• Cas d'observation d'ovni dans l'antiquité et notre histoire


    Cas d'observation d'ovni dans l'antiquité et notre histoire

    "On remarquera qu'au plus fort de l'avancement des inventions terrestres , on constatera un nombre accru de témoignages concernant les ovnis ." Cet argument, qui semble suggérer que les ovnis sont des inventions des hommes et que ces mensonges se sont multipliés avec les découvertes technologiques, est "idiot". En effet, il faut bien évidemment prendre en compte le fait qu'au début de notre histoire les hommes ne disposaient d'aucun moyen d'expression comparable à ce que nous appelons "une terminologie technique". Le témoin va décrire ce qu'il a vu avec des mots simples qui lui sont familiers et possédant une signification précise dans son esprit en dépit de son aspect métaphorique, si proche des contes de fées!! Ainsi pour l'homme primitif l'avion sera un "gros oiseau"; pour les hommes du Moyen Age un astronef serait selon les cas, un "dragon volant", un "navire céleste" ou "un vaisseau du diable". Bref, je vous laisse imaginer les implications de cette théorie en ce qui concerne la bible le coran et les légendes antiques!



    1) Etranges jours anciens (intro)

    2) Période de l'an 480 avant notre ère à l'an 999

    3) Période de l'an 1000 à fin 1599

    4) Période de l'an 1600 à fin 1799

    5) Période de l'an 1800 à fin 1879

    6) Période de l'an 1880 à fin 1899

    7) Période de l'an 1900 à fin 1919

    °Période de l'an 1920 à fin 1939


    votre commentaire
  • De la présence d'aéronefs dans les textes traditionnels indiens


    I Introduction

    "On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."(Paroles de l' ECCLESIATE chap.1 vers.11.)
    Cette citation semble parfaitement s'appliquer au contenu des textes sanscrits de l'Inde décrivant des faits à peine croyables.
    II La genèse de l' affaire.


    En effet l'Académie internationale de recherche de Sanscrit de Mysore ville de l'état du karnätaka en Inde a publié, en huit chapitres, un rapport intitulé "VYMAANIDASHAASTRA AERONAUTICS" signé Maharishi Bharadwaaja traduit en anglais en 1979 et imprimé par MGR Josyer Mysore directeur de cette Académie, en Inde et dérivé d'un manuscrit datant de plusieurs millénaires qui décrivait déjà à cette époque, l'art de fabriquer divers types d'aéroplanes destinés à "voyager confortablement dans le ciel et aussi à établir des liens avec tout l'univers pour le bien-être de toute l'humanité."
    Ces véhicules appelés "vimanas" peuvent se mouvoir par leurs propres moyens sur l'eau et dans les airs et même de planète à planète.Ils peuvent faire du surplace haut dans le ciel et ont des dispositifs de camouflages très perfectionnés. Ils sont équipès de dispositifs de détection des appareils ennemis et peuvent même aussi les photographier (Vous avez bien lu... De la photo il y a des milliers d'années?). Ces vimanas sont des appareils constitués de trente et une pièces indispensables et construites de 16 espèces de métaux différents.
    Les pilotes de ces véhicules aériens doivent de plus utiliser des combinaisons différentes et ils doivent suivre un régime alimentaire particulier, tout cela, en fonction des saisons. La nourriture se présente exclusivement sous cinq formes différentes(grains cuits, gruaux, pate ,pain et extraits), aliments sains et reconstituants, et dont la programmation permet d'éviter vingt-cinq sortes de toxines qui empoisonnent l'organisme.
    Qui pourra encore dire, devant ce luxe de détailsque nous donne ce vieux manuscrit, qu'il ne s'agit là en fait que d'une oeuvre de fiction sans grand intérêt, alors que des chercheurs patentés l'ont trouvé suffisamment passionnant pour en tirer un rapport remarquable?
    Il y a de plus dans les textes des traditions indiennes d'autres descriptions étonnantes comme celles du Ramayana et du Mahabharata décrivant les méfaits époustouflants des Dieux indiens se disputant la suprématie sur la Terre à coups d'armes si terrifiantes qu'elles dépassent de loin nos premières bombes atomiques. Par exemple, on trouve dans le Dronaparva: " Jarasandha pris de couroux lança sur nous, pour nous détruire, un projectile capable de tuer toutes les créatures de la Terre. Projetant une lumière éclatante, cette masse de feu partagea le firmament en deux, comme une raie sépare les cheveux sur la tête. Quand il aperçut l'objet flamboyant, le fils de Rohimi lança contre lui l'arme appelée Sthunakarma; et cette arme détruisit la puissance du projectile adverse, qui s'abattit sur la terre et la fendit en faisant trembler les montagnes".(Extraits du livre: Astronautes de l'Ancien Orient de W.R.DRAKE chez A. Michel dans la collection "les Chemins de l'impossible" 1976.
    III Conclusion


