• L'archevêque de Lyon, Agobard en l'an 840

     

    OVNI et extra-terrestre à LYON en l'an 840

    Se texte à été écrit par l'archevêque de Lyon, Agobard en l'an 840. Il fait état de quatres personnes, venat d'un endroit appelé Magonia, en bateaux qui naviguent dans les nuages. On trouve sur internet bien des sites se référent à cet incident, mais avec des dérives extraordinaire sur la traduction comme des aliens a large tête, oreilles pointues et yeux proéminants, qu'ils sont descendus du ciel, etc. ou comme ce genre de jolie passage:

    « Il est rapporté qu'Agobard, évêque de Lyon, réussit à sauver du bûcher trois hommes et une femme, descendus d'une nacelle aérienne, prétendant être de retour sur Terre après avoir été enlevés par des êtres célestes qui leur auraient montré des merveilles. »
    — Le phénomène OVNI, rapport du Service d'Expertise des Phénomènes Rares Aérospatiaux - CNES, p. 57



    Point de tous cela mais juste une intérogation sur la description de l'archêque sur leurs moyen de transport:

    .... d'où les bateaux naviguent dans les nuages .... A quoi ce réfère l'évêque. Nous parle t'il de ''Vaisseau spaciaux, de bouclier volant.


    "Nous avons vu et entendu beaucoup d'hommes plongés dans une telle grande stupidité, tombés dans de telles profondeurs de folie, qu'ils croyaient qu'il y a une certaine région, qu'ils appellent Magonia, d'où les bateaux naviguent dans les nuages, afin de porter de nouveau dans notre région ces fruits de la terre qui sont détruits par la grêle et les tempêtes; et des marins versent des récompenses à ces magiciens de l'orage (tempestarii), et reçoivent en retour du maïs et d'autre produits.

    "Parmi le nombre de ceux dont la folie aveugle était assez profonde pour leur permettre de croire ces choses possibles, j'ai vu plusieurs exhibitions dans un certain attroupement de gens, quatre personnes étant dans les liens - trois hommes et une femme - qui ont dit qu'ils sont tombés d'un tel vaisseau, après les avoir maintenues pendant quelques jours en captivité, elles avaient été présentées devant la foule assemblée, comme je l'ai dit, en ma présence, pour les lapider Mais la vérité a fini par triompher."


    Voici texte latin original:

    1, 146: Plerosque autem vidimus et audivimus tanta dementia obrutos, tanta stultitia alienatos, ut credant et dicant, quandam esse regionem quae dicatur Magonia, ex qua naves veniant in nubibus, in quibus fruges quae grandinibus decidunt et tempestatibus pereunt, vehantur in eandem regionem, ipsis videlicet nautis aëreis dantibus pretia tempestariis, et accipientibus frumenta vel ceteras fruges. Ex his item tam profunda stultitia excoecatis, ut hoc posse fieri credant, vidimus plures in quodam conventu hominum exhibere vinctos quatuor homines, tres viros et unam feminam, quasi qui de ipsis navibus ceciderint: quos scilicet, per aliquot dies in vinculis detentos, tandem collecto conventu hominum exhibuerunt, ut dixi, in nostra praesentia, tanquam lapidandos. Sed tamen vincente veritate post multam ratiocinationem, ipsi qui eos exhibuerant secundum propheticum illud confusi sunt, sicut confunditur fur quando deprehenditur. "De Grandine at Tonitrua", par Agobard, Archevêque de Lyon. "Passport to Magonia",


    par Jacques Vallee.



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  • Trois phénomènes étranges dans les cieux de France en 1820 et 1825


    Les trois observations de phénomènes célestes qui suivent, sont extraites d’une communication du savant François Arago publiée dans « les Annales de physique et de chimie » de 1825.


    LETTRE ADRESSEE AU PRESIDENT L’ACADEMIE DES SCIENCES PAR LE SOUS-PREFET D’EMBRUN (VAR) LE 05 OCTOBRE 1820.

