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Par seb90 le 19 Octobre 2008 à 12:13Concentration D'O.V.N.I en SAONE et LOIRE
ÉTUDE DES ANCIENNES OBSERVATIONS EN FRANCE<o:p></o:p>
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</o:p>CINQ OBJETS VOLANTS ONT ÉTÉ OBSERVES EN TROIS MOIS DANS LA RÉGION DE BAUDRIERES
<o:p></o:p><o:p></o:p>En ce soir de février, du côté de Baudrières, le grand silence des nuits dhiver a envahi <o:p></o:p>
Depuis longtemps déjà la plaine bressane qui sétale le long de la Saône.<o:p></o:p>
Au hameau de Saugy, dans leur maison isolée du bourg, les époux Bergerot et leurs enfants sont soudain tirés de leur sommeil par un hurlement étrange qui les plonge aussitôt dans leffroi.<o:p></o:p>
Ce nest ni la plainte dun oiseau de nuit, ni le glapissement dun renard en chasse. Ce nest pas non plus lappel dun klaxon. Ces notes lugubres qui crèvent les ténèbres à quelques centaines de mètres de la maison, semble-t-il, sont celles dune sirène aux accents mystérieux.<o:p></o:p>
On aurait pu penser quil sagissait de lavertisseur dune ambulance américaine, dira le lendemain Bernard Bergerot.<o:p></o:p>
Pour linstant, cet homme sensé et plein de sang-froid demeure quasi paralysé de peur dans son lit auprès de son épouse terrorisée.<o:p></o:p>
Car le vrombissement mystérieux enfle et se prolonge interminablement.<o:p></o:p>
Puis, soudain, tout sapaise. Longtemps, dans le silence revenu, les Bergerot vont chercher le sommeil.<o:p></o:p>
Le lendemain, avant de partir pour le travail à Chalon-sur-Saône, Bernard Bergerot, sa femme et son fils sinterrogeront en vain sur le phénomène.<o:p></o:p>
Ils ne relèvent aucune trace suspecte dans le bois voisin quils vont parcourir avec les enquêteurs. Ce nest que plus tard, quils sassureront quils nont pas fait un cauchemar en apprenant quà quelques centaines de mètres de chez eux, les époux Moiceau ont été réveillés cette nuit-là par le même hurlement insolite qui les a, eux aussi, plongés dans une sorte dangoisse indéfinissable.<o:p></o:p>
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Mme Bergerot na pas oublié ces notes lugubres lorsque trois semaines plus tard, le 28 février 1977 vers 19 h 30, elles retentissent à nouveau à proximité de sa maison.<o:p></o:p>
Une fois de plus glacée deffroi, elle serre contre elle sa petite fille. Son mari nest pas encore rentré du travail et Patrick, son fils, 15 ans, vient de sortir pour raccompagner jusquau portail Noël Thibert et Serge Gros, deux de ses amis venus lui rendre visite.<o:p></o:p>
Lui aussi demeure paralysé au pied de lescalier extérieur, mais ce nest pas seulement le bruit insolite qui le cloue au sol, cest la vision quil découvre au-dessus du bois situé à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="1,5 km">1,5 km</st1:metricconverter> de la maison, il raconte.<o:p></o:p>
« Alors que le nuit était déjà tombée depuis plus dune heure, jai vu soudain le bois illuminé comme en plein jour par un soleil dété.<o:p></o:p>
Puis, jai cru que je rêvais : une boule de la grosseur de deux pleines lunes, légèrement ovale descendait en saccades sur le bois. Elle était violette en son centre et rouge sur les bords.<o:p></o:p>
Des flammèches sen échappaient et des feux jaunes et bleus clignotaient sue les côtés.<o:p></o:p>
Cétait à la fois fascinant et terrifiant, si bien que je ne peux dire si jétais paralysé par le peur ou par ladmiration. <o:p></o:p>
Au moment où il allait atteindre la cime des arbres lengin lumineux sest incliné puis il a disparu comme sil avait atterri dans le bois. Les lumières se sont alors éteintes brusquement et le bruit qui nous effrayait tant, ma mère et moi, a cessé.<o:p></o:p>
Compte tenu de la distance à laquelle je voyais cet engin, jestime quil pouvait avoir 15 à <st1:metricconverter w:st="on" productid="20 m│tres">20 mètres</st1:metricconverter> de diamètre.<o:p></o:p>
Pour démontrer, sil en était besoin, que le jeune Patrick navait pas été victime dune hallucination, il aurait suffit à Lucien Génelot et Pierre Dumont, les enquêteurs du cercle ufologique de Louhans, de retenir les témoignages de Mme Bergerot et des deux visiteurs.<o:p></o:p>
Tous nont-ils pas entendu le sinistre hurlement qui descendait du ciel ?<o:p></o:p>
De plus, la montre de Patrick na telle pas été détraquée à partir de lobservation de ce phénomène ?<o:p></o:p>
Toutefois les enquêteurs devaient renforcer ces témoignages par celui de deux jeunes femmes de voisinage : Mme Odile et Catherine Gillet.<o:p></o:p>
