• Maquette d'avion datant de 200 avant J-C







    En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av.JC.

    Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée du Caire.

    Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre.

    - Aux formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes.

    - Qui a une queue verticale et non horizontale.

    - Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.

    - L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure.

    - Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.

    - Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.

    Il peut donc voler !!! Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur.

    Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972.


    http://www.kterre.org/chronologie/info.php?id=5583

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  • Statuettes de Taennchel


    Une douzaine de statuette ont été retrouvée en 1997 par la gendarmerie à Taennchel en Alsace sur un site mégalithique. Authentifiées par des archéologues professionnels, elles auraient environ 2000 ans. Qu'est ce qui rend donc ces statuettes si extraordinaires? Eh bien le fait que les dessins gravées sur celles-ci correspondent à de nombreuses apparitions d'ovni. Aujourd'hui, ces statuettes se trouvent dans le sous-sol d'un musée alsaciens à l'écart du public.




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  • Le Mécanisme d'anticythère


    Cet appareil est trop complexe pour surgir d’un coup d’un désert technologique.


    C'est en 1900, près d'une petite île nommée Anticythère, située au sud de Cythère entre le Péloponnèse et la Crète, que fut découverte l'épave d'un navire de l'antiquité presque entièrement recouvert par un dépôt calcaire de près de 2000 ans. Parmi les objets extrait de l'épave, l'archéologue Valérios Staîs fit une découverte surprenante : plusieurs morceaux de ce qui semblait être un mécanisme constitué d'une vingtaine de roues dentées. Il fallu attendre 1955, suite a un travail fastidieux de restauration pour pouvoir mettre en évidence des graduations et des inscriptions astronomiques inscrites sur cet objet. La forme des caractères permis de le dater entre 100 et 150 ans avant J.C. ce qui confirma le rapport précédent de G.weinberg ayant datés les différents objets remontés au alentour de 65 avant J.C. A cette époque le musée d'Athènes classa cette objet en tant qu'Astrolabe : Petite carte de navigation pour les observations simples basée sur les étoiles.

    C'est ensuite en 1959 que quelqu'un d'autre s'intéressa à ce dispositif en la personne de Solla Price. Le Docteur Price est lauréat de l'université de Londres, ayant obtenu un doctorat en physique expérimentale. Il obtient une bourse de physique-mathématique à l'institut d'études avancées de Princeton puis une autre à l'université de Singapour. Il fini par revenir a Londres, navré de ne pouvoir couvrir tous les aspects de la recherche physique et mathématique. Il se décide alors à faire de la science dans son sens le plus large, à la manière des traditions humanistes, et décroche un nouveau doctorat, à Cambridge cette fois, en histoire des sciences. Après avoir étudié l'astronomie des Anciens et l'évolution des instruments scientifiques, il retourne à Washington, pour aider la Smithsonian Institution dans l'élaboration d'un nouveau Musée National d'Histoire et de Technologie. Price se servit des dernières découvertes en matière de désoxydation par électrolyse pour continuer de restaurer le mécanisme ce qui lui permit de l'identifier comme étant une horloge astronomique.

    Voici une représentation schématique du mécanisme :


    une photo prise au rayon X en 1971



    Description du mécanisme :

    L'ensemble du mécanisme mesure environ 21 centimètres sur 16 et 5 centimètres d'épaisseur. Il est constitué d'une vingtaine de roues dentées, d'axes, de tambours et d'aiguilles mobiles protégés par des étuis de bronze enfermés dans une boite en bois servant de structure au mécanisme sur laquelle se trouve trois cadrans métalliques gravés d'inscriptions. Le boîtier est couvert de trois cadrans, deux sur une face et un sur l'autre. Ce dernier est muni de deux échelles, l'une fixe, montrant les signes du zodiaque, l'autre mobile, indique les mois de l'année. Ce cardan s'ajuste parfaitement sur la roue principale qui entraîne une aiguille à l'aide d'un tambour excentré. Son but était donc, semble t'il, d'indiquer les mouvement du soleil au sein du zodiaque. De plus, grâce à des lettres-clés sur l'échelle du zodiaque, lettres qui correspondent à d'autres sur l'échelle du calendrier astronomique, il indiquait les déplacements des étoiles les plus brillantes et des constellations dans le ciel. Les cadrans arrière sont plus complexes : celui du dessus est gravé de quatre cercles concentriques, celui du dessous en a trois.