    Le hasard a voulu me rendre spectateur d'un phénomène que je crois nouveau, et qui m'a paru intéresser la physique et l'astronomie. Sous ce double rapport, il m'est venu dans la pensée de le porter à votre connaissance : voici, Monsieur le Président, le fait tel que je l'ai vu, vous jugerez après si je ne me suis point fait illusion, et dans ce cas, je vous prie de regarder la présente comme non avenue, d'autant plus qu'il est bien loin de mon intention de m'afficher à propos de rien. Le 7 du mois dernier, sur environ une heure trois quarts du soir, après avoir comme tout le monde, observé l'éclipse de soleil, il me prit l’envie d'aller me promener dans les champs. En traversant la ville, je vis d'abord sur l'une de ses places publiques, un groupe assez nombreux d'individus de tout sexe et de tout âge, qui avaient les yeux fixés sur le soleil. Parmi ce groupe, je remarquai seulement un jeune étudiant en droit, nommé Cézanne mais tout préoccupé encore de l'éclipse, je passais sans remarquer que, dans la position où était ce jeune homme ainsi que les personnes qui l'entouraient, il ne pouvait
    pas apercevoir le soleil ; ce qui me laissa dans la croyance que tout ce monde observait l'éclipse, comme je venais de le faire. Plus loin, je rencontrai un pareil groupe ayant également les yeux tournés vers le soleil ; mais comme cette fois-ci je fis attention que les individus composant ce groupe étaient dans une rue et tout à fait à l’ombre, je compris qu’ils regardaient autre chose que l’occultation du soleil, et dès lors il me vint à l’idée de questionner le sieur Thommé, artiste vétérinaire, qui en faisait partie, pour savoir de lui l'objet qui fixait ses regards. Il me répondit : nous regardons les étoiles qui se détachent du soleil.
    — Que dites-vous là?
    — Oui, Monsieur; mais voyez vous-même, ce sera plus court.
    Je regardai et je vis, en effet, non des étoiles, mais des globes de feu du diamètre des plus grosses étoiles, qui étaient projetés, en divers sens de l'hémisphère supérieur du soleil avec une vitesse incalculable ; et bien que cette vitesse de projection parût la même pour tous, tous néanmoins n'atteignaient pas la même distance.
    Ces globes étaient projetés à des intervalles inégaux et assez rapprochés. Souvent plusieurs l’étaient à la fois, mais toujours divergents entre eux : les uns parcouraient une ligne droite et s'éteignaient dans l'éloignement; quelques-uns décrivaient une ligne parabolique et s’éteignaient de même; d'autres enfin, après s’être éloignés à une certaine distance en ligne directe, rétrogradaient sur la même ligne, et semblaient rentrer encore lumineux dans le disque du soleil. Le fond de ce magnifique tableau était d'un bleu de ciel un peu rembruni.

    Voilà, Monsieur le Président, ce que j'ai vu et ce que j’atteste en même temps qu'un très grand nombre d'autres personnes de la ville, qui l'attesteraient au besoin; mais pour vous donner une idée plus précise, ou plutôt pour rendre plus sensible à l'imagination l'aspect de ce merveilleux phénomène, j'ai cru en devoir le faire dessiner tel que je viens de le décrire,( le dessin n'est pas disponible dans la communication de F. Arago) afin que, dans la supposition où jusqu'à présent il serait resté inaperçu , les astronomes et les physiciens puissent l'observer eux-mêmes avec toutes les précautions convenables, lors des plus prochaines éclipses de soleil. J'oubliais de dire qu'au moment de mon observation, j'étais placé à l’angle d'une maison qui m'empêchait de voir le soleil, et que mon rayon visuel, passant par l'arête du toit, aboutissait à un point peu éloigné du bord de l'astre. L'éclipse était alors sur son déclin.
    Vous comprendrez sans peine, Monsieur, quel a dû être mon étonnement à la vue de ce spectacle si majestueux, si imposant et si neuf pour moi : il me suffit de dire qu'il ne m'a plus été possible d'en détacher la vue qu'alors que j'ai cessé de le voir, ce qui est arrivé peu à peu, à mesure que l'éclipse décroissait, et que les rayons solaires ont eu repris leur éclat habituel. C'est aussi ce qui est arrivé aux personnes présentes; l’une desquelles a ajouté, au moment où je me suis séparé du groupe : que le soleil lançait plus d'étoiles, alors qu'il était plus pâle. » (Ce sont ses expressions.)
    Revenu de l'étonnement où m'avait jeté cet admirable phénomène, j'ai voulu savoir des deux personnes marquantes que j'avais distinguées dans les deux groupes de spectateurs dont je viens de parler, par qui et comment elles en avaient eu connaissance, Le sieur Thommé m'a répondu qu'en sortant de son écurie, une femme du peuple lui avait crié :
    « Venez donc, M. Thommé, venez voir les flammes de feu qui sortent du soleil. »

    Qu'à cette invitation s'étant approché, il avait vu, pour la première fois de sa vie, ce qu'il m'avait mis dans le cas de voir moi-même; et le jeune Cézanne m'a dit que c'était des enfants de dix à douze ans qui, les premiers, s'en étaient aperçus ; lesquels, émerveillés de la chose, avaient crié :
    «Venez voir, venez donc voir! »

    Et qu'ainsi s'était formé le groupe devant lequel j'avais passé peu de temps après : qu'il ne m'avait rien dit parce qu'il lui était venu dans la pensée que le phénomène qui excitait en ce moment son admiration, devait être connu de moi.
    J'ai l'honneur d'être, etc...

