• Concentration D'O.V.N.I en SAONE et LOIRE


    ÉTUDE DES ANCIENNES OBSERVATIONS EN FRANCE<o:p></o:p>

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    CINQ OBJETS VOLANTS ONT ÉTÉ OBSERVES EN TROIS MOIS DANS LA RÉGION DE BAUDRIERES


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    <o:p></o:p>En ce soir de février, du côté de Baudrières, le grand silence des nuits d’hiver a envahi <o:p></o:p>

    Depuis longtemps déjà la plaine bressane qui s’étale le long de la Saône.<o:p></o:p>

    Au hameau de Saugy, dans leur maison isolée du bourg, les époux Bergerot et leurs enfants sont soudain tirés de leur sommeil par un hurlement étrange qui les plonge aussitôt dans l’effroi.<o:p></o:p>

    Ce n’est ni la plainte d’un oiseau de nuit, ni le glapissement d’un renard en chasse. Ce n’est pas non plus l’appel d’un klaxon. Ces notes lugubres qui crèvent les ténèbres à quelques centaines de mètres de la maison, semble-t-il, sont celles d’une sirène aux accents mystérieux.<o:p></o:p>

    On aurait pu penser qu’il s’agissait de l’avertisseur d’une ambulance américaine, dira le lendemain Bernard Bergerot.<o:p></o:p>

    Pour l’instant, cet homme sensé et plein de sang-froid demeure quasi paralysé de peur dans son lit auprès de son épouse terrorisée.<o:p></o:p>

    Car le vrombissement mystérieux enfle et se prolonge interminablement.<o:p></o:p>

    Puis, soudain, tout s’apaise. Longtemps, dans le silence revenu, les Bergerot vont chercher le sommeil.<o:p></o:p>

    Le lendemain, avant de partir pour le travail à Chalon-sur-Saône, Bernard Bergerot, sa femme et son fils s’interrogeront en vain sur le phénomène.<o:p></o:p>

    Ils ne relèvent aucune trace suspecte dans le bois voisin qu’ils vont parcourir avec les enquêteurs. Ce n’est que plus tard, qu’ils s’assureront qu’ils n’ont pas fait un cauchemar en apprenant qu’à quelques centaines de mètres de chez eux, les époux Moiceau ont été réveillés cette nuit-là par le même hurlement insolite qui les a, eux aussi, plongés dans une sorte d’angoisse indéfinissable.<o:p></o:p>

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    Mme Bergerot n’a pas oublié ces notes lugubres lorsque trois semaines plus tard, le 28 février 1977 vers 19 h 30, elles retentissent à nouveau à proximité de sa maison.<o:p></o:p>

    Une fois de plus glacée d’effroi, elle serre contre elle sa petite fille. Son mari n’est pas encore rentré du travail et Patrick, son fils, 15 ans, vient de sortir pour raccompagner jusqu’au portail Noël Thibert et Serge Gros, deux de ses amis venus lui rendre visite.<o:p></o:p>

    Lui aussi demeure paralysé au pied de l’escalier extérieur, mais ce n’est pas seulement le bruit insolite qui le cloue au sol, c’est la vision qu’il découvre au-dessus du bois situé à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="1,5 km">1,5 km</st1:metricconverter> de la maison, il raconte.<o:p></o:p>

    « Alors que le nuit était déjà tombée depuis plus d’une heure, j’ai vu soudain le bois illuminé comme en plein jour par un soleil d’été.<o:p></o:p>

    Puis, j’ai cru que je rêvais : une boule de la grosseur de deux pleines lunes, légèrement ovale descendait en saccades sur le bois. Elle était violette en son centre et rouge sur les bords.<o:p></o:p>

    Des flammèches s’en échappaient et des feux jaunes et bleus clignotaient sue les côtés.<o:p></o:p>

    C’était à  la fois fascinant et terrifiant, si bien que je ne peux dire si j’étais paralysé par le peur ou par l’admiration. <o:p></o:p>

    Au moment où il allait atteindre la         cime des arbres l’engin lumineux s’est incliné puis il a disparu comme s’il avait atterri dans le bois. Les lumières se sont alors éteintes brusquement et le bruit qui nous effrayait tant, ma mère et moi, a cessé.<o:p></o:p>

    Compte tenu de la distance à laquelle je voyais cet engin, j’estime qu’il pouvait avoir 15 à <st1:metricconverter w:st="on" productid="20 m│tres">20 mètres</st1:metricconverter> de diamètre.<o:p></o:p>

    Pour démontrer, s’il en était besoin, que le jeune Patrick n’avait pas été victime d’une hallucination, il aurait suffit à Lucien Génelot et Pierre Dumont, les enquêteurs du cercle ufologique de Louhans, de retenir les témoignages de Mme Bergerot et des deux visiteurs.<o:p></o:p>

    Tous n’ont-ils pas entendu le sinistre hurlement qui descendait du ciel ?<o:p></o:p>

    De plus, la montre de Patrick n’a telle pas été détraquée à partir de l’observation de ce phénomène ?<o:p></o:p>