    En outre, à chacun est annexé un petit cadran supplémentaire, un peu comme pour les secondes sur nos montres. Chaque espace entre les cercles est gravé de lettres et de nombres, séparés tous les six degrés par un trait. Pour le cadran inférieur, cela semble indiquer : "lune : autant d'heures, soleil : autant", soit les mouvements des marées liées aux phases principales de la lune, ainsi que les lever et coucher de soleil. Tandis que le cadran supérieur renseigne sur les mouvements apparents des planètes connues des Grecs (Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne). Enfin, le système à engrenages, une vingtaine au moins de roues dentées ont pu être préservées, était monté sur une plaque de bronze. Sur l'une des faces, on peut reconstituer tous les engrenages, le nombre de dents et leur emboîtement. L'autre face, par contre est incomplète. Le principe en est le suivant. Le mouvement est actionné par un verrou pénétrant sur le côté du boîtier. Il met en branle une roue dentée, qui elle-même fait bouger la roue principale, opérant sa révolution en un an. Cette roue est connectée à deux trains d'engrenages, qui, respectivement, montent et descendent le long de la plaque de bronze. Par les axes transversaux, ils sont solidaires des roues de l'autre côté. Là, l'engrenage traverse un tambour excentré pour aboutir à un système actionnant les aiguilles. C'est le principe même du mouvement épicyclique ou différentiel : quand on tourne le verrou d'entrée, toutes les aiguilles se meuvent à des vitesses différentes. On peut ainsi traduire en mouvement tangible les relations cycliques, qui sont à la base de l'astronomie grecque.

    On ignore, bien sûr, si l'appareil fonctionnait à la main ou automatiquement. Il aurait pu, par exemple, être tenu en main et actionné par une roue latérale ; ou bien fixé à une statue, être mis en mouvement par un dispositif hydraulique. Notons enfin une chose tout à fait remarquable. À savoir que tous les engrenages, montés sur des lames de bronze d'à peine 2 mm d'épaisseur, sont composés de roues ayant exactement les mêmes dimensions et les mêmes angles à 60°. Autrement dit, elles étaient standardisées et interchangeables. Enfin, le cadran permet d'en estimer la date de construction. Le calendrier des anciens Égyptiens conduisant à une erreur d'un quart de jour chaque année, l'échelle des mois a donc dû être ajustée d'autant. Or, les deux échelles du cadran sont déphasées de 13,5 degrés. Des tables astronomiques permettent d'en rapporter l'origine à - 80, ou alors, chaque fois 120 ans avant ou après (30 jours divisés par un quart) : - 200 est trop ancien, + 40 trop récent. Donc, si l'échelle graduée n'a pas été déplacée, l'horloge date de - 80. Ces cadrans sont les seuls spécimens d'instruments gradués que nous ait laissés l'Antiquité : on n'a jamais mis au jour un dispositif semblable, ou approchant. Or, il est évident qu'il n'a pu être le premier ni le dernier de son espèce. Et pourtant, il est totalement différent des objets manufacturés de la Grèce antique.

    Les pièces du mécanisme dans leur état actuel (Athènes, Musée archéologique)

    Les Anciens avaient des cadrans solaires ou des clepsydres. Certes, ils n'ignoraient pas le principe de l'engrenage, mais ne l'utilisaient que pour des applications simples : ainsi, leurs chars étaient équipés d'espèces de taximètres formés de couples de roues dentées. Depuis Aristote, on avait appris à actionner des aiguilles à l'aide de poids, mais sans pouvoir en régulariser le mouvement. Mais admettre que les anciens Grecs étaient des techniciens avancés est contraire à leur mentalité abstraite de philosophes, et à leur mépris du travail manuel et des machines. Les instruments qu'on leur connaît par les textes sont très ingénieux au point de vue mathématiques, mais mécaniquement plutôt rudimentaires. Le mécanisme d'Anticythère est plutôt, selon le Dr Price, une horloge mécanique ou un ordinateur analogique, en ce sens qu'il met en œuvre des mouvements simples pour éviter des calculs fastidieux. Il ressemble encore plus aux horloges astronomiques de la Renaissance. Il y aurait donc un fil ininterrompu reliant l'horloge d'Anticythère à celles du Moyen Âge que nous ont apportées les Arabes après avoir relu les textes grecs. Dans ce cas, l'horloge d'Anticythère ferait partie d'un courant important dans la civilisation hellénistique, mais que l'Histoire aurait contribué à nous cacher. Ou alors, elle provient d'une technologie aujourd'hui perdue, mais qui valait la nôtre dans le domaine de la fabrication d'instrument. Revenons pour cela aux inscriptions gravées sur les parois du boîtier.