    Le Sous-préfet d’Embrun,

    J.H. Serres.

    P.S. Depuis que cette lettre est écrite, j'ai su de la bouche même de M. Fouré, ingénieur des Ponts et Chaussée de cette résidence, que ce fonctionnaire public à eu l’occasion d’observer comme moi le phénomène
    dont il s’agit, et il l’attestera si on l’exige.

    UN POINT LUMINEUX QUI SE DEPLACE DE BAS EN HAUT DE MANIERE SINUEUSE.

    M. Hansteen rapporte que pendant qu'il observait la polaire, le 13 août 1825, à 11 heures un quart du matin, il vit passer dans le champ de sa lunette un point lumineux dont la lumière était plus vive que celle de l'étoile. Son mouvement apparent se faisait de bas en haut, il était lent et un tant soit peu sinueux. M. Hansteen pense que c'était une étoile filante.

    DECEMBRE 1825 : UN GLOBE DE FEU STATIONNAIRE AU DESSUS DE BERLIN.

    Le 1er décembre 1825, à 5 heures de l'après-midi, on aperçut à Berlin un globe de feu de la grosseur de la pleine lune. Sa lumière était terne et rougeâtre, il disparut sans laisser aucune trace et sans avoir changé de place.

    Réferences:
    Annales de physique et de chimie.
    Par M.M. Gay-Lussac et Arago.
    Tome trentième. 1825
    Pages 416 à 420

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  • Sedan novembre 1615 étranges apparitions


    Ces phénomènes, qui se déroulèrent dans cette grande ville des Ardennes, méritent de retenir notre attention. Les textes rédigés, à l’époque, évoquent pour nous certaines manifestations ufologiques des temps présents !

    Signes épouvantables dans le ciel de Sedan – synthèse simplifiée

    Le huitième Novembre 1615, à vingt trois heures du soir il fut observé d’étranges lumières dans le ciel de la ville de Sedan : l’une avait la forme d’une immense lance rouge le feu : L’autre était plus lumineuse et avait la forme d’un petit Balai. Celles-ci furent aperçues par la sentinelle qui était de garde ce soir là. Celle-ci fut tellement épouvantée à la vision de ces deux lumières dans le ciel, qu’elle en prit peur et abandonna son poste.

    L'homme était tellement apeuré que son cri ameuta toute la communauté villageoise cette dernière étant persuadée qu’un ennemi venait pour l’attaquer. Hommes et femmes sortirent de leur maison.

    Les hommes ce rendirent à l’arsenal pour se munir de leurs armes tandis que les femmes allumaient des feux un peu partout afin de faire fuir les étranges lumières démoniaques...


    Les capitaines couraient et s’afféraient sur les remparts du château pour voir au dehors quelque troupe ennemis, mais ils ne virent et n’entendirent rien aux environs de la vallée bordant le périmètre du château.


    Les gens de la ville furent épouvantés par ces deux lumières qui évoluaient dans l'espace.

    Le gouverneur fit appeler ses capitaines sur le champ afin de leur demander ce qu’elles étaient les raisons de ce raffuts.


    Les sieurs de Chaumarests et de Rochecourbe, lui répondirent que la sentinelle était morte de peur en se présentant au corps de garde...


    Après avoir débattu avec ses capitaines de cette singulière histoire, Le gouverneur resta très songeur.


    Les capitaines furent tout à coup surpris par un bruit qui venait de l’extérieur, ce bruit était semblable à une fusée qui aurait été jeté en l’air. Le regard des militaires fut soudainement attiré vers le ciel. Ils virent « un être de flammes », il avait une grande chevelure et tenait une très grande « lance ardente » comme un flambeau.

    Une demi-heure plus tard, arrivèrent deux autres hommes de flammes. Tout deux étaient solidement harnachés sur de grandes montures ardentes.

