ces personnes affirment que l’environnement et les êtres impliqués sont physiques, et que ces expériences ne sont pas comparables à des expériences transcendantales. Toutefois, un nombre significatif de ces « expériences de rencontre » provoquent des transformations profondes avec les mêmes caractéristiques que celles développées dans les expériences psycho-spirituelles. Cependant, en raison du caractère répétitif et souvent traumatisant de ces « rencontres », la réponse thérapeutique doit ici comprendre et intégrer des techniques permettant la résolution de vécus traumatiques importants et durable.

     


     

     



     


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  • Un hôpital anglais hanté par le fantôme d'un soldat



    Terrorisés, les membres du personnel de l’hôpital n’ont eu de cesse que d’insister auprès de la direction pour que celle-ci fasse intervenir un exorciste : ils prétendaient en effet les couloirs et les salles de l’établissement de Derby (Angleterre) hantés par un fantôme vêtu de noir et au visage masqué, dont la présence perturbait considérablement leur travail.


    Contre toute attente, la direction de l’hôpital a cédé à leurs demandes réitérées.

    « Je prends les observations des membres de l’équipe au sérieux » a ainsi affirmé l’une des administratrices de l’hôpital, Debbie Butler, dans un mail adressé à l’ensemble du personnel. « Je ne veux pas que vous vous sentiez mal à l’aise au travail… »

    Debbie Butler leur annonçait également dans ce mail son intention de recourir aux talents de l’aumônier de l’hôpital pour « exorciser » leur « lieu de travail ».

    Une intervention efficace en dépit de l’inexpérience du religieux puisque le fantôme – l’esprit d’un soldat mort dans les locaux dans les années 20, selon l’expertise des spécialistes – a quitté les lieux sans se faire « prier »…

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  •  Le Président de la République serait-il un

    illuminati ?

     

    Quand trois petits points au bas d’une lettre font fantasmer le barreau de Paris…

     

     

    1- Dans son courrier du 15 octobre 2008, les trois points accompagnent la signature du président. 2 - La signature habituelle du chef de l'Etat, ici, dans une lettre aux forces armées signée le 30 mai 2008.


    "L’affaire" que l’on évoque en chuchotant dans les couloirs du palais de Justice de Paris remonte au 21 octobre dernier. Ce jour là, le très officiel bulletin de l’ordre des avocats de Paris publie le fac-similé d’une lettre de Nicolas Sarkozy adressée au bâtonnier Christian Charrière-Bournazel. Objet de la missive : la transposition en droit français d’une directive de Bruxelles relative à la lutte contre le blanchiment de fonds. Un sujet mineur. Car l’attention des plus fins observateurs se focalise sur la signature du Président. A l’œil nu, son paraphe comporte trois points en forme de triangle : c’est le signe distinctif des françs-maçons quand il s’adresse à un "frère" ! Etonnant, d’autant plus que la signature sarkozienne habituelle ne contient pas ce genre de figure géométrique (voir ci-contre).
    Que faut-il en conclure ? L’Elysée dément catégoriquement que le président soit ou ait été affilié, un jour, à la franc-maçonnerie. Et ce, même si plusieurs membres importants de son entourage, de Xavier Bertrand, l’homme fort de l’UMP à Brice Hortefeux, l’ami de trente ans, fréquentent ou ont fréquenté les loges. Le Château renvoie à la lecture de "La République, les religions ou l’espérance", un ouvrage que Nicolas Sarkozy, alors Ministre de l’Intérieur et des Cultes avait publié en 2004 pour expliquer son attachement à une "laïcité ouverte et apaisée". "Il est possible qu’il y évoque sa non-appartenance à ce courant de pensée", croit se souvenir un porte-parole. Mais la référence n’est guère probante. Vérification faite, dans cet ouvrage, le futur président de la république fait l’impasse sur la franc-maçonnerie. Même s’il se dit "membre de l’église catholique", ce qui, en creux, semble exclure une appartenance à la fraternité des "trois points".
    Le mystère demeure donc : pourquoi le président de la République a-t-il apposé ce qui ressemble à un signe maçonnique aux côtés de sa signature ? Etait-ce un clin d’œil à l’Ordre des avocats, peuplé de nombreux maçons ? Ou bien un simple glissement de sa main au moment de tracer les lettres "ico" de son prénom "Nicolas" ? Les avocats initiés n’ont pas fini de plancher…

    Olivier Toscer


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