    Toutefois les enquêteurs devaient renforcer ces témoignages par celui de deux jeunes femmes de voisinage : Mme Odile et Catherine Gillet.<o:p></o:p>

    Le lendemain de «  l’atterrissage » au hameau de Saugy, vers 6 heures du matin, elles sont à leur tour réveillées par un vrombissement venant du ciel.<o:p></o:p>

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    Le bébé qui dort dans la chambre voisine se met à pousser des cris de terreur.<o:p></o:p>

    Pour le calmer sa mère veut allumer la lumière, mais en vain. Le courant reste coupé tant que ce prolonge le bruit infernal. N’est-ce pas la panne classique que l’on relève dans un secteur sillonné par un          O.V.N.I. ?<o:p></o:p>

    Bientôt, une nouvelle observation va curieusement démontrer qu’en cette hiver, un mystérieux engin a choisi pour base ce bois de BRESSE.<o:p></o:p>

    Dans cette soirée du 17 mars, vers 21 heures, les Bonnot, un jeune couple de cultivateurs, terminent leur journée de labeur.<o:p></o:p>

    Leur ferme est bâtie sur le sommet d’une des rares collines qui dominent la plaine du Baudrières. De cette hauteur on découvre un large paysage et, en cette nuit de début  de printemps le ciel clair permet de deviner à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="3 km">3 km</st1:metricconverter> de là le bois de Saugy où quelques jours plus tôt Patrick Bergerot a vu «  atterrir » la sphère incandescente.<o:p></o:p>

    Soudain, Liliane, la jeune fermière s’arrête, bloquée au milieu de la cour.<o:p></o:p>

    Son regard vient d’être attiré par un énorme dôme lumineux qui descend lentement au-dessus de la masse sombre de la forêt.<o:p></o:p>

    « Il pouvait mesurer <st1:metricconverter w:st="on" productid="60 m│tres">60 mètres</st1:metricconverter> de diamètre, dira-t-elle. Il était de forme ovale et sa couleur allait du rouge à l’orange.<o:p></o:p>

    Il descendait si lentement qu’il donnait l’impression de stationner à la cime des arbres. J’ai appelé mon mari puis mes enfants et mes parents.<o:p></o:p>

    Nous étions tous sidérés et ne savions que dire devant cette merveille.<o:p></o:p>

    Nous avions beau prêter l’oreille, nous n’entendions aucun bruit.<o:p></o:p>

    Nous l’avons admiré pendant une dizaine de minutes, puis il a disparu, nous laissant supposer qu’il avait atterri. » ?<o:p></o:p>

    Comment oserait-on soupçonner ce jeune couple de cultivateur très évolués, d’avoir  été le jouet d’une « vision »<o:p></o:p>

    Pourquoi s’il était ainsi, éprouverait-il le besoin de confier cette vision à Mme Bergerot, leur tante, en ignorant que cette dernière  a été quelques semaines plutôt bouleversée par ce phénomène.<o:p></o:p>

    Dès le lendemain matin, ils lui font part, par téléphone, de leur curieuse observation.<o:p></o:p>

    «  Le dôme lumineux n’était pas loin de votre maison, dit Liliane Bonnot à sa tante. C’est pourquoi j’ai pensé que vous l’aviez vu, vous aussi. »<o:p></o:p>

    Nos, les Bergerot n’ont pas, cette fois, pas été alertés par la sirène et ils n’ont pas vu l’engin. »<o:p></o:p>

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    Mais ils racontent à leur nièce leurs observations précédentes et c’est ainsi qu’ils lui confirment qu’elle n’a pas été victime d’une hallucination.<o:p></o:p>

    Dès lors les langues vont se délier et de nombreux témoins vont se manifester dans toute cette région ; Roger Lonjaret voit, le 1 avril suivant, une « boule de feu » dans le ciel de Savigny ; Maryse Thibert n’en croit pas ses yeux lorsqu’en sortant de son travail, elle voit passer à basse altitude, entre Pont-de-Vaux et Cuisery une boule dorée et silencieuse.<o:p></o:p>

    D’autres habitants de ce coin de Bresse se mettent à raconter  d’étonnantes observations nocturnes mais refusent de donner leur nom.<o:p></o:p>

    Par chance pour les chercheurs qui se penchent désespérément sur les moindres indices pour tenter d’arracher aux O.V.N.I. sonores leurs mystères, il reste, du côté de Baudrières des témoins sincères qui ne sont ni fous, ni sourds, ni aveugles.<o:p></o:p>

    Pour ma part après une visite sur place en 1978, j’ai pu constater que les lieux d’atterrissage, que les témoins ont remarqué n’avait jamais été mentionnés dans aucun rapport, et en visitant ces lieux, des traces de brulures d’arbres étaient encore visibles nettement dans les branches.<o:p></o:p>

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    Source : Recherches personnelle<o:p></o:p>

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                                                                   Courton le bas le 24 mars 2008<o:p></o:p>

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                                                                               Claude   BURKEL

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