    Les capitaines, non qu’ils fussent sans peur engagèrent un combat contre ces êtres de lumière. Le combat fut soutenu assé longuement et les êtres furent rapidement mis hors d’état de nuire.

    Cependant un des êtres qui fut terrassé par un des capitaines, qui lui trancha la main tenant une « épée tout flamboyante ». L'arme tomba dans la rivière de la Meuse.



    Hommes et femmes levaient les yeux au ciel afin d’implorer la miséricorde du Seigneur. Puis on ferma les portes du village…

    La nuit suivante fut encore plus effroyable que la précédente.

    Toujours vers les vingt trois heures, il fut entendu par la population, une sorte de vrombissement identique à celui que ferait un torrent qui s’abat du haut d’un précipice. Ce bruit semblait également mêlé d’un son qui rappelait un rugissement de lion, un mugissement de taureau ainsi que de hennissements de chevaux et de cris humain…
    [i]Ce qui confina les villageois dans une terreur effroyable. Vers les Minuit une tornade s’abattit sur le village et le château en détruisant sur son passage de nombreuses habitations.
    [/i]

    A une heure du matin la tornade s’atténua mais non l’émoi du peuple.A une heure et demie, il se fit entendre dans la ville le bruit d’un chariot allant à vive allure. Les gens se mirent aux fenêtres. Ils virent un bien étrange spectacle :
    [i]un chariot traîné par trois grand animaux, quasi identiques à des éléphants mais blancs comme neige, ils avaient les yeux plus gros que la tête d’un homme.

    Le char était de couleur rouge feu il avait la forme d’une cuve à lessive dans laquelle se trouvait le conducteur. « Un monstre » semblable à un homme mais grande taille: Il avait la tête deux fois plus grosse qu’un homme, sa figure était de couleur jaune safran, il possédait un gros nez épaté. Sa bouche se trouvait sur sa poitrine qui était extrêmement velue. Il n’avait pas de barbe et ne possédait qu’un œil au milieu du front…
    [/i]


    Le monstre hideux jetait des cris épouvantables et fit trois le tour des grandes rues du village.
    [i]IL croisât une garnison et le monstre les menaçât, la garnison prit peur et se sauva. Puis celui-ci arriva à la grande place du marché, il s’y arrêta et jeta un cri si strident et si terrifiant qu’il terrorisa la ville tout entière…
    [/i]

    Quand le jour fut venu, les gens purent constater que sur la place du marché il n’y avait plus qu’un grand monceau de cendres à l’emplacement ou le monstre s’était arrêté, et ses restes furent jetés dans la Meuse…


    Sedan retrouva sa tranquillité et n’entendit et ne vit plus jamais ces épouvantables phénomènes.

    SOURCE : OVNI dans le ciel médiéval par Yves Bosson

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  • L’oeuvre ci-dessus, sur laquelle semble figurer une soucoupe volante, est tirée de la Bibliothèque d’Iwase Bunko


    Rencontre du 3ème type à Edo?


    estampe ukiyo-e ovni

    On savait que certains maîtres de l’estampe japonaise avaient une productivité quasi extra-terrestre, mais les OVNIs sont malgré cela rares dans les estampes ukiyo-e. L’oeuvre ci-dessus, sur laquelle semble figurer une soucoupe volante, est tirée de la Bibliothèque d’Iwase Bunko et a été imprimée vers la fin de la période d’Edo.

    Ce document relate les aventures de marins japonais qui voyageaient en terres étrangères après s’être perdus en mer. Durant ces aventures, la rencontre avec un vaisseau en rade, d’apparence étrange, est troublante.


    estampe ukiyo-e ovni

    Toujours selon le texte sur l’estampe, le vaisseau était construit en acier et parsemé de fenêtres en verre ou en cristal. Des caractères d’un alphabet furent retrouvés à l’intérieur du vaisseau.

    A bord du vaisseau se trouvait une jeune femme avec un visage livide ainsi que des cheveux et sourcils rouges. Elle parlait une langue inconnue et tenait dans ses mains une boîte en bois qui semblait avoir une grande valeur à ses yeux et qu’elle ne laissait personne approcher.

    D’autres documents de la période d’Edo racontent leur version de cette mystérieuse rencontre, prémisce des aventures de Mulder et Scully.


    texte ovni
    Un extrait du texte retrouvé à l’intérieur du vaisseau

    http://www.estampes-japonaises.org/590/rencontre-du-3eme-type-a-edo/


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