    Tout cela, nous montre bien, une fois de plus, que les mythologies des peuples recèlent des trésors inestimables de connaissances sur le passé de notre planète qui semble avoir été beaucoup plus extraordinaire que l'on ne se l'imagine habituellement.
    Rappelons à nouveau pour finir, quelques paroles de l'Ecclésiate qui illustrent encore bien notre propos:
    "Ce qui a été, c'est ce qui sera et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y rien de nouveau sous le soleil." Chap. I vers.9.
    Mais il y a encore mieux:
    " S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés."ChapI.vers.10.

    Celui qui a élaboré le texte de l'Ecclésiate faisait-il assaut d'imagination, ou avait-il eu accès aux "Annales akashiques", si chères aux "initiés indiens et tibétains" , qui est cette sorte de "mémoire de l'Univers" et qui enregistre tout ce qui s'y passe ?

    Pour ceux qui veulent en savoir plus et qui lisent l'anglais, prière de se reporter à l'ouvrage du Dr Hatcher Childress "Ancient Indian Aircraft Technology from The Anti-Gravity Handbook" available from Aventures Unlimited Press Post Office Box 22 Stelle, IL, USA; 60919-9989(815) 253-6390.


    IV Prolongement révélateur significatif en date du 17/01/07.

    L' auteur Peter Kolosimo, est né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que des savants soviétiques. Il a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

    C'est dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible", que fut publié en 1974 l'ouvrage remarquable :



    et où l'on découvre en page 81 ce passage surprenant suivant :

    " Quelques médecins établis en Orient, s'inspirant du livre de la sagesse antique, ont trouvé des remèdes très efficaces contre les troubles circulatoires et certaines formes de la tuberculose. Le professeur Angelo Viziano, qui a étudié de très près la médecine indienne, a décrit les pouvoirs surprenants d'une herbe dite balucchar dont le suc "calme, donne le sommeil seulement en le passant sur le cuir chevelu". Il a aussi parlé de "dérivés de végétaux inconnus " que les docteurs hindous emploient "contre le diabète à la place de l'insuline".

    Si les Russes cherchent à voir clair sur ce sujet, ils n'ont pas tort. Si nous en avions la possibilité, nous nous précipiterions nous aussi pour jeter un coup d'oeil sur ces mystérieux Hindous ; nous aussi nous irions volontiers "faire un tour sur le Dhurakhapalam" comme me le disait quelqu'un qui s'occupe de la question.

    Le Dhurakhapalam était un extraordinaire appareil que les Russes d'aujourd'hui ont connu grâce aux archives laissées par le tsar Nicolas II qui s'intéressait passionnément aux recherches d'un Français nommé Sédir, expert en sciences occultes. Dans un livre intitulé "Initiations", Sédir a décrit la rencontre de son gourou avec les inventeurs et les pilotes du mystérieux véhicule. Les archives privées du tsar Nicolas II sont encore tenues secrètes et cela est fort dommaQe car elles doivent contenir des détails beaucoup plus précis sur le fabuleux engin.

    Si nous voulons rejoindre le "Cap Kennedy sacré des Indes ", nous devons encore une fois revenir aux légendaires galeries caril s'élève sur une inaccessible ville morte du Deccan où seuls les initiés ont le droit de pénétrer en empruntant un tunnel creusé â la base du sommet d'une montagne.

