• La vierge de Fatima, un disque volant devant 50.000 personnes


    Apparition d'un Ovni devant 50.000 personnes



    Le 13 octobre 1917, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50.000 à 60.000 personnes! Certains étaient venu de très loin pour assister à l'Apparition promise. Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, le mois précédent.

    Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produirait pas!, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.

    Pour réciter le chapelet la foule ferma les parapluies, bien qu'il pleuvait assez à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s'agenouillèrent. Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi. Pourtant, la Sainte Vierge était à l'heure! En effet, le gouvernement de l'époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l'heure solaire; mais le Ciel n'a que faire de l'heure des hommes!... à l'heure du soleil il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite Lucie vit la lumière qui précède chaque Apparition; et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert.


    Pendant qu'Elle s'entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s'éleva dans l'air pour finalement disparaître. Notre-Dame s'élevait et le reflet de la lumière qui se dégageait d'Elle se projeta sur le soleil. kilomètres de Fatima.


    C'est à ce moment qu'une bonne partie de la foule put contempler la danse du soleil: la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair. La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé.

    Il y avait un grand silence. L'astre se mit à trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Il semblait s'approcher de la terre, au point que la foule s'en inquiéta.

    En effet, le soleil, conservant son mouvement rapide de rotation, paraissait brusquement se détacher du ciel et avancer en zigzaguant sur la foule. Ce fut un instant si terrible que plusieurs personnes s'évanouirent, mais finalement il s'arrêta au grand soulagement de tous. A la stupéfaction générale, la foule put constater que leurs vêtements, trempés par la pluie quelques minutes auparavant, étaient complètement secs!. Cette danse du soleil put être observé jusqu'à plusieurs



    Le mensonge grotesque autour de ce qui s'est passé le 13 octobre 1917 à Fatima. La danse du soleil qui y fut décrite par une foule de plus de 50.000 personnes, donc un nombre énorme de témoins n'était pas du tout un miracle ou une apparition divine, mais bel et bien l'apparition d'un engin lumineux, un engin spatial. De nombreuses personnes s'étaient assemblées à un endroit où trois petits bergers auraient vu la Vierge Marie apparaître auparavant. Et effectivement quelque chose d'insolite se produisit dans le ciel ce jour-là.

    En analysant bien ces descriptions, on ne peut que convenir, qu'il s'agit ici d'un engin sous forme de disque, de soucoupe, de sphère, d'une forme discoïde, voir un peu ovoïde, évoluant d'une façon variable au-dessus de la foule, montrant toutes les caractéristiques de ce qu'on appelle de nos jours un OVNI, une soucoupe volante! Les changements de couleurs brusques donnant l'aspect d'une boule de feu, les effets lumineux rayonnants, une lumière non-éblouissante, une rotation à grande vitesse, le silence de l'engin (pas de bruits de moteurs), des apparitions et disparitions soudaines sont très caractéristique de tous les témoignages oculaires d'Ovnis contemporains.



    Mr. José Proënça de Almeida Garrett a rédigé son témoignage par écrit quelque jour après l'événement, il était à l'époque, professeur de médecine à l'Université de Coimbra, voici son témoignage :

    «II pleuvait encore, vers 13 heures, lorsque les trois enfants arrivèrent, à l’endroit où avaient eu lieu les apparitions. Vers 13h30 là où se trouvèrent les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui monta droit jusqu 'à deux mètres peut-être et s'évanouit à cette hauteur. Le phénomène se dissipa au bout de quelques secondes puis se reproduisit une deuxième fois, et une troisième fois. Il n'y avait pas de feu, puis vers 14h00 la foule dirigea le regard vers le ciel, en direction du Soleil qui avait rompu la dense couche de nuages, je me tournai vers cet "aimant" qui attirait tous les yeux et je pus le voir semblable à un disque au bord net et à l’arête vive, lumineux et brillant, mais sans fatigue pour les yeux. Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre d'une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers le brouillard, il n'y en avait pas à ce moment-là, car il n 'était ni obscurci, ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en arête comme une planche à jeux. Ce disque nacré avait le vertige du mouvement [rotation sur soi-même]. Ce n'était pas simplement le scintillement d'un astre plein de vie, il tournait sur lui-même à une grande vitesse. De nouveau, on entendit une clameur de la foule, comme un grand cri d'angoisse, conservant la rapidité de sa rotation, le Soleil se détache du firmament, et, rouge sang, avance vers la Terre, menaçant de nous écraser sous le poids de son immense masse ignée. Ce furent des secondes terrifiantes. M'occupant de fixer ce Soleil, je remarquai que tout s'obscurcissait autour de moi. Je regardai ce qui était près, puis j'allongeai la vue jusqu'à l’extrême horizon, et je vis tout couleur d'améthyste. Les objets, le ciel et la couche atmosphérique avaient tous la même couleur. Un grand chêne violacé qui s'élevait devant moi, lançait sur le sol une ombre épaisse. A d'autres il incombe d'expliquer ceci.»

    D'autres documents officiels de témoignages permettent d'affirmer que ce grand disque volant fut aperçu par des personnes se situant à 4 et 5 kilomètres de là et qui ne partageaient nullement les émotions et les attentes de la foule sur place à la Cova de Iria :

    «Je regardais fixement l'astre, il me paraissait pâle et privé de son éblouissante clarté ; il semblait un globe de neige tournant sur lui-même. Puis tout à coup il parut descendre en zigzag, menaçant de tomber sur la terre.»


    Un ovni ?
    Dans son livre, « Fatima, un ovni pas comme les autres » Gilles Pinon remet en cause l'interprétation surnaturelle. S'éloignant des polémiques religieuses, selon lui, la danse du soleil n'est autre qu'une manifestation extraterrestre. Il s'appuie sur les témoignages où il est fait mention d'une manière récurrente d'un disque plat plutôt que d'un globe. Comment des observateurs fortement imprégnés de religiosité évoquent-ils d'emblée un disque en mouvement, allant et venant, disparaissant ? Sauf à considérer certains doués d'une fiévreuse imagination, l'appellation est curieuse pour l'époque.

    Le soleil est pourtant décrit comme "un disque", "une plaque d'argent mat". Ni voilé, ni brouillé, il luit sans blesser la vue. En effet, personne ne s'est plaint d'avoir eu mal aux yeux après l'avoir pourtant fixé. Autre indice, les nuages qui couvraient le ciel donnent "l'impression de passer derrière le soleil". L'ensemble de ces descriptions suggère l'idée d'une projection lumineuse sur fond de nuages. Etait-elle le fait d'un aveuglement ou le participe-t-elle d'un autre phénomène ?

    Gilles Pinon fait de Fatima l'archétype d'un événement ovnien, le premier à être répertorié bien avant l'observation de Kenneth Arnold, au dessus du mont Rainier en 1947. Danse du soleil, perturbations atmosphériques, souffle et nuée blanchâtre au sol, secouement des arbres, éclair, baisse de la lumière et de la température, coups de tonnerre, disque d'argent à manœuvres erratiques, changements de cap à angle aigu, rotation rapide sur lui-même, descente en feuille morte ou en zigzags, remontée à la verticale, accélérations brutales, arrêts sans freinage, illumination du paysage, tous éléments concordants qui caractériseraient la présence d'un ovni.

    Tous les témoignages rapportés ce jour-là introduisent à l'idée d'une complexité telle qu'aucune réponse rationnelle ne puisse être apportée. C'est dans cette brèche que s'infiltre l'ufologue. Dans l'affaire de Fatima, il suppose plutôt qu'il ne tranche. Selon lui, il ne faut rien exclure. Les ovnis défient les lois de la physique. Pourquoi Fatima n'en porterait-elle pas la marque ?

    la position alambiquée de l'église ne conforte-t-elle pas la piste ovnienne ?
    Si d'aventure Fatima avait été d'emblée présentée comme le premier phénomène ovnien, l'attaque des scientifiques aurait été alors sans borne. Ces derniers auraient fait usage de témoignages rationnels afin de le rendre inerte, voire ridicule. Lui conférer une dimension religieuse, c'était en revanche le sanctuariser , ce qui a été le cas. Comme il a été rapporté plus haut, la contestation du miracle a été faible. L'église pouvait mettre alors à profit tout le temps nécessaire pour comprendre le mystère. En apparence, il est d'ordre religieux.

    Cependant en absorbant le 3 ème secret sur son propre destin, sa mort attendue en 1981, Jean Paul II n'a-t-il pas cherché à dérouter la mystérieuse danse du soleil de sa route initiale ? Si cette supposition pouvait être établie, les secrets pourraient révéler un phénomène exogène. Du coup, l'église aurait à répondre à des questions aux conséquences redoutables et incontrôlables. Comment intégrer un tel événement dans son arsenal dogmatique et l'historiographie religieuse ? Une dangereuse porte s'ouvrirait alors. Non seulement Fatima mais tous les miracles pourraient être revisités à l'aune de la thématique ovnienne. Tout l'édifice religieux se trouverait mis à mal.

    La réponse a été apportée par Benoît XV en 2002, alors Préfet de la Congrégation de la foi. Ce dernier a décidé de ranger le vestige religieux à l'échelle d'un mouvement de piété. Mieux vaut diminuer le miracle plutôt que d'exposer l'église un jour à une remise en cause presque insurmontable. En même temps, le fait que Benoît XV ait été consacré Pape alors qu'il n'était pas le papabile plus souvent cité renforce le trouble. Comment mieux étouffer Fatima qu'en plaçant sur le trône de Saint Pierre l'homme lui contestant sa force miraculeuse ? Le tour est bien joué mais la vérité n'en sort pas grandie. Ce qui a été vu ce jour là défie l'entendement et la raison. Toute puissante à l'époque, l'église aurait bien pu instruire l'événement à sa manière jouant tour à tour la partition de la dévotion puis du déni. Placé sous scellés, le véritable secret de Fatima, aurait été ainsi délicatement confisqué, désormais enterré.

    François de la Chevalerie, Février 2006


    13 OCTOBRE 1917 FATIMA, QUE VOULAIENT-ILS NOUS FAIRE CROIRE?

    Fatima, 13 octobre 1917. C'est le miracle. «La dame de lumière » l'avait promis. Je savais qu'il y avait eu un miracle près de ce petit village portugais, mais j'en ignorais les détails. C'est une petite phrase de mon ami Jean Coupil '(1. Voir La nouvelle vague de, soucoupes. Editions France-Empire, 1974) pp. 215-216). qui m'avait intrigué. Il avait, en quelques lignes, posé le problème de l'apparition de Fatima, en la reliant au dossier OVNI. Cela m'avait choqué. Je me suis donc penché à mon tour sur l'affaire. Grâce à Edmond-Marie Dupuis, artiste peintre de talent, j'ai pu obtenir le témoignage exceptionnel d'un témoin direct des apparitions de Fatima. Le voici. A vous de juger.

    «Je parle de Fatima au Portugal. Fatima la ville de l'auteur du monde où Notre-Dame du Rosaire s'est montrée l'été 1917 à trois petits bergers...

    Voici ce que je sais sur les apparitions auxquelles j'ai assisté, la troisième le 13 juillet, la cinquième le 13 septembre, la sixième, celle du miracle du soleil, le 13 octobre 1917. C'était l'été de 1917. Je fréquentais alors la faculté de médecine de l'Université de Coïmbra et les examens étant terminés, je partis passer quelques jours chez mon frère où je pris connaissance des faits extraordinaires qui se passaient à Fatima et qui commençaient à enthousiasmer l'opinion publique. Le 13 du moi de mai, aux environs de midi, une dame d'une rare beauté, s'est montrée à trois pastoureaux âgés de sept à dix ens, sur un petit chêne vert, sur le plateau, près de Fatima. Elle a parlé à l'un d'eux et lui a demandé de revenir ici, dans ce même lieu et à la même heure, le 13 du mois suivant jusqu'en octobre. Car elle avait quelque chose à leur dire. Le 13 juin, la scène s'est répétée avec les mêmes recommandations.