Le lendemain de « latterrissage » au hameau de Saugy, vers 6 heures du matin, elles sont à leur tour réveillées par un vrombissement venant du ciel.<o:p></o:p>
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Le bébé qui dort dans la chambre voisine se met à pousser des cris de terreur.<o:p></o:p>
Pour le calmer sa mère veut allumer la lumière, mais en vain. Le courant reste coupé tant que ce prolonge le bruit infernal. Nest-ce pas la panne classique que lon relève dans un secteur sillonné par un O.V.N.I. ?<o:p></o:p>
Bientôt, une nouvelle observation va curieusement démontrer quen cette hiver, un mystérieux engin a choisi pour base ce bois de BRESSE.<o:p></o:p>
Dans cette soirée du 17 mars, vers 21 heures, les Bonnot, un jeune couple de cultivateurs, terminent leur journée de labeur.<o:p></o:p>
Leur ferme est bâtie sur le sommet dune des rares collines qui dominent la plaine du Baudrières. De cette hauteur on découvre un large paysage et, en cette nuit de début de printemps le ciel clair permet de deviner à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="3 km">3 km</st1:metricconverter> de là le bois de Saugy où quelques jours plus tôt Patrick Bergerot a vu « atterrir » la sphère incandescente.<o:p></o:p>
Soudain, Liliane, la jeune fermière sarrête, bloquée au milieu de la cour.<o:p></o:p>
Son regard vient dêtre attiré par un énorme dôme lumineux qui descend lentement au-dessus de la masse sombre de la forêt.<o:p></o:p>
« Il pouvait mesurer <st1:metricconverter w:st="on" productid="60 m│tres">60 mètres</st1:metricconverter> de diamètre, dira-t-elle. Il était de forme ovale et sa couleur allait du rouge à lorange.<o:p></o:p>
Il descendait si lentement quil donnait limpression de stationner à la cime des arbres. Jai appelé mon mari puis mes enfants et mes parents.<o:p></o:p>
Nous étions tous sidérés et ne savions que dire devant cette merveille.<o:p></o:p>
Nous avions beau prêter loreille, nous nentendions aucun bruit.<o:p></o:p>
Nous lavons admiré pendant une dizaine de minutes, puis il a disparu, nous laissant supposer quil avait atterri. » ?<o:p></o:p>
Comment oserait-on soupçonner ce jeune couple de cultivateur très évolués, davoir été le jouet dune « vision »<o:p></o:p>
Pourquoi sil était ainsi, éprouverait-il le besoin de confier cette vision à Mme Bergerot, leur tante, en ignorant que cette dernière a été quelques semaines plutôt bouleversée par ce phénomène.<o:p></o:p>
Dès le lendemain matin, ils lui font part, par téléphone, de leur curieuse observation.<o:p></o:p>
« Le dôme lumineux nétait pas loin de votre maison, dit Liliane Bonnot à sa tante. Cest pourquoi jai pensé que vous laviez vu, vous aussi. »<o:p></o:p>
Nos, les Bergerot nont pas, cette fois, pas été alertés par la sirène et ils nont pas vu lengin. »<o:p></o:p>
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</o:p>Mais ils racontent à leur nièce leurs observations précédentes et cest ainsi quils lui confirment quelle na pas été victime dune hallucination.<o:p></o:p>
Dès lors les langues vont se délier et de nombreux témoins vont se manifester dans toute cette région ; Roger Lonjaret voit, le 1 avril suivant, une « boule de feu » dans le ciel de Savigny ; Maryse Thibert nen croit pas ses yeux lorsquen sortant de son travail, elle voit passer à basse altitude, entre Pont-de-Vaux et Cuisery une boule dorée et silencieuse.<o:p></o:p>
Dautres habitants de ce coin de Bresse se mettent à raconter détonnantes observations nocturnes mais refusent de donner leur nom.<o:p></o:p>
Par chance pour les chercheurs qui se penchent désespérément sur les moindres indices pour tenter darracher aux O.V.N.I. sonores leurs mystères, il reste, du côté de Baudrières des témoins sincères qui ne sont ni fous, ni sourds, ni aveugles.<o:p></o:p>
Pour ma part après une visite sur place en 1978, jai pu constater que les lieux datterrissage, que les témoins ont remarqué navait jamais été mentionnés dans aucun rapport, et en visitant ces lieux, des traces de brulures darbres étaient encore visibles nettement dans les branches.<o:p></o:p>
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Source : Recherches personnelle<o:p></o:p>
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Courton le bas le 24 mars 2008<o:p></o:p>
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Claude BURKEL
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