    Les moines de ce singulier ermitage auraient connu, entre autres choses, un système pour "isoler les métaux du magnétisme terrestre", leur faisant acquérir d'extraordinaires propriétés, les rendant transparents et possesseurs d'une charge de mystérieuse énergie. Pour arriver à ce résultat, ils auraient travaillé sans interruption avec de petits marteaux spéciaux dont la résonance avait une importance primordiale dans l'accomplissement de la transmutation.

    C'est de cette manière qu'aurait été fabriqué le Dhurakhapalam, un cube transparent aux reflets dorés dont les côtés mesuraient environ un mètre cinquante. "A l'intéreur, explique Sédir, le pilote est assis sur une petite caisse pleine de cendre de laurier au pouvoir isolant. II a devant les yeux un disque d'or bruni à travers lequel il contrôle sa route. Ses seuls instruments sont deux leviers de cristal reliés par des fils d'argent à un accumulateur d'énergie sonique."

    C'est principalement grâce à cette force inconnue que le cube se meut, bien que tous les éléments de la mystique hindoue contribuent à sa montée vers le ciel. C'est dans un bruit formidable de tempête que le dhurakhapalam disparaît à la vue lorsqu'il s'en va vers les mondes inconnus. Il voyage dans l'hyperespace, décrit comme "un néant gris traversé par des bandes lumineuses et par des explosions blanchâtres", il émerge, il se déplace à une vitesse vertigineuse allant de planète en planète, de soleil en soleil, de galaxie en galaxie.

    Les Soviétiques sont-ils en train de chercher à s'emparer de ce genre de secrets ? Nous, nous ne croyons pas qu'ils prêtent vraiment une oreille très attentive aux récits que l'on fait autour du dhurakhapalâm, mais il serait possible qu'ils aient envie de savoir si cette légende ne reposerait pas sur un fond de réalité qui pourrait les amener à une grande découverte scientifique.


    Fin de citation.
    Source : http://www.artivision.fr/docs/aeronef.html


    votre commentaire
  • Ovnis à Paris en 1621


    Un mois avant les faits survenus dans le ciel de Lyon en octobre 1621, puis à Nîmes et Montpellier, (voir article consacré aux ovni à Lyon en 1621) Paris avait connu des faits similaires.



    12 septembre 1621, de neuf heures du soir à deux heures du matin, en France, les Parisiens assistent à une sorte de combat aérien entre des boules et des lances volantes.

    « A Paris, par un temps clair et serein, on observe dans le ciel de très grandes lumières, aussi ordinaires que lorsque la Lune est pleine, combien que lors elle fut très faible et au 5ème jour de son dernier quartier, auquel elle ne luit nullement. Entre ces lumières ainsi extraordinaires, diverses petites nuées blanches apparaissent, lesquelles comme par escadrons séparées les unes des autres, viennent après a donner l'une dans l'autre d'une vitesse prodigieuse, après public quoi disparaissant, d'autres se présentent et aux approches envoient comme formes et manières de lances et de flèches les unes contre les autres, de même que des escadrons qui viennent furieusement au choc, et après s'être quelque peu combattus se perdent et ne paraissent plus. Ceux de Montmartre et Saint Denis en France, et plusieurs autres personnes qui pour lors sont à la campagne ont dit de plus, que parmi ces combats et ces nuées blanches, qui rendent l'air aussi clair qu'en plein midi, parait comme une grande tente ou pavillon de camp et de guerre, contre lequel de plusieurs nuées sortent des lances et des flèches, qui sont lancées là-dessus, comme si c'est un fort que l'on va assaillir et combattre, ce qui dure l'espace de plus de 1 h au moins ; puis cela aussi tôt disparaissait de même qu'il est arrivé. On suppose que cela est le présage de quelque trouble du côté de la Turquie ou de l'Allemagne. Cela n'a pas seulement paru sur la ville de Paris, mais aussi aux environs de celle-ci se sont vus d'autres prodiges. Certains habitants du pont de Neuilly, gens dignes de foi et de confiance, assurent avoir vu sur les dix heures le soir à onze heures, ainsi comme ils étaient sur le pont, outre les apparitions susdites, une nouvelle comète chevelue, pas du tout aussi grande que celle qui parut en divers pays il y a quelques années, laquelle se vit l'espace d'environ deux heures et demie, au milieu de quelques nuées claires et lumineuses. »