    Le soleil y est souvent mentionné, des termes font allusion à la position des planètes, l'écliptique, calculée par Eratosthène en - 250 est mentionnée. Une des lignes cite 76 et 19 années, allusion au cycle calippique de 76 ans, qui vaut quatre fois le cycle métonique de 19 ans, ou 235 mois lunaires ; et enfin le chiffre 233 se réfère au cycle des mois lunaires pour le calcul des éclipses. En fait, ce genre de théorie arithmétique basée sur les mois sidéraux et synodiques est le thème central de l'astronomie babylonienne des Séleucides, transmise aux Grecs durant les derniers siècles avant J.- C. Il est tout à fait différent de la théorie géométrique des cycles et épicycles essentiellement grecque. Ce n'est que Claude Ptolémée qui, au IIe siècle, unifia les deux théories. L'horloge d'Anticythère serait alors la contrepartie arithmétique des modèles solaires géométriques plus familiers, connus de Platon et d'Archimède et qui ont mené au planétarium. Anticythère : un planétarium miniature ? Peut-être...

    Mais la notion de rotation de la terre sous une voûte céleste fixe était loin d'être admise... On comprend dès lors que le Dr Derek Price se soit exclamé : "Trouver une chose comme celle-là équivaut à découvrir un avion à réaction dans le tombeau de Tout-Ankh-Amon !" Un livre retraçant les recherches et ses rebondissements existe, il est intitulé "Gears From The Greeks : The Antikythera Mecanism, A Calendar Computer From Circa 80 BC". Les études et les radiographies des quatre fragments de base furent renforcées par le hasard, encore une fois, de la redécouverte d'une partie supplémentaire, trouvée dans les réserves du Musée National d'Athènes (!!). Le Professeur Ch. Karakolos se chargea de le radiographier également : ainsi fut révélé le rouage "D", pièce circulaire dentée quasiment intacte, qui permit une identification plus fine du nombre de dents - 64 - et, par voie de conséquence, le déchiffrage du nombre de dents des autres rouages en fut d'autant plus accessible. Le dernier fragment était donc le chaînon manquant qui donna le coup de pouce nécessaire à de Solla Price et dont voici les conclusions définitives. Les rouages de la mécanique, dès identification des composantes, travaillaient sous forme de "trains de rouages" autorisant la marche avant et arrière, ou si vous préférez, l'addition et la soustraction de données programmables.


    Le mécanisme reconstitué

    Au point de vue purement mécanique, les diverses manœuvres étaient optimisées par un véritable différentiel qui n'a rien à envier à ceux qu'on trouve actuellement dans les ponts arrière de nos voitures. C'est aussi là que de Solla Price put constater le réel savoir des constructeurs du calculateur : "Le différentiel est certainement la particularité mécanique la plus spectaculaire de l'appareil d'Anticythère, à cause de sa sophistication extrême et l'absence de tout précédent historique." En effet, ce mouvement différentiel dont résulte la combinaison de deux mouvements produits par une même force, ces deux mouvements étant la somme et la différence, est de loin plus évolué que celui que nous pouvons approcher avec Vitruve. Cela dit et grâce aux trains d'engrenages et au différentiel, il s'avère que le calculateur offre deux "raisons" ou proportions, l'une annuelle et l'autre approximativement mensuelle. De Dolla Price ajoute : "Les deux choix astronomiques évidents et auxquels on ne peut se dérober, seraient associés avec le fait que le mouvement synodique de la lune, le cycle des phases de la nouvelle lune à la pleine lune, est la différence entre les mouvements apparents du soleil et de la lune sur l'arrière-plan des étoiles fixes. Le soleil semble tourner à travers les étoiles du zodiaque en environ 365 jours tandis que la lune change de place en une période d'environ 27 jours 1/3 et change de phase durant son cycle en environ 29 jours 1/2." Il est, par ailleurs, confirmé que les divers rouages introduisent des nombres compatibles avec le calendrier grec du cycle de Méton dans lequel 19 années solaires correspondent exactement à 235 lunaisons ou encore à 254 (235 + 19) révolutions sidérales de la lune ; c'est le même cycle dit de Méton qui est utilisé à Stonehenge ! De Solla Price dit encore : "L'appareil contient des rouages qui correspondent très bien avec les nombres premiers de 19 et 127 qui sont utilisés dans le cycle métonique." d'où le différentiel est nourri par 254 révolutions d'un rouage et 19 révolutions inverses d'un autre rouage, cela dès que l'on tourne la roue principale de 19 tours, ce qui donne pour résultat 235 demi révolutions pour le différentiel complet et tous les rouages y attenant.