    L'enthousiasme général me gagne vite et je me rends le 13 juillet avec quelques amis jusqu'au chêne vert privilégié, pour observer ce qui va s'y passer. J'y étais avant midi, et il y avait déjà une multitude de gens qui attendaient. Les trois petits bergers sont arrivés. Lucie, la plus âgée, commença à dire le chapelet avec nous. Vers midi, elle s'interrompt et dit: la voilà qui vient! C'était un beau jour d'été, cependant le soleil perdait un peu de son éclat et tout le monde regardait en haut. Je n'ai rien vu, mais en examinant les trois petits qui étaient bien avant moi, j'ai noté que quelque chose se passait avec eux. Ils fixaient avec attention le petit chêne vert et je voyais Lucie qui bougeait ses lèvres, mais je ne percevais pas ce qu'elle disait. La scène est courte. Peu après, Lucie m'a dit qu'elle avait vu la même dame, qu'elle lui avait fait les mêmes avertissements et lui avait dit qu'en octobre elle ferait un miracle pour que tous puissent croire. Tout cela dans un décr, simple et dans un site désert et rude, rappelant la terre déserte aride et sèche dont parle Sabiste. Cela me toucha profondément et je me promis intérieurement de revenir. Il ne me fut toutefois pas possible d'y retourner le 13 août. Mais je n'y perdis rien car ce jour-là la dictature de la municipalité amena les enfants en prison et de ce fait, il n'y eut pas d'apparition. L'après-midi la nouvelle courut que les petits bergers de Fatima étaient en prison. Je m'y rendis avec quelques amis et nous les voyions là, parmi les autres prisonniers. De fait l'autorité gardait les enfants durant quelques jours cherchant, par tous les moyens, à les convaincre de renier les déclarations qu'ils venaient de faire. La municipalité n'y réussit pas. Alors, vaincue par les circonstances si extraordinaires, elle les remit en liberté. Cette première persécution jointe à la crainte qui les motivit concourut beoucoup à répandre davantage et à faire connaître les événements de Fatima.

    C'est pourquoi, moi-même, je prends aussitôt la résolution de ne pas manquer l'apparition de septembre. J'y vais en effet. A mon arrivée, un peu. avant midi, je trouve une multitude de gens, campant déjà là, attendant anxieusement l'heure fixée. Après, arrivent aussi les trois pastoureaux, Lucie, la plus âgée, dix ans, François, neuf ans et Jacynthe la jeune, âgée de sept ans à peine. Ils se dirigent vers le chêne vert en haut duquel la dame a l'habitude de se montrer. Ils s'agenouillent et Lucie commence à dire le chapelet. Tous nous l'accompagnons de la même façon qu'au mois de juillet. Soudain, elle s'interrompt et dit à voix haute: la voici qui vient! C'était un beau jour ensoleillé. Cependant, comme je l'avais noté aussi en juillet, l'éclat du soleil commence à diminuer sensiblement, de telle manière que tout le monde peut, à volonté, scruter le firmament. J'ai remarqué que beaucoup de personnes lèvent les bras et montrent le ciel en disant: « Elle vient là, elle vient là!» Rapidement cette clameur se transforme en un grand vacarme parce que tout le monde regarde et presque tous déclarent voir. Je freine ma curiosité et me refuse à regarder. C'est un fait que la lumière du soleil s'est beaucoup affaiblie. Mais moi aussi je crains d'être victime d'une illusion d'optique et je préfère ne pas être influencé et rester en dehors. Brusquement, on entend murmurer: «On ne voit plus, on ne voit plus », et les voix se taisent. J'en conclus alors que quelque chose s'est passé. La dame s'est posée sur le chêne vert et déjà elle parle à Lucie. A la fin, quand Lucie déclare: elle va là! elle va là! pointant du doigt vers le ciel, tout le monde regarde de nouveau et la joyeuse clameur reprend: elle va là! elle va là! Du coup je ne résiste pas, je lève les yeux et dans la direction indiquée, je vois, moi aussi, distinctement, un objet lumineux qui s'éloigne vers l'orient. Ce n'est pas un gros objet lumineux que je vois. C'est un objet plus haut que large. Il se déplace avec une certaine rapidité, jusqu'à ce que je le perde de vue à l'horizon. Que cela peut-il être? Je ne sais pas. Mais cette vision m'impressionne profondément. Peut-être une illusion des sens? Mais le ciel est clair et pur. On ne voit pas le moindre Soupçon de nuages, rien qu'un pur firmament. Cet objet lumineux, je l'ai remarqué là, dans le ciel, en face de moi, se déplaçant tranquillement quoique avec une certaine rapidité dans la direction de l'Orient, puis disparaître. Peu après, je parle à Lucie. Elle m'avoue que comme les autres fois, la dame s'est montrée à elle et lui a parlé, recommandant que l'on continue à réciter le chapelet pour que la guerre finisse (1Celle de 1914-1918) et que l'on revienne ici le mois suivant car à cette occasion elle fera un miracle, pour que tous croient. Je rentre chez moi, très impressionné. A vrai dire, en juillet, j'avais remarqué seutement la diminution de la luminosité de la lumière solaire. Cette fois, j'ai vu se déplacer dans le firmament cet objet lumineux sur lequel, aujourd'hui, ma foi me dit que se cachait le corps béni de la reine des cieux. Aussitôt, je forme le projet de revenir en octobre.


    13 octobre 1917, c'était le jour si ardemment attendu car il y avait la promesse d'un miracle visible par tous, afin que tous croient. C'est donc avec plus d'enthousiasme encore que les autres fois que je reviens pour la troisième fois à Fatima. J'y vais avec toute ma famille et nous assistons émerveillés à cette scène inoubliable qui empoigna la multitude et nous impressionna profondément. Il a plu toute la nuit sans interruption. La pluie continue, mais il est admirable de voir l'enthousiasme avec lequel tout le monde, en dépit du mauvais temps, gravit la longue montée qui conduit par-delà la colline, jusqu'à Fatima. En arrivant là, nous abandonnons notre moyen de transport, car la foule encombre déjà la route. Nous suivons donc à pied, et ce n'est pas sans difficulté que nous parcourons les quelques kilomètres qui nous séparent encore dn terme de notre voyage. Il continue toujours de pleuvoir si fort que malgré les parapluies personne n'a plus un seul fil de sec. Pour marcher plus aisément, nous nous séparons. Moi, désirant tout voir, je reste avec mon oncle Benoît sur un endroit élevé, près de la route. Nous y attendons l'heure fixée. Je me souviens parfaitement avoir vu passer près de nous les trois pastoureaux, se dirigeant vers le chêne vert. Il est presque midi. Sur tout le vallon s'étend une masse de parapluies, car il continue de pleuvoir impitoyablement. Soudain, une parole retentit, répétée de bouche en bouche. Fermez les parapluies! Par les signes habituels, Lucie croit comprendre que l'apparition va surgir et s'adresser pour la dernière fois à eux dans le ciel béni de Fatima. C'est pour ce motif qu'elle fait cette demande. Des moments d'anxiété passent encore sur cette multitude de gens impatients, car personne ne pense à la vision des petits bergers, mais tous attendent le signe du ciel, annoncé si longtemps à l'avance. Cependant, les parapluies ont été fermés docilement par cette foule immense et je commence à sentir les premières émotions de ce moment inoubliable. La pluie cesse brusquement. Les nuages se fendent, laissant voir le soleil dans toute sa splendeur. Les vêtements tout trempés et le corps froid, je me souviens encore de la sensation délicieuse que nous causa cette caresse chaude du soleil. Un peu troublé par cette ambiance, je chuchotai à mon compagnon: « .Je pressens qu'il va se passer ici quelque chose d'extraordinaire.» C'est en fait ce qui arriva. Le phénomène solaire décrit déjà tant de fois suit immédiatement, Et moi, placé dans un endroit surélevé, animé de la ferveur de celui qui désire voir envers et contre tout, et non pas seulement sentir avant de pouvoir juger objectivement, j'assiste avec sang-froid à ce spectacle merveilleux, jamais, ne se reverra plus. A un moment donné, Lucie, crie: regardez le soleil! et toute cette foule ayant espoir que du soleil viendra réellement le miracle annoncé, tourne anxieusement ses regards vers l'astre royal. Les rayons du soleil diminuent d'intensité. Il se laisse fixer par les yeux émerveillés de tous. Chaque 13, le signe le plus remarqué des pèlerins de Fatima, a toujours été sans aucun doute la diminution sensible de la lumière du soleil. Moi-même, j'en ai été témoin, nettement, en septembre et en juillet. D'autres signes sont aussi notés; mais ils ne sont pas perçus de tous.

    Pour cette raison donc, et aussi parce qu'ils se demandent s'ils ne rencontreront pas quelques traces de l'apparition, les pèlerins scrutent soigneusement le ciel et plus particulièrement le soleil. Celui-ci, à ce moment de la journée, se laisse fixer parfaitement, sans éblouir. Débarrassé de ses nuages, l'astre royal se détache comme une ostie colossale. J'ai encore présente à la mémoire cette scène étrange et inoubliable. Le soleil de midi suspendu en face de défense, neutre, dépourvu des rayons agressifs qui le caractérisent. Soudain, il commence à tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse. A un certain moment, il semble s'approcher et menace de se précipiter sur nous. Il se passe alors quelque chose d'inoubliable. La foule profondément impressionnée, s'agenouille dans la boue de la lande, priant et criant d'émotion. A travers le vallon retentit une immense clameur d'enthousiasme et de folie. Cependant, le soleil s'arrête. Après une courte pause il recommence sa course, sa valse étrange, tournoyant sur lui même, nous donnant la sensation, soit de s'éloigner, soit de se rapprocher. Une lumière dont la couleur varie d'un instant à l'autre se reflète sur les personnes et les choses.

    Et s'il est vrai que la luminosité du soleil s'est affaiblie, par contre, sa chaleur n'a rien perdu de sa force. Je sens mon costume maintenant presque sec alors qu'il était tout trempé il y a quelques instants à peine. Malgré tout, aucune panique ne se manifeste. Personne ne fuit. On attendait un signe du ciel, il est là devant nos yeux. Ces signes sont observés avec confiance et effroi, mais un effroi raisonné. C'est pourquoi la foule ne fuit pas. Elle s'agenouille et prie. Cependant, la scène ne se prolonge pas indéfiniment. En l'espace de quelques minutes, pas beaucoup plus, tout est terminé. Une émotion visible se reflète sur le visage de tous ces gens. Ils viennent de vivre, sans aucun doute, un moment d'émotion extraordinaire. La plus extraordinaire qu'ils ressentiront jamais dans leur vie. Tout en se remémorant et commentant l'événement, tous concentrent maintenant leurs regards cers le lieu où, là-bas, s'élevait l'arc de triomphe grossier qui indiquait le chêne vert privilégié. Le peuple l'a déjà presque massacré pour en emporter un souvenir. Tous cherchent à voir si parmi cette foule immense, ils réussiront à découvrir les trois pastoureaux qui avaient prévu et annoncé si longtemps à l'avance cet événement si extraordinaire. De fait, ils viennent là bas, transportés au-dessus de la multitude des gens. Lucie, la plus âgée, sur les épaules d'un « géant », parle et gesticule. Je suis trop loin pour saisir ce qu'elle dit. Soudain, le géant bute et tombe, Lucie surgit aussitôt dans les bras d'une autre personne qui cherche à ouvrir un chemin. La foule est dense. Elle est bien difficile à percer. Je comprends alors que tout est fini, et nous commençons à nous retirer.