    Saugrain, Abraham: Les signes et prodiges, apparus sur la ville de Paris, Sainct Denys & autres lieux. Le soir du Dimanche douziesme Septembre 1621


    http://marie.roca.over-blog.com/categorie-10484490.html


    votre commentaire
  • Phénomènes célestes à Lyon dans la nuit du 12 octobre 1620

     

    Source : journal d’un lyonnais sous Louis XIII

    Extrait du journal d’un lyonnais témoin de son temps sous le règne de Louis XIII.

    « De nouveaux et inexplicables phénomènes célestes qui me remettent en mémoire ceux qui furent observés par les Genevois le dimanche des Rameaux en 1620, provoquèrent l’émoi des Lyonnais, et je dois bien dire que je partageai leur frayeur. Dans la nuit du 12 octobre 1621, à Lyon vers huit heures du soir, la lune étant à son dernier quartier, le ciel commença à s’éclaircir du côté du Levant. Ce phénomène dura une heure et demie et il faisait en cette nuit aussi clair qu’aux plus beaux jours de l’été. Les Lyonnais sortirent de chez eux pour voir cette étonnante clarté du ciel et ils s’en effrayèrent, car elle était hors le cours de la nature. Ils virent aussi sur la place Belle-Court comme une montagne dont le sommet était illuminé par des éclairs. Cela semblait couvrir le quartier de la Porte du Rhône, de Saint-Michel, la rivière de Saône et se prolonger jusqu’au FAUBOURG saint-Georges. Du côté de la Place des Terreaux cinq cents personnes au moins aperçurent au-dessus de leurs têtes, à hauteur des nuages, comme des gens d’armes à cheval. Devant cette troupe, il y avait une étoile fort lumineuse qui paraissait la conduire. Elle était plus grande et plus claire que celles que l’on voit ordinairement au ciel. Devant ce soleil de la nuit Lyon toute entière fui illuminée et les gens, saisis de panique, fuyaient de tous côtés, croyant que c’était là le premier signe de la fin du monde. Il en est qui virent du côté de la Guillotière, parmi d’autres prodiges, une lance de feu ardent qui jeta ses flammes sur la ville jusqu’au lever du jour, lequel mit fin à cette nuit d’épouvante. Ce même soleil resplendissant dans la nuit, fut aperçu vingt-quatre heures plus tard au-dessus de l’Amphithéâtre et du Capitole de Nîmes, accompagné de chars de feu entourés d’étoiles qui brillaient d’un étonnant éclat. La relation de ces faits étranges, observés par des dizaines de personnes, eut un retentissement considérable dans tout le Royaume et à l’étranger. »


    votre commentaire
  • Ovni à Genève en 1811

     

    Texte laissé en langage d’époque :

    Trouvé dans une brochure parue en 1620 intitulée:
    "Effroyable bataille appercueue sur la ville de Genesvre le dimanche des Rameaux dernier..."

    Le témoin raconte :
    "On a veu deux soleils, l'un rouge et l'autre jaune qui se sont entreheurtez...Un peu après est apparue une nuée longuette comme un bras, venant du costé du soleil, laquelle s'est arrestée près dudict Soleil, de cette nuée est sorty un grand nombre de gens habillé de noir, et armez comme gens de guerre... et puis voilà qu'arrivent des nuées jaunes comme du safran, desquelles nuées sont sorties des réverbérations ressemblant à des grands chapeaux haults et larges et s'est monstré toute la terre jaune et sanglante..." Le soleil se dédoubla et tout se termina en une pluie de sang. »

    En 1621, année des témoignages sur les ovnis à Lyon et Paris, toujours à Genève on signale :

    « La présence d'une croix dans le ciel de Genève est signalée le 28 juillet 1621, croix qui jetait des flammes comme pour embraser la ville et ses alentours. »



    Toujours à Genève en 1811



    « Le 11 mai 1811, à 8h35, à Genève, de nombreuses personnes dont des membres de la faculté des sciences, ont soudain vu un flash de lumière dans le nord-est. Ce flash prit ensuite la forme d'un fer à cheval.. Il s'avançait vers l'est et semblait être deux fois aussi haut que les montagnes du Jura.