    Les nombres repris ci-dessus s'accordent aux dents des rouages. D'autres implications du différentiel sont offertes aux lecteurs du livre de Solla Price. Ce dernier s'attarde aussi aux considérations touchant l'inventeur d'une telle mécanique : "Pour Anticythère, je pense qu'il est nécessaire d'évoquer l'existence d'un génie." Evidement certains archéologues refusèrent longtemps de considérer la pièce comme un objet ancien. Ils croyaient plutôt au vestige d'un naufrage récent, entraîné là par des courants marins. Même au cours de la Renaissance, disaient-ils, on utilisait encore le grec ancien comme langue scientifique. Mais, selon le spécialiste en épigraphie, Benjamin Dean Meritt, les formes des lettres sont bien du premier siècles avant J.-C. : elles ne peuvent être plus anciennes que l'an - 100, ni dater de notre ère non plus. Les mots utilisés et leur sens astronomique sont tous de cette période. Ainsi, l'inscription la plus complète est un fragment de Papapegma (calendrier astronomique), similaire à celui d'un certain Gerninos de Rhodes, qui vécut vers - 75. L'horloge ne pouvait donc être beaucoup plus ancienne au moment où elle fut montée à bord de la galère.

    Conclusion:

    Un mystère à résoudre

    Le mécanisme d’Anticythère pose plus de questions qu’il n’en résout. Cet appareil est trop complexe pour surgir d’un coup d’un désert technologique. L’hypothèse du génie solitaire est tentante mais même un génie se réfère à des acquis. On sait que cet appareil décrivait les mouvements astronomiques. C’est bien la seule certitude que l’on ait. L’écrivain Arthur C.Clarke décrit bien la situation en soulignant que « si la perspicacité des Grecs de l’Antiquité avait été à la hauteur de leur ingéniosité, la révolution industrielle aurait commencé 1 000 ans avant Christophe Colomb.
    V.B (10.2004)

    Vous pourrez trouver tout les détails de cet article à l'adresse suivante :

    http://hlmac.free.fr/old_computer

    Liens:
    http://www.dinosoria.com/anticythere.htm


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  • Les étranges oiseaux et hieroglyphes de l'Egypte antique


    Les étranges oiseaux et hieroglyphes de l'Egypte antique

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    Les hiéroglyphes d'Abydos

    [img]http://fr.ca.msnusers.com/isapi/fetch.dll?action=MyPhotos_GetPubPhoto&PhotoID=nJQAAAHYM48ghdYcJSydP59oFmlw76BXHi1VWXjj2%21RwOwKfAslr66aQKy%2181XWh2avOulvy3iNw[/img]



    Une photographie a été prise au cours d'une visite des pyramides et temples egyptiens. L'accès à cette zone du temple serait aujourd'hui interdite aux visiteurs.





    Les hiéroglyphes d'Abydos photographiés par Sheri Nakken


    Abydos se trouve en Haute Egypte, au Nord-Ouest de Louxor (l'ancienne Thèbes). Il s'agit d'une des villes les plus importantes d'Egypte, très ancienne, et dont les origines remontent à la préhistoire. Son culte principal était consacré au dieu Osiris (qui a remplacé le dieu plus ancien Khentymentyou, "le premier des occidentaux les seigneur d'Abydos"). Son tombeau était au centre de la ville, au Nord des temples de Sethy 1er et Ramses II.

    Dans le temple d'Abydos, qui fut un moment immergé, un pan de mur, dans une section où un autre pan le recouvrait avec des hiéroglyphes égyptiens, s'est effrité et s'est effondré, révélant un autre pan derrière lui. Une photographie a été prise au cours d'une visite des pyramides et temples egyptiens.

    L'accès à cette zone du temple serait aujourd'hui interdite aux visiteurs.





    Zoom non retouché


    Cette photo intrigue car on pense y voir divers appareils aériens, notamment :

    un hélicoptère moderne (en haut à gauche)
    un sous-marin (en haut à droite)
    un vaisseau spatial (au milieu à droite)
    un planeur (en bas à droite)



    Version retouchée





    Zoom retouché


    En fait la version la plus diffusée de cette photo n'est pas cette d'origine, mais une version retouchée. Plutôt que d'éclaircir la vision du néophyte (ce qui peut être fait avec une version "dessin"), elle oriente l'interprétation, faisant quasiquement disparaître le faucon, et comblant des traits du "planeur" et du "sous-marin" afin de les rendre plus évidents.



    Explications







    Diverses tentatives auront lieu pour expliquer plus communément ces hiéroglyphes peu orthodoxes. Leur point commun est de les présenter comme des hiéroglyphes "ratés", chose que l'on est peu habitué à voir.







    Il s'agirait d'écrits par-dessus d'autres écrits, de corrections diverses. Ce qui appuie cette thèse est le fait que ces hiéroglyphes étaient initialement masqués par une portions qui a fini par s'effriter et s'écrouler. Peut-être trouverions-nous d'autres "ratés" derrière nombre de hiéroglyphes apparemment parfaits.





    Références :

    L'hélicoptère du temple d'Abydos par Thierry (UFOCom)



    http://www.ufocom.org/pages/v_fr/m_archeo/Abydos/abydos.htm

    http://www.rr0.org/Abydos.html



    [img]http://fr.ca.msnusers.com/isapi/fetch.dll?action=MyPhotos_GetPubPhoto&PhotoID=nJQCmGrMMAdBRJ2x0tBpetgDrMENy7vyS%21X8dMJ8yo5KfZJo7W3l68djXBvdkAfRYWtC1c3*CLLY[/img]



    Ces drôles d'oiseaux de l'Egypte Antique



    D'après vous que représente cette photo ?







    Et bien non ce n'est pas du tout ce que vous pensez, cet objet est une figurine d'oiseau en bois. C'est en tout cas sous cette dénomination qu'il fut répertorié et rangé dans les sous-sols du musée du Caire ou il y demeura jusqu'en 1969. Ce n'est qu'à cette date que le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre. Je ne sais pas pour vous mais moi mon rêve serait de pouvoir visiter les caves de tous les grands musées du monde ainsi que la bibliothèque du Vatican évidemment mais ne nous éloignons pas du sujet.







    D'après des études faites sur cette " oiseau en bois ", l'objet fait 14 centimètres de long pour 18 de large, il est en sycomore et pèse 39 grammes. Ses ailes sont en dièdre inverse ce qui lui procure une grande stabilité en vol. Il est parfaitement centré (son centre de gravité se situant au tiers de la corde de l'aile). L'inscription sur cet objet indique " don d'Amon ", le dieu du vent.



    Pour résumé : cette maquette d'oiseau en bois vole très bien. Ceci fut d'ailleurs démontré grâce à des répliques en balsa qui ont été réalisées en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouvernail de profondeur. Mais néanmoins un gars qui a certainement fait de grande étude a classé cela dans une boite avec l'étiquette " oiseau en bois ".



    Alors je lance ici un appel a témoin : qui parmi vous a déjà vu un oiseau avec une queue positionnée verticalement ?





    Si je ne m'abuse, tous Les oiseaux ont une queue disposée horizontalement (comme celle des dauphins et contrairement à celle des requins qui elle est verticale). Et d'après vous sous quelle étiquette se trouve maintenant ranger notre jolie maquette ? Et bien figurez vous qu'ils ne se sont pas démontés, au musée du Caire, ils ont simplement étiqueté notre objet comme " maquette d'avion ". Si vous avez bien lu, un autre gars qui a certainement fait de grandes études lui aussi a collé sur cet objet qui a plus de 2200 ans, une étiquette noter " maquette d'avion ".



    Et tout le monde trouve cela normal. Il a même fait l'objet d'une exposition spéciale dans le grand hall du musée du Caire en 1972.



    Il y a 2200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances en aérodynamiques ? Comment ont ils obtenu ce savoir ?



    Une dernière chose, les Egyptiens étaient connus pour faire des maquettes en taille réduite de leurs futurs projets de construction, alors est ce vraiment un jouet ou une maquette destinée a construire un modèle plus grand ? Alors si un de ces gars qui a fait de grandes études trouve un jour un 747 vieux de 10.000 ans en fouillant dans le sable il ne faudra pas s'étonner qu'il le range dans les caves du musée avec une étiquette " sarcophage royale " (No comment)

    http://perso.orange.fr/passe.present.futur/Articles/avion-egypte.htm



    [img]http://fr.ca.msnusers.com/isapi/fetch.dll?action=MyPhotos_GetPubPhoto&PhotoID=nJQCmGrMMAdBRJ2x0tBpetgDrMENy7vyS%21X8dMJ8yo5KfZJo7W3l68djXBvdkAfRYWtC1c3*CLLY[/img]



    L'ÉGYPTE DES PHARAONS CONNAISSAIT L'AVIATION.





    IL cherchait des ailes divines. Ce fut un avion qu'il trouva. Ainsi se résume la mésaventure -ou plutôt la très belle aventure scientifique - survenue au docteur Khalil Messiha, en 1969. Ce médecin et chercheur égyptien étudie, depuis longtemps, les dieux ailés qui furent l'objet d'un culte, sur les bords du Nil, à un moment quelconque de l'histoire.



    II avait acquis la quasi-certitude que l'Egypte antique avait mis au point certaines formes de vol mécanique. Mais jamais il n'avait songé à quelque chose d'aussi éla boré qu'un avion. Même au moment de sa trouvaille de 1969 il s'interdit de croire é un tel appareil : il crut à un simple planeur. II l'avait déniché dans les réserves mal inventoriées du musée des antiquités, au Caire. L'objet s'y empoussiérait depuis 1898. C'était une sorte de croix en bois , de sycomore - donc très résistant - d'un poids de 39 g seulement, de 18 cm d'empennage et de 14 pour la longueur du fuselage.






    Pas de pattes d'oiseau comme sur les autres "reliques", pas d'ornements ou motifs décoratifs, à l'exception d'une sorte d'oeil, à l'emplacement du "cockpit".Pour ne pas l'endommager, le docteur Khalil Messiha en fit exécuter une copie exacte en bois de balsa. Cette réplique fonctionna le mieux du monde. Il suffisait de la catapulter à la main pour lui faire décrire une courbe de vol longue et harmonieuse : les surfaces portantes étaient conçues de façon irréprochable.



    Le secrétariat d'Etat à la culture fit effectuer d'autres investigations qui furent couronnées de succès : on retrouva 14 planeurs de même genre qui furent présentés au publicdansuneexpositionetquelesscientifiques et techniciens purent étudier à loisir.(L'un des scientifiques plus passionnés fut le Scandinave Frede Melhedegaard, spécialiste des anciennes civilisations. ll dirige l'Institut Tout Ankh Amon qui, paradoxalement, ne se trouve pas au Caire mais à Stadil, au Danemark. C'est à son obligeance que je dois le plus clair de ces informations sur "l'avion des Pharaons" )







    Peu à peu se fit jour la stupéfiante interprétation : il ne s'agissait pas de planeur mais bel et bien d'avion.

    Le docteur Messiha est à peu près persuadé de la chose. II pense que ses très lointains ancêtres connaissaient certaines forces naturelles qui furent bien oubliées, ensuite, et qu'ils savaient en tirer parti; des forces capables de bien des prouesses et, notamment, de propulser des appareils dans l'atmosphère. Pas seulement des "modèles réduits" , mais des machines à l'échelle humaine.



    Certes, il n'y a aucune trace d'hélice ou de réacteur sur les "jouets de sycomore". Maison pense à une forme de dynamique expédiée depuis le sol dans l'axe de l'engin (peut-être en prenant "l'oeil" en ligne de mire). Rêveries que tout cela? Non pas. Le docteur Messiha appuie sa nouvelle conviction sur d'autres éléments : il existe des textes, sous forme d'hiéroglyphes, qui décrivent des sources d'énergie, et c'est à leur décryptage qu'il consacre aujourd'hui ses efforts.



    Nous pourrions donc en apprendre beaucoup plus long à bref délai. Voilà qui paraît renforcer, en tout cas, la thèse d'une histoire de l'Egypte beaucoup plus ancienne qu'on ne l'a enseigné jusqu'ici. L'expplication d'une "chronologie longue", liant l'Egypte à plusieurs cycles de Sirius, chacun de 13000 ans, serait exacte.

    II y aurait eu une pré-Égypte. N'était-ce pas l'Atlantide? On est tenté, bien sûr, par ce rapprochement (A propos d'une "Atlantide méditerranéenne", on peut consulter le chapitre "La grande guerre entre les Atlantes et les Lybiens" de mon livre: Les Nouvelles énigmes de l'archéologie, paru aux Editions Retz.).



    Si de telles hypothèses se vérifiaient bon nombre d'énigmes se trouveraient résolues du même coup. Si les Egyptiens ont su se déplacer par la voie des airs, ils ont pu atteindre l'Amérique et même l'Australie. II ne faudrait plus s'étonner de trouver certaines inscriptions hiéroglyphiques sur ces deux continents.



    Fin de citation

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  • La mystérieuse civilisation de Fontainebleau



    Tablette de Tartarie (Museum of History of Transylvania, Cluj-Napoca, Roumanie)


    La communauté scientifique argue que la datation au carbone est tout simplement erronée.


    Il y a une certaine ressemblance entre les idéogrammes de Fontainebleau et les caractères laissés par la civilisation hittite.



    Quelques pétroglyphes du massif de Fontainebleau dessinés par Georges Nelh
    (Initiation à l’Art rupestre du Massif de Fontainebleau, 1988)


    Faut-il pour autant faire des anciens habitants du massif de Fontainebleau les ancêtres des tribus qui sont parties coloniser l’Orient ?


    Les rochers de Fontainebleau


    Ce sont sans doute les plus visibles et étranges vestiges du passé de Fontainebleau. Il est difficile de ne pas s’interroger sur leurs formes.


    Là encore, la question se pose : ces rochers ont-il été taillés par l’homme ou par la nature ?



    Photo © Edith Guérin


    On peut observer une exactitude figurative vraiment surprenante pour certains rochers. Certains reproduisent une otarie, un éléphant, des tortues géantes, un oiseau de proie …


    Est-ce l’érosion naturelle qui s’est exercée au long des millénaires sur les formations rocheuses en grès ?



    Photo © Edith Guérin


    A notre connaissance, aucun de ces animaux, n’a évolué dans cette partie du monde, même à une époque lointaine. Mais que sait-on vraiment du passé de notre planète ?



    Photo © Edith Guérin


    Nos ancêtres, dans les grottes, peignaient leur quotidien et les animaux qui les entouraient. Cette mystérieuse civilisation n’a-t-elle pas tout simplement voulu, elle aussi, retranscrire les animaux de la vie quotidienne ?



    Photo © Edith Guérin


    Il y a un peu trop de coïncidences et de fantaisies de la nature dans toute cette affaire.


    Fontainebleau attend toujours que l’on veuille bien se pencher sur son passé. Peut-être qu’un jour, Fontainebleau deviendra le Stonehenge français.

     

    Une écriture préhistorique ?

    En examinant au microscope, un jour de 1965, un fragment d’os de renne vieux de 32 000 ans, l’archéologue américain Alexander Marshack cru y discerner une forme d’écriture.


    En effet, à la vue de ces marques, il eut le sentiment que ces tracés gravés en zigzag, étaient délibérées.
    Des marques analogues ont été découvertes sur d’autres vestiges de la période glaciaire. Ils ont toujours été considérés comme de vulgaires graffitis.


    Mais, pour Marshack, cet os, fragment d’un outil de l’homme de Cro-Magnon, découvert en Dordogne en 1911, portait la plus ancienne notation humaine.


    Pour lui, les hommes préhistoriques connaissaient déjà une forme de communication écrite.


    Il a émis l’hypothèse selon laquelle ces inscriptions seraient de nature astronomique. Un homme de Cro-Magnon aurait consigné le passage des saisons en relevant les phases de la Lune sur un « carnet » en os.




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