    La première chose que nous remarquons, mon oncle et moi, c'est que nos costumes complètement trempés auparavant, sont maintenant parfaitement secs. Nous échangeons nos premières impressions, avec divers groupes. A côté de nous, tous sont également émerveillés, car tous ont été témoins de ce spectacle si admirable.

    Voyons maintenant ce qui s'est passé avec les trois petits bergers. Au milieu de l'attente bienveillante et anxieuse de presque tous, et l'attitude visiblement hostile de quelques-uns, les enfants, dès leur arrivée près du chêne vert, se mettent à attendre patiemment et avec confiance l'heure de l'apparition. Quelques minutes après midi, heure solaire, Lucie perçoit les signes habituels, elle donne le premier avis: que l'on ferme les parapluies! Immédiatement, la dame se montre à eux, comme les autres fois. Le dialogue est court. Lucie se souvenant que l'apparition avait promis de dire cene fois qui elle était, lui pose aussitôt la question: «Qui êtes-vous Madame? » « Je suis la Dame du Rosaire ». répond-t-elle. «Que l'on fasse ici une chapelle en mon honneur.» Et déjà, plus tranquilles, ces petits cœurs anxieux entendent les merveilleuses paroles: « Que l'on continue à réciter le chapelet tous les jours et qu'on n'offense plus le Seigneur, qui est déjà très offensé.» Puis, sur un autre ton, elle ajoute: «Les sauveurs vont rentrer, parce que la guerre finira cette année ', » (1. 4: L'apparition) se trompera d'un an. La guerre ne s'est pa! terminée en 1917 mais en 1918) Lucie, comme les autres fois, lui fait des demandes en faveur de quelques personnes, et la dame termine la conversation: «Il faut qu'on se repente et qu'on demande pardon.» Puis avec la sérénité de toujours, elle s'éloigne alors en direciion de l'orient. C'est alors réellement l'épilogue de tout le message de Fatima. Reconnaître ses fautes, demander pardon et se corriger.

    Ce sont réellement les buts de tout être qui prétend s'élever et ils résument toute l'activité que, jour après jour, exige l'aspiration à la perfection.

    Fatima, au Portugal, le 9 avril 1968, José-Maria Pereira Gens.

    COMMENTAIRE. - Avec l'affaire de Fatima, les conditions d'une hallucination collective sont réunies (faille considérable, miracle attendu, hystérie religieuse, etc.). Les observatoires qui pointaient leurs lunettes vers le cosmos n'ont rien noté d'anormal à cette heure-là. Si phénomène exceptionnel il y a eu (et j'en ai l'intime conviction), ce phénomène a été limité à Fatima. Seul un engin de quelques dizaines ou centaines de mètres de diamètre, traversant la couche des nuages a pu prendre l'apparence du soleil, sécher très rapidement les vêtements de quatre-vingt mille témoins et faire jaillir des gerbes d'étincelles. Pourquoi cette mascarade? se demandait Jean Goupil dans mon premier livre. Oui pourquoi? Le message transmis par « Notre-Dame du Rosaire» est tragiquement pauvre; priez! Quelles relations peuvent donc exister entre les religions, les OVNI et nous? Je pose la question. Aurons-nous un jour la réponse?




    votre commentaire
  • L'islam le coran et la vie extraterrestre





    Anges IslamLes enseignements de l´Islam admettent l´intelligence extraterrestre, a dit le représentant du conseil des Muftis de Russie.

    “Selon le saint Coran, le Tout-Puissant parle de la création de plusieurs mondes. Nous connaissons le monde des hommes, des Djinns, des plantes et des animaux. Peut-être, ne les connaissons-nous pas tous. Le Créateur peut tout créer, D´autres créatures peuvent habiter les mondes qui sont hors de notre portée“, a dit le président du département international du conseil des Muftis, Rushan Abbyasov, cité jeudi par le quotidien Moskovsky Komsomolets,

    Il a cité une sourate du Coran disant : “Louez Allah, le Seigneur des mondes !” et mentionna qu’ainsi le saint livre Musulman confirmait que “d’autres civilisations pouvaient exister“.

    “Quand à la question si ces E.T porte le péché originel ou pas, il n’y a pas de notion du péché originel dans l’Islam. En fait, le Coran dit que si un bébé meurt, il va directement au paradis parce qu´il est pur et innocent,” a dit Abbyasov.

    Le rabbin Zinovy Kogan a dit que “le Seigneur est la cause première pour tout ce qui existe dans les micros et macros mondes.”

    “Il ne peut être exclu que d’autres créatures similaires à l’homme existent dans d’autres mondes,” souligna-t-il.

    Le secrétaire du départment du patriarcat pour les relations externes de l´Église de Moscou (Moscow Patriarchate Department for External Church Relations) pour les affaires inter-chrétiennes, Fr. Igor Vyzhanov, spéficia que la question de l’existence E.T (UFO-people) n’avait rien à faire avec les enseignements chrétiens parce qu’ils considèrent la question de salvation de l’âme humaine.

    “Je pense que les théologiens Orthodox autant que Catholiques, si interrogés, divergeraient. Certains diraient : l’existence de la vie extraterrestre est possible, comment pouvons-nous nier la puissance créatrice de Dieu. Les autres diraient que la vie terrestre est l’unique. Bien que cette question soit absolument insignifiante pour l’Église, ce n’est même pas une question scientifique, mais que curiosités futiles,” conclua le prêtre.

    traduction française : Michel Actis

    Et les extraterrestres ?.....

    Proposé par Mouhammad Patel le Mardi, 28 Août 2001

    Questions d'actualité...

    Question: Bonjour, quelle est la position de l'islam à propos de l'existence d'extra-terrestres ?

    Merci pour la réponse .

    Réponse: Bonjour, avant de répondre à cette question, j'aimerai apporter une petite précision:

    La mission dont a été chargée le Prophète de l'Islam, Mohammad (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui), consistait à diriger l'humanité vers le Droit Chemin, de la retirer des ténèbres de l'Egarement afin de la guider vers la Lumière Divine. Ainsi, son Message, tout comme le Livre qui lui a été révélé, le Coran, ont toujours eu pour objet d'accompagner l'homme dans son cheminement vers Dieu. C'est la raison pour laquelle on ne trouvera dans les sources religieuses islamiques que les informations essentielles et nécessaires à l'être humain pour sa vie présente et la préparation de la vie future. La question de l'existence de formes de vie extraterrestres n'étant évidemment pas une question essentielle pour le salut de l'humanité, les sources islamiques ne s'y sont donc pas attardées.

    Il est vrai cependant que cette question a été évoquée par certains savants musulmans, et ce, à propos d'un verset du Coran qui dit: "Allah qui a crée sept cieux et autant de terres. Entre eux (Son) commandement descend…." (Verset 12/ Sourate 65) Tandis que certains savants pensent que le terme "terres" employé dans ce verset désigne les différentes couches qui composent la croûte terrestre, d'autres (parmi les commentateurs du Qour'aane surtout, comme Allâma Aloûsi r.a., auteur de l'ouvrage nommé "Tafsir Rouhoul Mâ'ani") pensent qu'au contraire, ce verset constitue une preuve de la pluralité des mondes et des planètes habités. Selon eux, ces planètes seraient séparés par de grandes distances et abriteraient chacune des formes de vie dont Allah est le Seul à connaître la nature. Cette opinion est quelque peu confirmée par les propos suivants attribués à Ibn Abbâs (radhia Allâhou anhou), en guise de commentaires du verset cité: "Il y a sept terres, sur chacune d'elle il y a un Prophète comme le votre, et il y a eu un Adam comme votre Adam, un Noé comme le votre, un Abraham comme le votre, un Jésus comme le votre". (Il convient de souligner que l'authenticité de ce rapport ne fait cependant pas l'unanimité entre les spécialistes). Les savants expliquent ce Hadith (Tradition) en disant que chacun de ces mondes est habité par des créatures d'une origine commune, tout comme l'espèce humaine, et Dieu a aussi choisi parmi eux des êtres qu'Il a élu, tout comme il a choisi parmi les hommes des Prophètes comme Noé, Abraham, Jésus…. Certain théologiens musulmans connus, comme Wahab r.a., affirment qu'il existe plusieurs centaines de mondes différents.

    Par ailleurs, il est intéressant de rappeler que les anges peuvent aussi être considérés comme des "extraterrestres", au sens littéral du terme, car ce sont des créatures qui vivent en dehors du globe terrestre. D'après une tradition prophétique (Hadith) rapportée par de nombreux auteurs, il apparaît que les êtres humains peuvent parfois apercevoir des anges, et la forme dans laquelle ils apparaissent (d'après la description qui en est donnée) est assez troublante. Jugez-en par vous mêmes:

    Abou Saïd al khoudri (que Dieu l'agrée) (il s'agit d'un Compagnon du Prophète Mohammad (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui)) rapporte qu'une nuit, alors qu'Ousayd bin Houzayr (que Dieu l'agrée) était en train de réciter le Coran, (assis) dans son parc à chameaux, son cheval (qui était près de lui) commença tout à coup à s'agiter; il continua de réciter et le cheval s'agita à nouveau. Il continua (quand même) à lire et l'animal s'agita encore. Ousayd (que Dieu l'agrée) dit: "J'eus peur qu'il ne foule (mon fils,) Yahya (qui était près de lui). Je me levai pour aller le voir et c'est alors que je vis comme une ombre (ou un nuage) au dessus de ma tête, dans laquelle il y avait des sortes de lanternes. Elle s'éleva dans les airs, jusqu'à ce que je la perdis de vue." Il dit: Le (lendemain) matin, j'allai voir le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) et je dis: "O Envoyé de Dieu ! Alors que j'étais en train de réciter le Coran la nuit dernière dans mon parc à chameaux, mon cheval commença tout à coup à s'agiter." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je repris ma lecture, mais l'animal s'agita à nouveau." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je repris ma lecture et le cheval s'agita encore." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je me levai (alors) , (car) Yahya étant près de lui, j'eus peur qu'il ne l'écrase. C'est à ce moment que je vis comme une ombre (ou un nuage) dans laquelle il y avait comme des lanternes. Elle s'éleva dans les airs jusqu'à ce que je la perdis de vue." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "C'étaient les anges qui t'écoutaient. (D'après une autre version, le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit qu'il s'agissait de la "sakînah". Il y a un grand nombre de divergences parmi les savants musulmans quant au sens de ce terme. Ce qui ressort de ces divergences, c'est que la "sakînah" est une créature particulière d'Allah qui descend parfois sur terre accompagnée d'anges.) Et si tu avais continué ta récitation, (elle serait restée et) les gens l'auraient vue le matin; elle ne se serait pas dissimulée d'eux."

    (Rapporté par Mouslim, Ahmad, Nisaï et Boukhâri r.a.)
    http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=141


    Mohammad et les extraterrestres

    ABBASI david hassan, Siyavash AWESTA

    HALIMA s’est occupée de MOHAMMAD pendant plusieurs années mais du jour au lendemain, elle prit la main du jeune garçon et le ramena chez son grand-père.

    Le grand-père, étonné de ce retour, demanda une explication.

    HALIMA lui dit : « J’ai peur que le Diable soit entré en lui »

    AMENE et le grand-père n’acceptèrent pas cette version.

    AMENE prétendait qu’au moment où elle était enceinte de MOHAMMAD, la lumière du monde était plus lumineuse et elle ne sentait pas le poids dans son ventre…

    Un jour le fils de HALIMA qui jouait avec MOHAMMAD courut chez ses parents et dit : « Deux hommes habillés en blanc ont pris mon frère ( MOHAMMAD ), ils lui ont ouvert le ventre pour y chercher quelque chose….

    C’est à la suite de cette histoire qu’HALIMA décida de ramener MOHAMMAD à sa famille.

    MOHAMMAD raconte lui-même l’histoire de l’ouverture de son ventre à l’âge de cinq ou six ans lorsqu’il était adulte, quand il se disait prophète.

    Un jour, un vieil homme sage de la tribu de BANI-AMER rend visite à MOHAMMAD pour l’interviewer ! !



    L’homme sage dit: « Alors MOHAMMAD, dis-moi comment puis-je apprendre plus que je ne sais déjà ?

    MOHAMMAD dit : « En continuant à apprendre ! »

    L’homme sage dit : « Quels sont les signes de l’apprentissage ? »

    MOHAMMAD dit : « Chercher et toujours poser la question. »

    L’homme sage dit : « Comment va s’étendre le mal ? »

    MOHAMMAD dit : « En insistant ! »

    L’homme sage dit : « Le bien peut-il être positif après le mal ? »

    MOHAMMAD dit : « Oui, on peut toujours s’excuser et abandonner le mal vers le bien. »

    L’homme sage dit : « Quel est ton message ? »

    MOHAMMAD dit : « Prier le seul Dieu. »

    L’homme sage dit : « Si je fais cela, qu’est-ce que ça m’apportera ? »

    MOHAMMAD dit : « Les jardins éternels avec de l’eau qui coule à tes pieds … »

    L’homme sage dit : « Mais ça c’est très bien mais personne ne l’a jamais encore vu et raconté. De ce monde-là, ici et maintenant, que puis-je gagner que je puisse sentir et toucher ? »

    MOHAMMAD dit : « Conquérir le monde, obtenir ses richesses. »



    L’homme de la tribu de BANI-AMER accepta de devenir membre de ce mouvement de pensée.

    Alors, il dit à MOHAMMAD : « Donnes-moi l’origine de cette prophétie ? Les autres prophètes venaient de familles éduquées et riches comme MOISE, grand général de l’armée d’Egypte, JESUS, le souvenir du temple de Jérusalem, le grand rabbin, ZACHARIA, ou encore MARIE, une femme de discipline et de pensée…. Mais toi, tu lances ta prophétie parmi les gens du désert qui prient pour les pierres ou les statues. Comment se fait-il ? Et quel est le secret et l’origine de ta prophétie ? »

    MOHAMMAD répondit : « Quand que j’étais un jeune garçon, je n’aimais pas ces statues qui recouvraient La MECQUE. Je n’aimais pas non plus la poésie. Quand j’étais tout petit, je jouais avec mes amis dans une vallée. Trois personnes habillées de blanc qui tenaient une bassine dorée avec une lumière autour de leurs têtes, m’ont approché. Mes amis apeurés ont pris la fuite. De loin, ils criaient ; « Le gamin n’est pas comme nous, il vient de la tribu de GHOREISH, il n’a pas de père, il est chez nous pour être allaité. Si vous le tuez, vous ne gagnerez rien. ».

    Mais les trois personnes n’écoutaient pas. Un des trois m’agrippa et m’allongea sur le sol. Il ouvrit mon ventre, de haut en bas, et prit tout ce qu’il contenait, posa le tout dans une bassine avec un produit qui ressemblait à la neige. Après avoir tout lavé et nettoyé, il remit tout à sa place.

    La deuxième personne s’approcha de moi, sa main pénétra mon corps. Il y sortit mon cœur, il y avait du sang noir qui coulait J’ai pensé qu’il prenait quelque chose de mon cœur. Il avait une bague dorée qui reflétait de la lumière. Il tamponna avec la bague mon cœur et le remit à sa place.

    Ensuite, la troisième personne se dirigea vers moi, toucha l’ouverture faite par la première personne et la referma. Ils m’embrassèrent et repartirent.

    Ensuite, j’ai vu ma nourrice et les membres de sa tribu s’approcher de moi, très inquiets. Ma nourrice m’a pris dans ses bras, réjouit que je sois vivant.

    J’ai pensé que les gens avaient vu toute cette opération alors que non. Ils pensaient que le démon était entré en moi. Je disais, non ça va, je suis conscient, je ne suis pas malade. Mes parents d’adoption étaient du même avis que moi. Mais les membres de la tribu insistaient pour que j’aille chez le grand voyant du désert, Mr. COHEN pour qu’il m’examine.

    Alors je suis allé chez lui.

    Dés qu’il entendit ma version, tel que je viens de te la raconter, il sursauta et cria : « Ola, quelle tristesse pour le peuple arabe, qu’Allah protège le peuple arabe de cette personne. Tuez ce garçon et moi ensuite. Je jure sur la tête de deux grande idoles, LATT et AZZA que si vous le laissez vivant, il détruira votre religion, votre cerveau. Il insultera vos ancêtres, créera la division et vous ramènera une religion que vous n’avez encore jamais vu et entendu parler…. »

    Ma nourrice me prit dans ses bras et dit à Mr. COHEN : « C’est vous qui êtes fou, j’ai eu tord de vous amener mon fils. Vas chercher quelqu’un pour te tuer mais je ne tuerais pas mon fils….

    A la suite de cette histoire, ma nourrice se trouvait dans l’obligation de me rendre à ma famille.

    L’homme de la tribu de BANI-AMER embrassa MOHAMMAD en lui disant : « Je crois en toi et nous allons conquérir le monde ».



    DJEN en arabe signifie « démon » et le mot « génie » en découle. Bien sûr, le mot MADJNOUN est utilisé pour désigner les personnes qui sont anormales et folles mais fou en arabe veut dire MAHBOUL.

    Donc à l’époque, celui qui prétendait être habité par le démon était qualifié de MADJNOUN.

    De temps en temps, MOHAMMAD avait une grande fièvre et un mal de tête énorme ce qui lui permettait d’avoir des pensées miraculeuses…

    Génie veut également dire, celui qui a un démon (positif ou négatif) en lui à savoir envahit par un DJEN !

    Citer des extraits du livre, L'islam top secret!! Regard Critique Sur l’Islam ! : ABBASI David Hassan, Siyavash AWESTA

    http://www.avairan.com/Mohammad-%20les-extraterrestres.htm


    Les extraterrestres dans le Coran



    Et les extraterrestres ?.....


    Question: Bonjour, quelle est la position de l'islam à propos de l'existence d'extra-terrestres ?

    Merci pour la réponse .

    Réponse: Bonjour, avant de répondre à cette question, j'aimerai apporter une petite précision:

    La mission dont a été chargée le Prophète de l'Islam, Mohammad (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui), consistait à diriger l'humanité vers le Droit Chemin, de la retirer des ténèbres de l'Egarement afin de la guider vers la Lumière Divine. Ainsi, son Message, tout comme le Livre qui lui a été révélé, le Coran, ont toujours eu pour objet d'accompagner l'homme dans son cheminement vers Dieu. C'est la raison pour laquelle on ne trouvera dans les sources religieuses islamiques que les informations essentielles et nécessaires à l'être humain pour sa vie présente et la préparation de la vie future. La question de l'existence de formes de vie extraterrestres n'étant évidemment pas une question essentielle pour le salut de l'humanité, les sources islamiques ne s'y sont donc pas attardées.

    Il est vrai cependant que cette question a été évoquée par certains savants musulmans, et ce, à propos d'un verset du Coran qui dit: "Allah qui a crée sept cieux et autant de terres. Entre eux (Son) commandement descend…." (Verset 12/ Sourate 65) Tandis que certains savants pensent que le terme "terres" employé dans ce verset désigne les plaques continentales, les multiples régions de la terre ou les différentes couches qui composent la croûte terrestre, un grand nombre de commentateurs du Qour'aane (comme Allâma Aloûsi r.a., auteur de l'ouvrage nommé "Tafsir Rouhoul Mâ'ani") pense, qu'au contraire, ce verset constitue une preuve de la pluralité des mondes et des planètes habités. Selon eux, ces planètes seraient séparés par de grandes distances et abriteraient chacune des formes de vie dont Allah est le Seul à connaître la nature. Cette opinion est quelque peu confirmée par une Tradition rapportée du Prophète Mohammad (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) , dont l'authenticité, il est vrai, à été plus ou moins sévèrement critiquée (en fait, il semblerait que les propos en question soient en fait ceux de Ibné Abbâs (radhia Allâhou anhou) ; cette Tradition commente donc ce verset en disant: "Il y a sept terres, sur chacune d'elle il y a un Prophète comme le votre, et il y a eu un Adam comme votre Adam, un Noé comme le votre, un Abraham comme le votre, un Jésus comme le votre". Les savants expliquent ce Hadith (Tradition) en disant que chacun de ces mondes est habité par des créatures d'une origine commune, tout comme l'espèce humaine, et Dieu a aussi choisi parmi eux des êtres qu'Il a élu, tout comme il a choisi parmi les hommes des Prophètes comme Noé, Abraham, Jésus…. Certain théologiens musulmans connus, comme Wahab r.a., affirment qu'il existe plusieurs centaines de mondes différents.

    Par ailleurs, il est intéressant de rappeler que les anges peuvent aussi être considérés comme des "extraterrestres", au sens littéral du terme, car ce sont des créatures qui vivent en dehors du globe terrestre. D'après une tradition prophétique (Hadith) rapportée par de nombreux auteurs, il apparaît que les êtres humains peuvent parfois apercevoir des anges, et la forme dans laquelle ils apparaissent (d'après la description qui en est donnée) est assez troublante. Jugez-en par vous mêmes:

    Abou Saïd al khoudri (que Dieu l'agrée) (il s'agit d'un Compagnon du Prophète Mohammad (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui)) rapporte qu'une nuit, alors qu'Ousayd bin Houzayr (que Dieu l'agrée) était en train de réciter le Coran, (assis) dans son parc à chameaux, son cheval (qui était près de lui) commença tout à coup à s'agiter; il continua de réciter et le cheval s'agita à nouveau. Il continua (quand même) à lire et l'animal s'agita encore. Ousayd (que Dieu l'agrée) dit: "J'eus peur qu'il ne foule (mon fils,) Yahya (qui était près de lui). Je me levai pour aller le voir et c'est alors que je vis comme une ombre (ou un nuage) au dessus de ma tête, dans laquelle il y avait des sortes de lanternes. Elle s'éleva dans les airs, jusqu'à ce que je la perdis de vue." Il dit: Le (lendemain) matin, j'allai voir le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) et je dis: "O Envoyé de Dieu ! Alors que j'étais en train de réciter le Coran la nuit dernière dans mon parc à chameaux, mon cheval commença tout à coup à s'agiter." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je repris ma lecture, mais l'animal s'agita à nouveau." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je repris ma lecture et le cheval s'agita encore." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "Tu aurai du continuer à lire, ibné Ousayd". Il dit: "Je me levai (alors) , (car) Yahya étant près de lui, j'eus peur qu'il ne l'écrase. C'est à ce moment que je vis comme une ombre (ou un nuage) dans laquelle il y avait comme des lanternes. Elle s'éleva dans les airs jusqu'à ce que je la perdis de vue." Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit: "C'étaient les anges qui t'écoutaient. (D'après une autre version, le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) dit qu'il s'agissait de la "sakînah". Il y a un grand nombre de divergences parmi les savants musulmans quant au sens de ce terme. Ce qui ressort de ces divergences, c'est que la "sakînah" est une créature particulière d'Allah qui descend parfois sur terre accompagnée d'anges.) Et si tu avais continué ta récitation, (elle serait restée et) les gens l'auraient vue le matin; elle ne se serait pas dissimulée d'eux."

    (Rapporté par Mouslim, Ahmad, Nisaï et Boukhâri r.a.)

    Wa Allâhou A'lam !

    Dieu est Plus Savant !


    Est-ce une première correlation entre anges & OVNI ?
    Ousayd Ben Houdayr -que Dieu l'agrée- a rapporté qu'une nuit il
    lisait la sourate de la Vache, alors que son cheval était attaché
    près de lui. Le cheval commença à s'agiter, mais quand il cessa la
    lecture, l'animal s'apaisa. Puis de nouveau il continua la lecture,
    le cheval s'agita de nouveau, et quand il arrêta la lecture, il
    s'apaisa, et ce fut ainsi pour la troisième fois. En poursuivant sa
    lecture, le cheval s'agita, il le laissa et sortit en traînant son
    fils qui était près de l'animal de peur qu'il ne lui fasse du mal et
    il leva ses yeux vers le ciel et vit comme une nuée de cierges qui
    s'éloigna pour disparaître à la fin. Le matin, il alla raconter ce
    fait au Prophète (BSDL) qui lui dit: "Tu devais continuer ta
    récitation, ô Ibn Houdayr! Tu devais continuer ta récitation ô Ibn
    Houdayr!". Il lui répondit: "O Messager de Dieu, j'avais peur que le
    cheval ne foule mon fils Yahia aux pieds car il était tout près de
    lui. J'ai levé la tête (du Livre de Dieu) et je suis allé vers mon
    fils, puis comme je levai ma tête vers le ciel, je vis comme un nuage
    dans lequel il y avait des lampes qui s'éloignèrent et que je perdis
    de vue". Le Messager de Dieu (BSDL) lui demanda: "Sais-tu ce que
    c'était?" -Non, répondit-il. Et le Prophète (BSDL) de répliquer:
    "C'étaient les anges qui s'approchaient quand tu lisais. Si tu avais
    poursuivi ta lecture, le matin, les gens auraient pu les voir sans
    échapper à leur vue". (Rapporté par Boukhari et Mouslim).

    BSDL: bénédiction et salut de Dieu sur lui

    Les Compagnons du Prophète (Hayat-Assahaba)
    Par Mouhammad Youssef Al-Kandahlawi - Volume II
    Traduit par Fawzi Chaaban
    Éditeur: Dar El Fikr - Beyrouth/Liban
    Page 357


    Les E.T. un bug dans la théologie ?
    Posté par Neo Trouvetou le 2 mai 2008 dans > Blog Note, Croyances • 2 commentaires

    Monseigneur Corrado Balducci, théologien au Vatican, avait déjà engagé l’Eglise dans la voie d’une reconnaissance de la réalité extraterrestre. Hier, le directeur de l’observatoire de Castel Gandolfo vient de rappeller que la foi en Dieu n’exclut pas d’envisager l’existence des aliens.
    Le Révérend Jose Gabriel Funes a déclaré que l’immense étendue de l’univers montre qu’il est possible que d’autres formes de vie existent en-dehors de la Terre, même des êtres évolués.
    Dans une interview publiée par L’Osservatore Romano le 13 mai, jour anniversaire de la première apparition de Fatima, le Révérend Funes a dit que cette idée “ne saurait être contraire à la foi chrétienne” parce que les aliens seraient des créatures divines.
    L’interview reprend en titre une de ses formules : “L’extraterrestre est mon frère”. Selon lui, nier l’existence des E.T. serait comme “imposer des limites” à la liberté du Créateur. “Comme il existe une multiplicité de créatures sur Terre, il peut y avoir d’autres êtres également intelligents créés par Dieu”.

    Emporté par son élan, il suggère qu’on parle alors de “notre frère extraterrestre” comme saint François d’Assise parlait de “frère” ou de “soeur” pour toutes les créatures terrestres.

    Apparement ces dernières révélations n’ont pas l’air d’émouvoir les fidèles…

    Mais qui croit vraiment que les extra-terrestres nous ont découvert depuis 1947, c’est à dire depuis les premières apparitions de disques volants?

    50 ans, c’est vraiment peu dans l’échelle du temps. Si ils ont le moyen de venir ici, c’est depuis longtemps, et quand je dis “ils” c’est qu’en plus d’après les témoignages, ils sont de multiples races différentes, alors ils n’ont pas tous trouvé en même temps notre belle planète, il y a 50 ans.

    Ils sont donc forcément là depuis longtemps, et en terme de temps, ça peut faire des millions d’années ou des dizaines de milliers d’années; en tout cas bien assez pour avoir pu “participer” au passé de nos civilisations.

    Une question se pose: alors, nous ont-ils manipulés en se faisant passer pour Dieu grâce à un arsenal technologique qui pour nos malheureux ancêtres aurait pu passer (et d’ailleurs aussi aujourd’hui dans une moindre mesure) pour des miracles?

    Qui sait qui a bien pu parler à Moïse dans le buisson ardent, et qui a bien pu générer un champ de force capable de séparer des eaux? Disons que c’est une hypothèse possible et beaucoup plus encore: probable! 9a ne veut pas dire que Dieu n’existe pas, mais que peut être certains en usurpent le nom parcequ’il ne s’occupe pas de nous de la manière qu’on pense; et d’autres prennent cette place.

    Il y a un ouvrage intéressant intitulé “Bible et OVNI” qui traite beaucoup du sujet d’ailleurs et qui montre que beaucoup de termes hébreux ayant servi à rédiger l’ancien testament peuvent être interprétés bien différemment, par rapport à leur racine. Un exemple frappant: le buisson ardent pourrait aussi être traduit par “le bouclier ardent”, et qu’est-ce qui est rond comme un bouclier, et qui reluit d’une lumière “ardente”? Je vous le donne en mille! Un OVNI!!

    La question est : que sait réellement le vatican à ce sujet ?

    Dans la foulée on apprend que “les enseignements de l´Islam admettent l´intelligence extraterrestre”, a dit le représentant du conseil des Muftis de Russie.

    “Selon le saint Coran, le Tout-Puissant parle de la création de plusieurs mondes. Nous connaissons le monde des hommes, des Djinns, des plantes et des animaux. Peut-être, ne les connaissons-nous pas tous. Le Créateur peut tout créer, D´autres créatures peuvent habiter les mondes qui sont hors de notre portée“, a dit le président du département international du conseil des Muftis, Rushan Abbyasov, cité jeudi par le quotidien Moskovsky Komsomolets,

    Il a cité une sourate du Coran disant : “Louez Allah, le Seigneur des mondes !” et mentionna qu’ainsi le saint livre Musulman confirmait que “d’autres civilisations pouvaient exister“.

    “Quand à la question si ces E.T porte le péché originel ou pas, il n’y a pas de notion du péché originel dans l’Islam. En fait, le Coran dit que si un bébé meurt, il va directement au paradis parce qu´il est pur et innocent,” a dit Abbyasov.

    Le rabbin Zinovy Kogan a dit que “le Seigneur est la cause première pour tout ce qui existe dans les micros et macros mondes.”

    “Il ne peut être exclu que d’autres créatures similaires à l’homme existent dans d’autres mondes,” souligna-t-il.

    Le secrétaire du départment du patriarcat pour les relations externes de l´Église de Moscou (Moscow Patriarchate Department for External Church Relations) pour les affaires inter-chrétiennes, Fr. Igor Vyzhanov, spéficia que la question de l’existence E.T (UFO-people) n’avait rien à faire avec les enseignements chrétiens parce qu’ils considèrent la question de salvation de l’âme humaine.

    “Je pense que les théologiens Orthodox autant que Catholiques, si interrogés, divergeraient. Certains diraient : l’existence de la vie extraterrestre est possible, comment pouvons-nous nier la puissance créatrice de Dieu. Les autres diraient que la vie terrestre est l’unique. Bien que cette question soit absolument insignifiante pour l’Église, ce n’est même pas une question scientifique, mais que curiosités futiles,” conclua le prêtre.

    source : AFP Interfax-Religion (via La Centrale Ufologique)


    Il existe de nombreuses similitudes entre les djinns et les enlèvements par des extraterrestres. Les démons sont des menteurs invétérés. Budd Hopkins disait, ne croyez jamais ce que disent les extraterrestres. Ils sont également de grands illusionnistes, capables de passer de l'état invisible à visible ou de matérialiser des objets physiques. Ils font usage de la télépathie tout comme les occupants des ovnis. Les animaux ressentent les Djinns tout comme ils sont sensibles aux manifestations OVNI. Les traditions musulmanes rapportent que les djinns peuvent prendre la forme d'animaux tout comme les aliens se dissimulant sous l'aspect d'animaux en guise de souvenirs écrans.


    Le Coran et la science

    Cliquez sur les titres et sous-titres pour atteindre précisément les passages souhaités


    Introduction

    I. Pourquoi le Coran contiendrait-il des connaissances scientifiques, et qu'est-ce que cela prouverait s'il en contenait ?

    II. Y a-t-il dans le Coran des connaissances scientifiques en avance sur celles de son époque ?

    Certains musulmans soutiennent que le Coran contient et expose des vérités scientifiques, qui étaient inconnues des hommes de l'époque (VIe-VIIe siècles) et impossibles à découvrir par ceux-ci. Ceux qui soutiennent cette thèse y voient un argument en faveur du caractère révélé du texte coranique : si ce livre contient des connaissances qu'aucun homme de l'époque ne possédait ni ne pouvait posséder, c'est bien la preuve qu'il est d'origine divine.
    Une telle position conduit à soulever des problèmes divers et de natures différentes, qu'il est d'abord important de ne pas confondre.
    Certes, il s'agit de savoir si, effectivement, le Coran contient des vérités de ce genre. Mais il s'agit aussi de s'interroger sur le désir même d'en chercher en lui, ainsi que sur les conclusions qu'il serait possible de tirer de leur éventuelle présence. La première recherche est, en principe et autant que possible, purement factuelle (oui ou non, le Coran expose-t-il des connaissances que seule la science moderne a été en mesure de découvrir par des voies purement humaines ?). La seconde est d'une nature différente, en ce qu'elle fait appel au raisonnement seul et non à l'établissement de faits : on peut l'appeler philosophique, ou théologico-philosophique, ou philosophico-scientifique pour une part (un livre présentant la Parole de Dieu est-il censé contenir des connaissances de physique, de chimie ou de biologie ? et si même de telles connaissances se trouvent en lui, l'inspiration divine est-elle la seule façon d'expliquer leur présence ?).
    Nous commencerons par aborder ce second groupe de questions, puis nous tenterons de faire un point de la situation à propos de la première interrogation ("factuelle"), en rassemblant informations et études, dans la mesure de nos moyens.

    Retour en haut de la page

    * * *

    I. Pourquoi le Coran contiendrait-il des connaissances scientifiques, et qu'est-ce que cela prouverait s'il en contenait ?

    Au moins depuis l'apparition de la Thora, il y a des hommes qui pensent que le Livre révélé par Dieu doit contenir toute la connaissance, y compris la connaissance scientifique, c'est-à-dire celle qui porte sur la réalité physique et la façon dont elle est organisée ; et ces hommes, dans un esprit souvent fortement teinté d'ésotérisme et de gnosticisme, voire de magie, se sont acharnés à "lire" de telles connaissances dans les textes sacrés. Des tentatives semblables ont été faites avec la Bible chrétienne, ou même, comme je l'ai déjà indiqué, avec certains édifices comme les pyramides d'Egypte : celles-ci étant alors envisagées comme des sortes de "livres de pierre", dans lesquels les bâtisseurs auraient inscrit, sous forme de signes divers, tout une science à la fois spirituelle et scientifique (quelque chose de similaire existe à propos du Temple de Salomon, dans lequel toute une tradition ésotérique a pensé trouver une telle science ; on en voit des traces dans des organisations aussi diverses que celles des Compagnons, des Rose-Croix, des Francs-Maçons, etc.). L'idée générale et simplifiée que l'on peut en tirer est celle-ci : il y a une "sagesse" totale, couvrant la totalité de ce qui est connaissable, qui est donc à la fois religieuse, philosophique et scientifique ; elle était connue des Anciens, a été cachée dans certains monuments (au sens latin, c'est-à-dire : tout ce qui recueille une mémoire, donc aussi bien édifices que livres), et ceux qui savent les déchiffrer peuvent l'y retrouver.
    Ce que l'on trouve dans l'islam d'aujourd'hui, chez certains, est un prolongement de cette attitude, dans la mesure où il y a la conviction que le Coran doit contenir toute la connaissance possible, ce qui permet d'envisager ce Livre comme absolument suffisant (rendant tous les autres livres inutiles, puisque tout s'y trouve). C'est effectivement une tendance forte de l'islam, et cela depuis son apparition, que de considérer le Coran comme l'unique nécessaire, ce qui peut et doit tenir lieu de tout ; et cela peut aller jusqu'à justifier que l'on élimine tous les autres livres. Mais ce n'est sans doute pas l'idée la plus répandue, y compris chez ceux qui prétendent aujourd'hui qu'il y a des connaissances scientifiques dans le Coran. Ils n'affirment pas nécessairement que toute la connaissance possible est écrite dans le Coran, mais plutôt que ce livre contient certaines connaissances scientifiques, inaccessibles aux hommes de l'époques, placées là comme des signes (des sortes de miracles) pour montrer que ce livre n'a pu être conçu par des hommes. Ayant ce rôle de signes, ces connaissances ne seraient donc pas à considérer comme importantes directement en elles-mêmes, mais seulement en raison de ce qu'elles montrent à propos de l'origine du texte. Par exemple, Dieu aurait révélé à Muhammad le fonctionnement du "cycle de l'eau", non pas essentiellement pour qu'il sache comment ce cycle fonctionne (et pour que les hommes en tirent ensuite un certain nombre d'applications pratiques), mais pour manifester que Lui, l'auteur du discours adressé à Muhammad et aux hommes, est plus qu'un homme.
    Or la question est ici de savoir, non pas si de telles connaissances se trouvent effectivement dans le Coran, ni s'il est vrai qu'elles étaient inconnues des hommes de l'époque (ce sera l'objet de la seconde partie de notre propos), mais de savoir ce que l'on est en droit de tirer comme conclusion, même en admettant ces deux points.
    Allons droit à l'essentiel : même si le cycle de l'eau et le développement de l'embryon humain sont expliqués dans le Coran, qu'est-ce que cela prouve ? Cela oblige-t-il à admettre aussitôt que Dieu est l'auteur de ce livre ? Non, en toute rigueur. Cela oblige seulement à admettre que l'auteur du livre est un être possédant des connaissances supérieures à celles des hommes de l'époque de Muhammad ; voilà exactement ce que l'on doit en conclure : pas plus, pas moins. Or n'y a-t-il que Dieu, et même précisément Dieu comme esprit absolu, omniscient et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui corresponde à cette description ? Non pas. Il y a bien d'autres explications possibles.
    D'abord, on peut penser à un ou plusieurs hommes qui, par leur haute intelligence et leur travail, seraient parvenus à dépasser les connaissances de leur temps. Fondamentalement, rien ne s'y oppose, puisque les connaissances en question ne sont pas du tout inaccessibles à l'homme par nature : la preuve, c'est que les hommes ont fini par les découvrir par eux-mêmes. Leur découverte s'est avérée n'être rien d'autre qu'une question de temps et d'utilisation des ressources intellectuelles de l'homme. Il suffirait donc d'admettre que certains hommes ont été en avance par rapport aux autres : et en avance dans le même registre, celui des capacités purement humaines.
    On peut même faire un pas supplémentaire, pour compléter et renforcer cette explication. Pourquoi ne pas admettre que, dans le cours de l'histoire, ont existé des civilisations d'un très haut niveau de développement intellectuel (peut-être même supérieur à celui que nous connaissons aujourd'hui), civilisations qui auraient ensuite complètement disparu d'une façon ou d'une autre, et dont le souvenir et presque tout l'héritage auraient été perdus, à l'exception de quelques vestiges (matériels ou intellectuels) ? Recueillis par quelques initiés, ces vestiges auraient pu ensuite parvenir jusqu'à d'autres hommes, appartenant à une époque beaucoup moins "savante". Cette théorie a des adhérents, et même ses lettres de noblesse : que l'on songe à la célèbre Atlantide, dont parle Platon dans le Critias, et qui eut son heure de gloire dans bien des récits de science-fiction. Hypothèse farfelue, difficile à croire et invérifiable ? Sans doute ; mais beaucoup trouveront qu'elle ne l'est pas plus, et même moins, que celle qui consiste à faire intervenir l'absolu en personne!
    Autre possibilité : pourquoi ne pas voir, dans ces connaissances contenues dans le Coran (si elles s'y trouvent bien), la marque d'une intervention d'êtres non humains mais non divins pour autant ? Pourquoi ne pas en faire l'indice d'une intervention d'extraterrestres, possédant une science très avance sur celle des hommes de l'époque ? Là encore, on trouve des gens pour soutenir cette thèse, à propos de réalisations qui semblent dépasser les possibilités des hommes vivant à l'époque où elles furent faites. Ainsi certains croient-ils que les pyramides d'Egypte (encore!) ou le temple de Baalbek ont été édifiés par des êtres venus de l'espace (ou du moins avec leur aide), ou que certains tracés anciens, figurant sur le sol au Pérou, étaient faits à l'intention de tels êtres... Là encore, l'explication paraîtra saugrenue. On est irrésistiblement enclin à penser que ceux qui soutiennent ces théories sont de doux illuminés, qui utilisent tous les prétextes pour alimenter leurs lubies ; et c'est très probablement le cas. Mais on ne voit pas pourquoi leur "explication" serait moins bonne que celle avancée par certains musulmans. A nouveau il faut remarquer que celle-là peut sembler, à bon droit, moins "coûteuse" et moins "irrationnelle" que celle-ci. Elle respecte mieux le principe d'économie, qui stipule qu'en toute recherche d'explication, il faut partir des hypothèses les plus prochaines et les plus simples, et ne se tourner, de proche en proche, vers les plus lointaines et les plus complexes, que si les premières se sont révélées insuffisantes. Or l'hypothèse d'une intervention de créatures extraterrestres est suffisante pour expliquer le point en question (ie la présence dans le Coran de connaissances scientifiques, en admettant qu'il y en ait), et elle est plus proche du fait à expliquer que celle d'une intervention divine ; pour cette raison elle peut être jugée préférable à cette dernière [.


    En somme, on l'a compris, il s'avère que la déduction "il y a dans le Coran des connaissances supérieures à celles des hommes de l'époque, donc Dieu est l'auteur du Coran" n'est pas logiquement concluante. Les connaissances en question ne font pas partie de celles qui ne peuvent avoir que Dieu comme auteur. Il n'y a nul besoin d'être l'absolu en personne pour les posséder ; elles relèvent de ce que l'homme peut très bien parvenir à connaître par lui-même, ou, pourquoi pas, recevoir d'autres créatures (sur cette question, qui est celle des contenus ne pouvant avoir que Dieu lui-même pour source, voir La question de la Révélation I, 4). La conclusion s'impose : même si le Coran contenait des connaissances scientifiques encore inconnues à l'époque de sa parution, cela ne constituerait pas une preuve ni même un signe du caractère divin de ce livre. Mais le Coran contient-il vraiment de telles connaissances ? Dans quelle mesure les lectures qui prétendent les y trouver sont-elles sérieuses et crédibles ?

    Retour en haut de la page



    II. Y a-t-il dans le Coran des connaissances scientifiques en avance sur celles de son époque ?

    Il faut commencer par tenter de dresser la liste des connaissances scientifiques (ou du moins des principales d'entre elles) qui, selon certains musulmans, seraient présentes dans le Coran. Selon les quelques recherches que nous avons pu effectuer pour l'instant, le Coran contiendrait des connaissances relatives à :

    - la structure et le développement de l'embryon humain
    - le caractère unique des empreintes digitales
    - la localisation de la zone du cerveau "dirigeant" les mouvements volontaires
    - le cycle de l'eau
    - la sphéricité de la Terre
    - la théorie du Big Bang
    - l'expansion de l'univers
    - la relativité du temps
    - l'antimatière
    - les couches de l'atmosphère

    Dès que l'on entre dans le détail, on s'aperçoit que, sur certains points, la présence de connaissances scientifiques dans le Coran est si visiblement imaginaire, qu'il suffit de lire les versets coraniques en question, puis l'interprétation qui en est donnée, pour que l'imposture soit évidente. C'est par là que nous commencerons pour "déblayer le terrain". Afin de ne pas être soupçonné d'utiliser des traductions du Coran défavorables aux partisans de la scientificité de ce livre, nous nous réfèrerons à celles qu'ils proposent eux-mêmes.

    1) Les impostures manifestes

    Pour ce premier groupe de thèmes, nous ferons état des traductions et des interprétations présentées sur le site Les miracles du Coran (http://miraclesducoran.com), qui reprend les thèses du fameux Harun Yahya (spécialement dans son livre Miracles of the Qur'an).

    a/ la théorie du Big Bang

    La théorie scientifique de l'apparition de l'univers à la suite d'un "big bang" serait déjà dans le Coran. Voici le texte coranique censé le montrer :

    "Lui qui est à l'origine des cieux et de la terre…" (Sourate al-An`âm, 101)

    où le terme "Lui" désigne Dieu. Inutile d'insister sur l'immense dose de "bonne volonté" nécessaire pour voir la théorie du big bang dans ces quelques mots.

    b/ l'antimatière

    Une théorie scientifique moderne avance que chaque particule de matière a son "double" inversé, de sorte qu'"à côté" ou "en plus" de l'univers que nous connaissons, il en existerait un autre (sorte d'"anti-univers" composé d'"antimatière"). L'auteur du Coran aurait connu cette théorie, et voici les lignes qui l'attestent :

    "Louange à Celui qui a créé tous les couples de ce que la terre fait pousser, d'eux-mêmes, et de ce qu'ils ne savent pas" (Sourate Yâ-Sîn [XXXVI], 36)

    Ce sont les mots "et de ce qu'ils ne savent pas" qui sont censés constituer une allusion claire à la théorie de l'antimatière...

    c/ le caractère unique des empreintes digitales

    Les empreintes digitales sont chaque fois uniques et absolument propres à un individu, même dans le cas des jumeaux. Cette découverte du XIXe siècle aurait été déjà connue de l'auteur du Coran, comme sont censées le montrer ces lignes :

    "L'homme, pense-t-il que Nous ne réunirons jamais ses os? Mais si! Nous sommes capable de remettre à leur place les extrémités de ses doigts" (Sourate al-Qiyamah, 3-4)

    Si l'extrémité des doigts est mentionnée, il n'y a là aucune allusion aux empreintes digitales proprement dites, et encore moins au fait qu'elles sont uniques pour chaque individu. L'interprétation la plus simple et la plus vraisemblable est que, les os du bout des doigts étant particulièrement fins, ils sont mentionnés pour montrer qu'Allah peut reconstituer l'homme de fond en comble, dans ses moindres détails.