    Un témoin qui l'examina au télescope affirma que ce trait lumineux était composé de plusieurs parties séparées. »



    Genève encore en 1831



    Du 6 septembre au 1er novembre 1831, le Dr Wartmann et le personnel de son observatoire à Genève remarquent, nuit après nuit, d'étranges corps lumineux. Ces corps ne furent observés nulle part ailleurs.



    Toujours en Suisse et encore plus loin dans le temps !



    En 1104, Wolffart rapporte qu'en Suisse, "des torches ardentes, des traits de feu, du feu volant, furent souvent vus. Et il y avant, proches des étoiles, comme des essaims de papillons et de petits vers ardents de nature étrange. Ils volèrent dans les airs et obscurcirent le Soleil comme auraient fait des nuages"



    En Suisse encore :

    Une procession de "globes immenses" survole la Suisse le 2 novembre 1761.



    1566 en Suisse : De nombreux citoyens de Bâle (Suisse), effarés, peuvent voir dès l'aube pendant plusieurs heures des sphères noires se livrant à une formidable bataille aérienne, envahissant le ciel de leur cité : "Le 7 août, à l'heure du lever du soleil, on a vu dans l'air beaucoup de grosses boules noires qui se dirigeaient à grande vitesse vers le soleil, puis qui firent demi-tour, s'entrechoquant les unes les autres comme si elles menaient un combat, un grand nombre d'entre elles devinrent rouges et ignées, par la suite elles se consumèrent et s'éteignirent" écrivit Samuel Coccius, l'étudiant en "écritures sacrées et en arts libéraux" qui consigna les étranges événements dans la gazette de la ville.



    En 1619, à Flüelen, un énorme objet allongé et de couleur de feu est vu près d'un lac par le professeur Christopher Scherer, préfet du canton d'Uri: "M'étant attardé sur le balcon pour admirer la pureté du firmament, je vis un brillant dragon de feu sortir de l'une des cavernes du mont Pilate et se diriger rapidement vers Flüelen à l'autre extrémité du lac. Il était énorme, sa queue longue et son cou tendu... ll laissait derrière lui, en volant, de nombreuses étincelles... Je crus d'abord voir un météore, puis, en regardant plus attentivement, je fus co nvaincu par son vol... que je voyais un véritable dragon."



    « Le 23 mars 1763, on aperçut à l'occident de Lausanne, une demi-heure après le coucher du soleil, une lumière en forme de colonne verticale qui, à la hauteur d'environ 10 degrés, se courboit de manière que sa partie supérieure faisoit avec l'horizon un angle à peu-près de 35 degrés & avec la partie inférieure un de 125 degrés: cette partie coudée n'avoit pas plus de 3 degrés de longueur, tout le phénomène avoit environ 2 degrés de largeur et se terminoit par l'un & l'autre bout en pointe.
    La couleur de ce phénomène approchoit fort du jaune orangé, elle étoit beaucoup plus faible aux deux bouts et aux bords; on distinguoit aisément les couleurs, malgré un nuage assez clair qui coupoit horizontalement la colonne lumineuse en deux endroits.
    Le phénomène entier dura environ trente minutes; & avant que de disparoître, il devint d'un rouge fort clair.
    Ce détail est tiré de l'observation qu'en a faite M. de Rostan et qu'il a communiquée à l'académie. »

    Mes remerciements au site auquel j’ai emprunté ces données :

    http://www.ovni-suisse.ch/catalogue-observations/42-

    http://marie.roca.over-blog.com/categorie-10484490.html


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique