• Une troupe de cavaliers pétrifiés sur leurs montures au fond d'un lac




    De tout temps, les montagnes ont été considérées come des repaires de choix pour les puissances maléfiques,<o:p></o:p>

    De nombreuses légendes, plus terrifiantes les, unes que les autres, s’attachent aux massifs et aux monts  et s’il et aux monts et s’il existe en Suisse romande une région appelé les Diablerets, c’est parce que, pendant longtemps, elle a eu la réputation d’abriter des légions de Satan.<o:p></o:p>

    Les lacs que les montagnes récitent dans leurs flancs n’ont pas bonne réputation non plus.<o:p></o:p>

    On accuse leurs eaux dormantes de se refermer sur des monstres ou de noirs secrets, il existe ainsi, en Asie  central, un lac appelé le KOU-KOU-NOR. Il se trouve à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="3205 m│tres">3205 mètres</st1:metricconverter> d’altitude et l’on disait déjà, il y a deux cent ans, que sous sa surface où se reflètent-les pics et les rocs gisaient une armée pétrifiée.<o:p></o:p>

    Nul n’aurait osé s’aventurer auprès de ses rives lorsque le soleil était couché, de peur d’être entrainé à son tour par le, génie du lac qui guettait le voyageur égaré, le saisissait de ses bras de brume et l’entrainait parmi les guerriers qui défendaient son domaine.<o:p></o:p>

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    Cette légende a éveillé un jour, chez un homme, le désir d’en savoir plus long sur elle.<o:p></o:p>

    Cet homme se nomme Lipkov et c’est un plongeur de métier. Il sollicita de son gouvernement la permission d’aller explorer les profondeurs glacées du Kou-Kou-Nor (le Lac ce nomme maintenant le Qinghai, 4400 km2, profondeur moyenne <st1:metricconverter w:st="on" productid="21 m│tres">21 mètres</st1:metricconverter>, température 2°, eau salée), pour d’avoir si, oui ou non, cette histoire d’armée pétrifiée et asservie au démon des eaux avait raison d’être.<o:p></o:p>

    L’autorisation obtenue, Lipkov, en juin 1978 forma une équipe d’hommes-grenouilles bien entrainés et peu sensibles aux contes de bonne femme. Il en prit le commandement et ce fut lui qui dirigea les premières recherches.<o:p></o:p>

    Quatre ou cinq fois de suite, il plongea dans le Kou-Kou-Nor et ne trouva rien qui ressemblât à l’armée fantôme.


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    LES NOYES AVAIENT LEURS YEUX GRANDS OUVERTS.<o:p></o:p>

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    Mais, au soir du dixième jour, mû par une soudaine impulsion Lipkov se remit à l’eau sur un autre endroit du Lac. Il s’était muni d’un puissant projecteur.<o:p></o:p>

    ALORS IL VIT, PARMI LES HERBES ET LES ALGUES A <st1:metricconverter w:st="on" productid="12 METRES">12 METRES</st1:metricconverter> DE PROFONDEUR, DES SILHOUETTES IMMBOBILES.<o:p></o:p>

    IL, Y AVAIT LA DES CHARIOTS ATTELES, AVEC DES CHEVAUX HARNACHES ENTRE LES BRANCARDS, TOUT AUTOUR, LES ENCADRANT. DES GROUPES D’HOMMES ARMES LE FIXAIENT DE LEURS YEUX GRANDS OUVERTS.<o:p></o:p>

    « J’étais comme paralysé, a raconté ensuite Lypkov, comme fasciné par cette vision de cauchemar soudain surgie du néant. Je ne pouvais plus faire un mouvement. Je suis resté là je ne sais combien de temps, sans oser m’approcher de ces êtres, de ces animaux que la mort avait laissés debout après les avoir saisie.<o:p></o:p>

    Ils étaient étrangement intacts. Les chevaux n’avaient pas perdu un grelot, pas un poil de leur crinière.<o:p></o:p>

    Les longues robes des hommes, leurs cheveux, leurs visages, leurs mains, rien n’avait subi la moindre atteinte. J’avais l’impression d’être dans un musée, parmi des personnages de cire. »<o:p></o:p>

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    L’étonnant courage de Lipkov a donc permis de prouver qu’il y avait bien une « armée pétrifié » au fond du lac Kou-Kou-Nor.<o:p></o:p>

    Il a prouvé aussi qu’il y a toujours, a la base d’une légende, un fonds de vérité. Mais le problème posé aux savants, qui ont suivit l’affaire ensuite, n’en est pas moins ardu.<o:p></o:p>

    La parfaite conservation des hommes et des chevaux peut s’expliquer par le fait que les eaux du lac ne dépassent jamais +2°, salées, et qu’elles sont très riches en tanin et en acide carbonique.<o:p></o:p>

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    VICTIMES D’ARMES PARALYSANTES INCONNUES ?<o:p></o:p>

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    Mais comment ces hommes et ces chevaux ont-ils pu rester debout, comme s’ils étaient rivés au fond ? Imaginer qu’ils se sont enfoncés comme des pierres après avoir été précipités du haut de la montagne est toujours possible. Mais la logique voudrait qu’ils soient entassés les uns sur les autres et non figés en un garde-à-vous éternel.<o:p></o:p>

    Faut-il attribuer ce « miracle » à l’usage d’armes paralysantes inconnues ?<o:p></o:p>

    Est-ce le résultat d’une expérience tentée par des êtres plus avancés que nous. On ignore encore tout aujourd’hui en 2008, et le monde scientifique ne veut rien dire sur cette découverte, et toute cette histoire reste TOP SECRET.<o:p></o:p>

    Les cavaliers, et leurs montures sont toujours dans le lac, mis à part deux ou trois pour des recherches américaines.<o:p></o:p>

    Caractéristique du Lac<o:p></o:p>

    -Superficie 4400 – 4583 km²(le lac se vide et son niveau varie saisonnièrement)<o:p></o:p>

    Profondeur moyenne : <st1:metricconverter w:st="on" productid="21 m">21 m</st1:metricconverter><o:p></o:p>

    Profondeur maximale : <st1:metricconverter w:st="on" productid="27 m">27 m</st1:metricconverter><o:p></o:p>

    Bassin versant : 29660 km²<o:p></o:p>

    Altitude : <st1:metricconverter w:st="on" productid="3266 m">3266 m</st1:metricconverter> (Nord-Ouest du plateau Tibétain, région de l’Amdo)<o:p></o:p>

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    Sources : Gérard Gilles 1978 (Archives)<o:p></o:p>

                     Recherches privées <o:p></o:p>

                                                               Courtons le bas le 17 Aout 2008<o:p></o:p>

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                                                                       Claude BURKEL

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