    2) Les interprétations très généreuses

    La frontière avec le groupe précédent n'est pas toujours facile à établir. Néanmoins, on peut considérer qu'à propos des thèmes qui suivent, il y a bien dans le Coran un vague petit "quelque chose" ressemblant à ce que l'on veut lui faire dire (alors que dans le groupe précédent, il n'y avait strictement rien). A chacun de rectifier la répartition comme il l'entend, sachant qu'en tout état de cause, on évolue là dans l'ordre des nuances fort ténues... Mêmes références que précédemment.

    a/ la localisation de la zone du cerveau "dirigeant" les mouvements volontaires

    Selon la science la plus moderne, différentes zones du cerveau correspondent aux différents types d'activités psychiques (langage, mémoire...). Passons sur les multiples difficultés qu'entraîne une telle idée de "correspondance", puisque les islamo-scientistes l'acceptent eux-mêmes. La zone qui correspondrait à l'activité volontaire et consciente, en bien et en mal (en particulier l'agressivité) serait la zone pré-frontale du cerveau. L'auteur du Coran l'aurait su, qui dit :




    "Car s'il n'y met pas fin, Nous le saisirons brutalement par le toupet du front, un toupet de mensonge et d'erreur" (Sourate al-Alaq, 15-16)

    Le front est bien mentionné, comme zone où se situe le "toupet", siège de l'erreur et du mensonge. De là à voir dans ces lignes une connaissance de la localisation cérébrale des différentes activités psychiques, il y a tout de même bien loin. Les hommes ont-ils vraiment eu besoin du Coran pour appeler effronté celui qui fait preuve d'une audace de mauvais aloi, ou pour dire qu'il a du toupet ?

    b/ La relativité du temps

    Une des principales thèses de la théorie de la relativité, élaborée par A. Einstein au début du XXe siècle, est que le temps n'est pas absolument uniforme, mais se déroule plus ou moins vite selon les conditions dans lesquelles se trouve le sujet (la vitesse à laquelle il se déplace). Cela aurait été connu de l'auteur du Coran, comme le montreraient les trois extraits suivants :

    "Et ils te demandent de hâter (l'arrivée) du châtiment. Jamais Dieu ne manquera à Sa promesse. Cependant, un jour auprès de ton Seigneur, équivaut à mille ans de ce que vous comptez" (Sourate al-Hajj, 47)

    "Du ciel, Il administre toute affaire sur terre et la fait ensuite monter vers Lui en un jour équivalant à mille ans de votre calcul" (Sourate as-Sajda, 5)

    "Les anges ainsi que l'Esprit montent vers Lui en un jour dont la durée est de cinquante mille ans" (Sourate al-Maarij, 4)

    Passons sur le fait que la durée du "jour" divin est tantôt de mille ans, tantôt de cinquante mille. L'essentiel est plutôt que, ce qui est affirmé ici, c'est que le temps passé "auprès de Dieu" ou le temps de l'action divine se déroule beaucoup plus lentement que le temps terrestre. D'une part, l'idée qu'il y aurait encore du temps "auprès de Dieu" est théologiquement fausse (l'élément divin est celui de l'éternité, et non un temps quelconque). D'autre part, il n'est fait aucune allusion à la vitesse de déplacement de l'observateur, qui est pourtant le facteur essentiel dans la théorie einsteinienne. Pour considérer que ce facteur est pris en compte implicitement par le Coran, et donc que le Coran parle bien ici de la théorie de la relativité, il faudrait supposer que selon ce texte Dieu se déplace à une certaine vitesse... thèse théologiquement non moins problématique que la précédente !

    c/ L'expansion de l'univers

    Selon l'astronomie contemporaine, l'univers n'est pas fixe mais en expansion, c'est-à-dire qu'il se déploie en s'éloignant de son centre, un peu comme un ballon que l'on gonfle progressivement, et cela avec une vitesse toujours croissante. Le verset suivant montrerait que l'auteur du Coran ne l'ignorait pas, à une époque où nul n'imaginait rien de tel :

    "Le ciel, Nous l'avons construit par Notre puissance et Nous l'élargissons constamment" (Sourate adh-Dhâriyât, 47)

    Il faut admettre que, cette fois, le texte coranique offre une ressemblance assez directe avec ce qu'affirme la science moderne (à condition d'identifier le "ciel" et l'univers). Certes, l'extrême brièveté du propos rend l'interprétation islamo-scientiste bien hasardeuse. Néanmoins, au (large) bénéfice du doute, reconnaissons que ce passage peut être une fugitive allusion au fait que l'univers est en expansion, non sans rappeler :
    1) que cela reste une vague et fragile possibilité. Il semblerait que le terme "élargissons" soit le résultat d'une traduction très récente et tendancieuse.

    Pour un exposé sérieux et documenté qui va dans ce sens (avec texte arabe et argumentation linguistique), voir le dossier présenté sur le site La Parole de Dieu face à l'islam à la page :
    http://facealislam.free.fr/science_expansionunivers.html

    2) que, même si on transformait le doute en certitude, il faudrait garder à l'esprit toutes les précisions apportées ci-dessus en Première partie, relativement aux conclusions que l'on serait en droit d'en tirer.



    3) Des interprétations bien généreuses encore, attribuant de plus au Coran des connaissances... déjà connues depuis longtemps, et mieux que par lui

    Il s'agit cette fois d'interprétations présentant approximativement le même degré de fiabilité que celles du groupe précédent, mais qui offrent en plus la particularité de proposer comme révolutionnaires pour l'époque des "connaissances" qui, en fait, étaient connues, parfois depuis fort longtemps, et souvent d'une manière plus précise et plus exacte. Mêmes références que précédemment pour le point a ; pour les points b et c, nous en indiquerons d'autres au moment de les exposer.

    a/ La sphéricité de la Terre

    Tandis que tout le monde, à cette époque, aurait cru que la Terre est plate, le Coran aurait révélé qu'elle est sphérique. Le passage invoqué pour affirmer ce dernier point est le suivant :

    "Il a créé les cieux et la terre en toute vérité. Il enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur la nuit…" (Sourate az-Zumar, 5)

    D'une part, il faut bien reconnaître que la phrase "Il enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur la nuit…" constitue, dans le meilleur des cas, une image très lointaine et bien déformée de la sphéricité – sans compter que rien, dans le texte coranique, n'indique clairement que cette supposée sphéricité serait celle de la Terre. Mais d'autre part, quand bien même cette phrase constituerait une évocation de la sphéricité de la Terre, il n'en resterait pas moins que cette dernière était connue ou supposée, et cette fois de manière parfaitement explicite, bien longtemps avant l'époque du Coran (contrairement à ce que laisse croire une opinion courante fort tenace). L'affirmation de la sphéricité de la Terre remonte au minimum à Aristote, c'est-à-dire au IVe siècle avant Jésus-Christ (soit environ dix siècles avant le Coran) : on la trouve au chapitre XIV du livre II du Traité du Ciel, assortie de trois preuves, dont deux sont parfaitement valables même pour la science d'aujourd'hui (ce qui montre qu'il s'agissait de bien plus que d'une vague supposition, ou d'une fantaisie qui aurait eu l'heur de "tomber juste"). Bref : alors que le Coran propose une très vague allusion, dépourvue du moindre début de justification, Aristote avance mille ans plus tôt une thèse explicite appuyée sur une démonstration...

    On ne peut s'empêcher de remarquer, sans mauvais esprit, que les musulmans des IXe-XIIe siècles connaissaient fort bien Aristote, et que ce sont même eux qui ont permis à l'Occident chrétien de renouer avec l'oeuvre du Stagirite un contact depuis longtemps perdu. Ce qui, en l'occurrence, ne manque pas de sel. Si les islamo-scientistes modernes étaient aussi cultivés que leurs prédécesseurs (ou du moins certains d'entre eux), cela leur aurait évité de se donner là un incontestable ridicule.

    Pour un exposé court, clair et documenté de l'historique de la question de la sphéricité de la Terre, voir par exemple un article de P. Bégnana, présenté sur un site consacré à la philosophie :
    http://philo.pourtous.free.fr/Articles/Patrice/terreplate.htm



    b/ Le cycle de l'eau

    Il s'agit du cycle évaporation / pluie : l'eau qui tombe du ciel sur la terre remonte ensuite dans le ciel (évaporation), y forme des nuages, puis retombe sur la terre (pluie), etc. Certains musulmans prétendent que ce cycle était ignoré des contemporains de Muhammad, et que le Coran en offre pourtant une description claire. Or non seulement ce cycle est décrit dans la Bible, de nombreux siècles avant le Coran, mais il y est décrit nettement mieux (plus longuement et plus précisément) que dans celui-ci. Cela dit, moins en vue de soutenir que la Bible surpasse le Coran en matière de révélations scientifiques, que de montrer que ce genre de connaissance est depuis fort longtemps à la portée des hommes, sans nécessité d'un secours divin.

    Je renvoie sur ce point à un chapitre clair et détaillé d'un livre du Dr. W. Campbell (Le Coran et la Bible), présenté sur le site Jésus-islam.com, répondant en particulier aux thèses du Dr. Maurice Bucaille (La Bible, le Coran et la Science) ainsi qu'à celles d'un certain Dr. Torki, à l'adresse suivante :
    http://www.jesus-islam.com/islam/coranbible/coranbible4-1.htm

    Pour la présentation d'ensemble de l'ouvrage du Dr. W. Campbell :
    http://www.jesus-islam.com/islam/coranbible/index.htm

    Références coraniques et bibliques nombreuses et précises.



    c/ Le développement de l'embryon

    Le Coran contiendrait une description précise et exacte des différentes étapes du développement de l'embryon humain, qui auraient été complètement inconnues des hommes de l'époque. Or premièrement, les passages coraniques invoqués par les tenants de cette thèse sont courts et obscurs, soulevant d'épineuses questions de traduction. Deuxièmement, il semble bien que, lorsqu'ils sont clairs, ils contiennent de grossières erreurs (notamment une inversion de l'ordre d'apparition des os et des muscles). Troisièmement enfin, le développement de l'embryon humain avait été décrit de façon plus détaillée et aussi "juste" par le médecin grec Galien, qui vivait au IIe siècle après J.-C., soit environ cinq siècles avant le Coran.

    Je renvoie sur ce point :

    - au chapitre du livre de W. Campbell, Le Coran et la Bible, consacré à l'embryologie et à la génétique, très détaillé et très sérieux, présenté sur le site Jésus-islam.com, à la page :
    http://www.jesus-islam.com/islam/coranbible/coranbible4-2-2.htm.

    - au dossier très bien fait et très précis présenté sur le site La Parole de Dieu face à l'islam : reproduction du texte grec de Galien, citations de hadiths, citation d'un universitaire musulman (Basim Musallam), reconstitution du cheminement historique ayant permis à Muhammad d'avoir connaissance de la médecine grecque...
    http://facealislam.free.fr/embryon_grec.html

    - au dossier (moins substantiel) présenté sur le site Hérétiques, incroyants, rationalistes, à la page :
    http://www.lemanlake.com/french/islam_embryologie.htm.
    Je dois préciser que, si les informations linguistiques et scientifiques semblent sérieuses, le ton (sarcastique et moqueur) est plutôt déplacé – comme c'est assez souvent le cas de la part des critiques athées de l'islam. Quant à moi je le désapprouve.

    écrire à l'auteur

    Suite à venir

    [1]. Par "proche" et "lointain", nous n'entendons évidemment pas, ici, une distance spatiale plus ou moins grande, mais une plus ou moins grande ressemblance et conformité de nature entre l'effet et sa cause.

    http://islamenquestion.free.fr/islam%20et%20science/scienceetcoran.htm


    votre commentaire
  • La "vision" du prophète Ezechiel (-623 )




    Le prophète Ézéchiel, par Michel-Ange dans la Chapelle Sixtine.



    Le Saint Prophète Ezéchiel, dont le nom signifie "Dieu fort" (ou "Dieu fortifiera"), était fils du Prêtre Buzi et Prêtre lui-même, attaché aux institutions de la Loi et au Temple de Dieu. Il avait vingt-cinq ans lors de la première prise de Jérusalem par Nabuchodonosor (597), et fut emmené en captivité à Babylone, avec le roi Jéchonias, sa cour et tous les gens de condition, environ dix mille personnes, ainsi que les objets précieux du Temple (cf. IV Rois 24:16). Installé à Tell-Abib, près du fleuve Chobar (Nâr Kabar), grand canal navigable situé dans la région de Nippour, il prit femme, et sa maison devint un pôle d'attraction pour les Juifs exilés, qui venaient y entendre la parole de Dieu







    Vision de la "gloire de dieu" (-593)



    La description la plus précise et la plus élaborée d'un OVNI a été donné par Ezéchiel.



    C'est en -593, alors qu'Ezechiel à 30 ans et doit remplir sa fonction de prêtre, qu'il a ses premières visions. Contemporain de Jérémie, il prophétise comme ce dernier l'avait fait à Jérusalem.



    Sans grande culture, il utilise un style particulièrement compliqué pour dire trois à quatre fois la même chose et être certain d'être bien compris. Un défaut qui se révèle précieux pour ses lecteurs car, ne comprenant pas grand chose, il décrit les choses simplement, comme ils les perçoit.



    C'est cette année-là qu'il a sa 1ère vision inaugurale, où il verrait la "gloire" de Yahvé, sous la forme d'une grande nuée ressemblant à une colonne accompagnée de 4 chérubins (4 roues).



    Ezéchiel Chap1:







    « La trentième année, le 5 du quatrième mois, comme j’étais parmi les déportés près du fleuve du Kebar, les cieux s’ouvrirent et j’eus des visions divines. Le 5 du mois, c’était la déportation du roi Yoyakin, la parole de l’Eternel fut adressée à Ezéchiel, fils de Bouzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar et c’est là que la main de l’Eternel fut sur lui.



    Je regardai et voici qu’il vint du Nord un vent de tempête, une grosse nuée et une gerbe de feu qui répandait tout autour une clarté (1). Il y avait comme un éclat étincelant sortant du milieu d’elle, du milieu du feu. Au centre encore apparaissaient quatre animaux (2) dont l’aspect avait une apparence humaine.



    Chacun d’eux avait quatre faces et chacun avait quatre ailes . Leurs pieds étaient droits et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d’un veau et ils étincelaient de l’éclat du bronze poli. Ils avaient des mains humaines sous les ailes à leurs quatre côtés et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes . Leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne se détournaient pas en avançant mais chacun avançait droit devant soi.



    Quant à l’apparence de leurs faces, ils avaient tous une face d’homme, tous quatre une face de bœuf à gauche et tous quatre une face d’aigle. Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut ; chacun avait deux ailes jointes l’une à l’autre et deux qui lui couvraient le corps. Chacun avançait droit devant soi, ils avançaient dans le sens où avançait le vent et ils ne se détournaient pas en avançant. L’apparence de ces animaux avait l’aspect de charbons ardents ; c’était comme l’aspect des flambeaux et ce feu circulait entre les animaux ; le feu répandait une clarté et du feu sortaient des éclairs. Et les animaux couraient et revenaient comme la foudre.



    Je regardais "ces animaux" et voici qu’il y avait une roue à terre à côté des animaux (3)devant leurs quatre faces. L’aspect et la structure de ces roues avaient l’éclat de la chrysolithe et toutes les quatre avaient la même apparence ; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue. Quand elles avançaient, elles avançaient de leurs quatre côtés et ne se détournaient pas en avançant.



    Leurs jantes, d’une dimension formidable, leurs jantes à toutes les quatre étaient remplies d’yeux tout autour (4). Quand les animaux avançaient, les roues avançaient à côté d’eux et quand les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi. Ils avançaient dans le sens où avançait le vent et les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues. Quand ils avançaient, elles avançaient ; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues.



    Au dessus des têtes de chaque animal, apparaissait une étendue céleste qui avait l’éclat d’un formidable glacier et qui s’étendait au dessus de leurs têtes. Sous cette étendue leurs ailes étaient droites l’une contre l’autre et ils avaient chacun deux qui les couvraient, chacun deux qui couvraient leurs corps. J’entendis le bruit de leurs ailes, quand ils avançaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout-puissant ; c’était un bruit tumultueux comme celui d’une armée ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.



    Tout au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose qui avait l’aspect d’un saphir et l’apparence d’un trône ; et par-dessus cette sorte de trône apparaissait une forme humaine.(5)


    Je vis encore comme un éclat étincelant ayant l’aspect du feu qui rayonnait tout autour, depuis ce qui semblait être ses reins jusqu’en haut et depuis ce qui semblait être ses reins jusqu’en bas, je vis comme du feu et un clarté tout autour de lui. Tel l’aspect de l’arc qui est dans la nue en un jour de pluie, tel était l’aspect de la clarté qui l’entourait : c’était une apparition de la gloire de l’Eternel. A cette vue je tombai la face contre terre et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. »









    I/ Interpretation et comparaison avec les caractéristiques des ovnis :



    N'oublions pas premièrement de remettre ces descriptions dans leur contexte historique, Ezéchiel interprétait ce qu'il voyait avec les mots de l'époque, que serait ce témoignage s'il s'agissait d'un homme d'aujourd'hui? Il est clair que les mots ne seraient pas les mêmes .



    1) "une grosse nuée et une gerbe de feu qui répandait tout autour une clarté Grande lumière" :


    Je regardai et voici qu’il vint du Nord un vent de tempête, une grosse nuée et une gerbe de feu qui répandait tout autour une clarté . Il y avait comme un éclat étincelant sortant du milieu d’elle, du milieu du feu.



    a) Luminosité et gerbe de feu:







    La "gerbe de feu" est décrite comme un feu qui s'entortille, ou qui s'entremêle (à comparer avec Exode 9:24), venant du Nord ("septentrion"). Ezechiel parle d'"airain poli" ou luisant. C'est une substance inconnue ; peut-être un alliage d’or et d’argent, qui peut être traduite par "étincellement de vermeil".



    Cette luminosité s'explique par le type de propulsion de l'engin. Par exemple :La propulsion électromagnétique pulsée (P.E.P) avec une ionisation de l'air et un réfléchissement de la lumière sur les parois de l'engin "métallique".



    Voir: Le texte de Christophe Meessen présente quelques éléments d'informations qui ont conduit son père, le professeur Auguste Meessen, à privilégier la thèse de propulsion électromagnétique pulsée (PEP) dans certains cas d'observations d'ovni. http://home.nordnet.fr/~phuleux/pep.htm
    b) Nuée formation d'un cumulus :

    Une des conséquences les plus étranges du mode de propulsion était, d'après ce que j'avais pensé, le risque de voir un petit cumulus se former par le plus bleu des ciels, au-dessus de l'engin stationnant à faible altitude. En effet, la colonne d'air soumise au champ ne "pesant" plus ou presque, il se produirait un courant d'air ascendant assez violent pour crever éventuellement l'inversion cause de la pureté du ciel. Et s'il n'y avait pas inversion, l'ascendance n'en serait que plus forte. On aurait donc quelque chance de voir apparaître soudain un petit cumulus capable de se déplacer, au besoin contre le vent!



    Or, les journaux du 3 janvier 1953 ont relaté l'aventure d'un chasseur de vanneaux, ancien pilote de l'Armée de l'Air qui a vu, avec la stupéfaction que l'on devine, un petit cumulonimbus isolé dans un ciel pur se déplacer à la verticale, puis laisser jaillir de son sein une chose indéterminée qui disparut rapidement en laissant derrière elle une traînée blanche. Ceci laisse supposer que le pilote de l'engin s'était volontairement placé dans le nuage pour bénéficier du camouflage providentiel qu'il pouvait ainsi créer.



    voir; "Une hypothèse sur le fonctionnement des "Soucoupes Volantes"

    Cet article du lieutenant Jean Plantier est, à notre connaissance, la première tentative d'explication de la propulsion des soucoupes volantes. Jean Plantier développera plus tard sa théorie dans son livre la Propulsion des Soucoupes Volantes (Mame, éditeur, Paris). http://www.zeblog.com/admin-benzemas-90580



    c) Un éclat étincelant sortant du milieu du feu:



    Ici nous avons la déscription de " l'engin métallique" situé au millieu de cette Luminosité de cette gerbe de feu



    2) "quatre animaux dont l’aspect avait une apparence humaine"





    a) Les "animaux":



    Par "animaux" sont ici désignés des êtres vivants, qui ressemblent à l'homme, mais que l'on ne peut qualifier de simples humains. Il y à des differences morphologique qui les distinguent des hommes.



    Le plus étonnant c'est que cet aspect à été rapporté par certains lors de rencontres rapprochées!



    b) Des ailes:



    Ils n'avaient pas d'ailes mais comme à cet époque les seuls capable de voler etaient les oiseaux, (pas d'avions pas de technologie....) il supposa que si ils etaient capable de voler il devaient obligatoirement avoir des ailes.



    3) "il y avait une roue à terre à côté des animaux "



    il y avait une roue à terre à côté des animaux devant leurs quatre faces. L’aspect et la structure de ces roues avaient l’éclat de la chrysolithe et toutes les quatre avaient la même apparence ; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue. Quand elles avançaient, elles avançaient de leurs quatre côtés et ne se détournaient pas en avançant



    a) Les roues



    Cette description est ici encore tres évoquatrice! Quoi d'autre qu'un disque volant peut être décrit ici?





    4) "Leurs jantes, d’une dimension formidable, leurs jantes à toutes les quatre étaient remplies d’yeux tout autour. "



    a) Remplie d'yeux



    La description évidente des hublots de ces engins !





    5) "c’était un bruit tumultueux comme celui d’une armée ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes. Tout au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose qui avait l’aspect d’un saphir et l’apparence d’un trône ; et par-dessus cette sorte de trône apparaissait une forme humaine."






    a) un bruit :



    Les témoins affirment souvent qu'au momment du décollage de l'ovni ils ont constaté un sifflement.



    b)"il y avait quelque chose qui avait l’aspect d’un saphir et l’apparence d’un trône "



    La coupole ? à l'aspect d'un saphir? transparente?



    5) un éclat étincelant ayant l’aspect du feu qui rayonnait tout autour



    "Je vis encore comme un éclat étincelant ayant l’aspect du feu qui rayonnait tout autour, depuis ce qui semblait être ses reins jusqu’en haut et depuis ce qui semblait être ses reins jusqu’en bas, je vis comme du feu et un clarté tout autour de lui. Tel l’aspect de l’arc qui est dans la nue en un jour de pluie, tel était l’aspect de la clarté qui l’entourait : c’était une apparition de la gloire de l’Eternel. A cette vue je tombai la face contre terre et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. "



    a) La gloire de l'eternel



    " je vis comme du feu et un clarté tout autour de lui."



    Bref un engin complétement lumineux qu'il nomme la gloire de l'eternel ou la gloire de dieu.

    Nous trouvons dans les Écritures de nombreux récits concernant les différentes manifestations de la gloire divine. Si cette "gloire de dieu" et la description d'un engin extraterrestre avec une forte luminosité et une traînée lumineuse c'est lourd de conséquences!



    b)La voix



    "j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait"



    Une voix ? D'ou provenait cette voix ? de l'engin? donc c'est l'occupant d'un engin qui lui parle avec ce qu'on pourrait appeler un haut parleur ( il doit s'agir quand même de quelque chose de plus élaboré que cela vu l'avance technologique de ces êtres).



    Synthèse :


    Ce chapitre est assez difficile à comprendre dans la mesure où notre langage et notre technologie ont beaucoup évolué par rapport à l’époque des écrits. Ce que l’on peut dire c’est que les roues accompagnent en permanence les anges et tous ont le même schéma de déplacement. On soulignera que le comportement et l’apparence des roues sont identiques à ceux connus
    des ovnis il n'y à auccun doute.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique