• A la recherche de vies futures


    Il parait aujourd’hui démontré qu’à travers certaines techniques d’hypnose on peut amener quelqu’un à trouver ses vies antérieures.

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    L’expérience, dont des spécialistes comme l’ancien docteur Kelsey ou l’Américain Helen Wambach nous ont donné maints exemples, constitue un véritable voyage dans le temps. Pourquoi, se sont demandés certains chercheurs du XII° siècle, ne serait-il pas possible de faire la même chose dans l’autre sens ?

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    Autrement dit, pourquoi ne pas tenter, en usant des inductions appropriées, d’en savoir plus sur les existences qui nous attendent.

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    Les anciens initiés affirment que tout est en tout. Nous porterions en nous notre passé mais aussi les germes de notre futur. Dès que l’on devient capable d’accéder à des états de conscience supérieurs, temps n’obéit plus aux mêmes lois. Des linéaire, avec hier, aujourd’hui et demain comme cours, il devient l’éternel présent et il est possible, sous certaines conditions, de puiser des informations sur ce qui a été et sur ce qui sera.

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    Les théories de la physique moderne depuis Einstein et ses disciples ne sont pas loin de rejoindre cet enseignement. Il se pourrait donc que nous visitions nos lendemains, qu’au lieu de régresser nous progressons et nous parvenions à connaitre les vies que nous allons vivre après celle-ci.

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    Deux chercheurs, l’Anglais David Christie-Murray et l’Américain Sally Neckermann, ont relançaient cette idée il y a déjà longtemps, émise dans les années 1907, par un savant français, le colonel de Rochas, auquel nous devons de précieux travaux en matière de magnétisme et d’hypnose. Sa recherche des vies ultérieures a été malheureusement bien oubliée chez nous.

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    Entre 1904 et 1905, de Rochas mit au point une technique qui lui permettait littéralement de promener des sujets un peu doués aussi bien dans leur passé que dans leur futur.

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    Il s’était aperçu qu’à l’aide de passes « longitudinales » (en promenant ses mains de bas en haut devant le sujet), il l’amenait à régresser. Au contraire, des passes transversales (gestes de côté) rapatriaient la personne dans son présent. Mais en poursuivant ces passes sans faire reprendre conscience au sujet, de Rochas continuait à lui faire redescendre le temps et à partir de là, parvenant à le projeter dans le futur.

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    Il expérimenta le procédé à partir de 1904, avec une dizaine de sujets toujours des femmes car elles lui paraissaient plus réceptives. Les débuts, avec une certaine Joséphine- une jeune fille qui travaillait au service de la famille de Rochas à Voiron – furent des plus prometteurs, Joséphine régressait avec une facilité extraordinaire et avait déjà exploré plusieurs existences antérieures.

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    Le savant effectua avec elle huit séances hypno magnétiques. Dès la première elle prit connaissance de son avenir immédiat. Elle raconta qu’elle avait quitté son service et travaillait comme vendeuse dans un grand magasin de Grenoble. Mais, à 25 ans, elle avait provisoirement abandonné toute activité professionnelle pour revenir vivre avec sa famille.

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    Il y eut un moment très dur au cours de la séance, Joséphine poussa un horrible cri de douleur ? Elle se mit à se tordre sur sa chaise. Son visage se transforma. Madame de Rochas, qui assistait à l’expérience, fut tellement troublée qu’elle dut quitter la pièce.

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    L’hypnotiseur chercha à en savoir plus.<o:p></o:p>

    -         J’ai maintenant 32 ans, finit par lui dire d’une voix lamentable la jeune fille dont les traits avaient incroyablement vieilli sous l’hypnose. Je suis honteuse et profondément chagrinée. Un homme m’a séduite en me promettant le mariage. Il m’a abandonnée avec mon enfant.

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    De Rochas l’amena jusqu’à l’âge de 35 ans avec un maximum de précautions. Toujours la même tristesse, un peu atténuée pourtant par les années. Son père était mort et elle vivait avec sa mère et son enfant. A 40 ans elle était toujours au village de Manziat, dans l’Isère. Son enfant était mort. Elle avait pris un travail à façon pour un couple de tailleurs.<o:p></o:p>

    Joséphine raconta qu’ensuite elle s’affaiblissait de plus en plus. A 70 ans, elle s’effondra sur sa chaise avec une expression de souffrance intense sur le visage.

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    Cette fois pas de cri, pas de contorsions. De Rochas était ému. Pour la première fois, il allait parvenir à faire vivre à quelqu’un sa propre mort. Il demanda à sa patiente si elle acceptait. Elle répondit que la vie avait été tellement dure pour elle que la mort ne l’effrayait pas.

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    Joséphine vit son corps gisant sur le lit, les parents et les proches autour d’elle, le prêtre qui finissait de dire les prières. Elle plongea dans une obscurité qu’elle imagina être sans fin. C’était la sortie classique vers la lumière ? Elle ne rencontra personne dans l’au-delà.

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    Joséphine flottait dans un no man’s land que traversaient des étoiles fugitives. Pour la première fois, elle était heureuse, à son aise. Elle ressentait néanmoins le besoin de se réincarner. La période fœtale fut incertaine.

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    De rochas ne parvint pas à obtenir de renseignements sur ce transit.<o:p></o:p>

    La voix de Joséphine devint, après d’autres passes, celle d’une petite file de deux ou trois ans. Elle dit s’appeler Lili. Son père s’appelait Claude et sa mère Françoise.

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    L’enfant ne put dire leur nom de famille ni celui de l’endroit où ils habitaient. Elle mourut entre quatre et cinq ans.

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    Et ce fut de nouveau l’au-delà. Cette fois, des esprits se manifestèrent. Le sujet avait l’impression, à leur contact, d’oublier progressivement ce qui s’était passé dans ses existences antérieures. Elle reconnaissait vaguement parmi eux des parents et des amis qui lui semblaient très lointains.<o:p></o:p>

    Elle se réincarna à nouveau. Maintenant, elle s’appelait Marie. Ses parents étaient Edmond et Rosalie Baudin. Ils vivaient à Saint-Germain-au-Mont-D’or. Elle avait 16 ans en 1970.

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    De Rochas, dans les années qui suivirent cette fantastique expérience, tenta évidemment de vérifier les dires de sa patiente. Il s’aperçut que le vrai et le faux avaient part égale dans les déclarations. Joséphine alla effectivement travailler à Grenoble. Elle eut un enfant naturel.

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    Mais elle s’était trompée sur le nom du grand magasin qui l’employait et sur les dates. Le savant en déduisit que sa technique était surtout valable pour extraire du subconscient d’un sujet les projets et les désirs secrets qui conduiraient à la réalisation de certains événements. Mais Joséphine avait-elle ou non « voyagé » dans ses vies ultérieures ou futures, ou bien les techniques hypno magnétiques avaient-elles simplement extériorisé l’avenir qu’elle se préparait sans le savoir ?

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    De Rochas changea de sujet d’expérience. Au cours d’un voyage à Paris, il rencontra une certaine Madame Lambert qui se révéla un excellent sujet hypnotique. Elle accepta de se prêter à l’expérience, De Rochas la fit vieillir et obtint tous les renseignements qu’il voulut sur le futur de sa vie actuelle.<o:p></o:p>

    Mais, au moment de mourir, lorsqu’il lui posa la question de savoir si elle voulait aller plus loin, elle refusa systématiquement et avec une terreur qui dissuada le chercheur  de poursuivre plus avant.

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    Il eut plus de chance avec un modèle de 16 ans, Juliette. De 1905 il la fit progresser jusqu’en 1908. Elle lui raconta qu’elle avait quitté Grenoble pour Genève et travaillait pour un sculpteur du nom de Drouet auquel l’avait présentée un certain Monsieur Basset.

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    De Rochas contrôla que l’un et l’autre existaient et que Juliette ne les connaissait pas encore au moment de la séance.

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    Elle raconta sa vie à Genève avec beaucoup de détails. Emploi du temps, démêlés avec certains artistes qui l’assaillaient de propositions déplacées.<o:p></o:p>

    Elle songeait à abandonner son travail de modèle, espérant une place dans une blanchisserie. L’affaire ne marche pas. Elle prit froid au cours d’une séance de pose et se retrouva pour des soins dans la région de Nice. <o:p></o:p>

    Elle mourut à 25 ans.

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    Elle fut assez discrète sur sa mort elle-même et la période qui suivit.<o:p></o:p>

    Sa mère  « suivante » perdit la vie en lui donnant naissance. Cette fois, elle était devenue un homme Emile Chaumette.<o:p></o:p>

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    Sa famille était riche  et Juliette décrivit très précisément une belle maison de maître dans laquelle vivait la famille. Emile Chaumette se fit prêtre. <o:p></o:p>

    Par la bouche de Juliette il révéla que le sacerdoce le tentait depuis l’enfance en raison de la position confortable qu’il représentait. Il n’était pas très croyant, mais dit-il, beaucoup de prêtres sont ainsi et ils n’en font pas moins de l’excellent ouvrage.<o:p></o:p>

    De Rochas eut l’idée d’une expérience amusante.<o:p></o:p>

    Il avait à l’égard de Juliette une attitude paternelle dans la vie. Durant l’hypnose, il prit familièrement «  Emile Chaumette » par la taille. Le prêtre se dégagea et prit ses distances.<o:p></o:p>

    -         Voyons, Monsieur ! Quelles sont ces mœurs ? il me faut partir célébrer la messe.<o:p></o:p>

    De Rochas ne tira aucune conclusion hâtive de ces expériences. Mais il lui sembla qu’elles devaient être poursuivies. La technique lui semblait mériter  d’être approfondie.

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    Personne ne reprit le flambeau jusqu’à ces dernières années. La vie ultérieure semblait moins passionner la recherche que l’antériorité, plus facile à contrôler, il est vrai.<o:p></o:p>

    David Christie-Murray, un hypnotiseur anglais, a décidé d’explorer ces troublantes possibilités révélées par le savant français.<o:p></o:p>

    Il est parvenu jusqu’ici à des résultats absolument positifs de projection dans le futur. Mais le dépassement de cette existence pour une vie ultérieure parait encore poser des problèmes.<o:p></o:p>

    Il a ainsi fait progresser d’abord d’un jour puis d’un an un éditeur anglais, Peter Brookesmith. L’un d’une première séance, le sujet a donné une description précise et exacte du courrier qu’il devait recevoir le lendemain. L’or d’une autre session, il a évoqué sa santé et un déplacement, à une année de distance, toujours  avec une grande précision.<o:p></o:p>

    Ces débuts plus qu’encourageants ont incité Christie-Murray à conduire plus avant de telles expériences.<o:p></o:p>

    La psychologue américain Saily Neckermann travaille de même sur la question. Elle refusa cependant de publier quoi que ce soit avant de pouvoir effectuer une vérification objective des déclarations de ses sujets.<o:p></o:p>

    L’un et l’autre sont persuadés que l’on peut avoir connaissance de notre futur, même très lointain, même lorsqu’il ne nous « appartient » plus. <o:p></o:p>

    Mais s’agit-il de réincarnation ou de voyance.<o:p></o:p>

    La question est posée. Sans doute n’est-elle pas à la veille d’être résolue.<o:p></o:p>

    En effet, on pourrait imaginer que, sous induction hypnotiques, un sujet puisse libérer une faculté spéciale qui le projette dans le futur et lui donne intimement l’impression de vivre lui-même à la place des personnes par les yeux desquelles il regarde.<o:p></o:p>

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    Dans ce cas, il ne s’agirait pas de vie ultérieure mais de rupture dans le continuum, le temps obéissant à d’autres lois dans la conscience de l’hypno magnétisé.<o:p></o:p>

    Que l’on opte pour l’une ou l’autre hypothèse, les découvertes d’Albert de Rochas méritent d’être exploitées. Nous avons aujourd’hui engagé la course à l’espace.<o:p></o:p>

    Tous les moyens d’explorer aussi le temps doivent être maintenant mis en œuvre.<o:p></o:p>

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    Depuis ces événements rien de vraiment sérieux n’a été remis en actualité,  il n’y pas de recherches dans ce domaine, dans le passé mais pas dans les vies futurs cela est triste aux XXI° siècles.<o:p></o:p>

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    Sources : Biographie de De  Rochas  1837-1914 – Etude historique sur les phénomènes paranormaux- les vies successives<o:p></o:p>

    Bibliothèque Chacormac Paris 1911.<o:p></o:p>

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                                                 Courton le bas le 1 octobre 2008<o:p></o:p>

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                                                                Claude BUKEL

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  • Une troupe de cavaliers pétrifiés sur leurs montures au fond d'un lac




    De tout temps, les montagnes ont été considérées come des repaires de choix pour les puissances maléfiques,<o:p></o:p>

    De nombreuses légendes, plus terrifiantes les, unes que les autres, s’attachent aux massifs et aux monts  et s’il et aux monts et s’il existe en Suisse romande une région appelé les Diablerets, c’est parce que, pendant longtemps, elle a eu la réputation d’abriter des légions de Satan.<o:p></o:p>

    Les lacs que les montagnes récitent dans leurs flancs n’ont pas bonne réputation non plus.<o:p></o:p>

    On accuse leurs eaux dormantes de se refermer sur des monstres ou de noirs secrets, il existe ainsi, en Asie  central, un lac appelé le KOU-KOU-NOR. Il se trouve à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="3205 m│tres">3205 mètres</st1:metricconverter> d’altitude et l’on disait déjà, il y a deux cent ans, que sous sa surface où se reflètent-les pics et les rocs gisaient une armée pétrifiée.<o:p></o:p>

    Nul n’aurait osé s’aventurer auprès de ses rives lorsque le soleil était couché, de peur d’être entrainé à son tour par le, génie du lac qui guettait le voyageur égaré, le saisissait de ses bras de brume et l’entrainait parmi les guerriers qui défendaient son domaine.<o:p></o:p>

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    Cette légende a éveillé un jour, chez un homme, le désir d’en savoir plus long sur elle.<o:p></o:p>

    Cet homme se nomme Lipkov et c’est un plongeur de métier. Il sollicita de son gouvernement la permission d’aller explorer les profondeurs glacées du Kou-Kou-Nor (le Lac ce nomme maintenant le Qinghai, 4400 km2, profondeur moyenne <st1:metricconverter w:st="on" productid="21 m│tres">21 mètres</st1:metricconverter>, température 2°, eau salée), pour d’avoir si, oui ou non, cette histoire d’armée pétrifiée et asservie au démon des eaux avait raison d’être.<o:p></o:p>

    L’autorisation obtenue, Lipkov, en juin 1978 forma une équipe d’hommes-grenouilles bien entrainés et peu sensibles aux contes de bonne femme. Il en prit le commandement et ce fut lui qui dirigea les premières recherches.<o:p></o:p>

    Quatre ou cinq fois de suite, il plongea dans le Kou-Kou-Nor et ne trouva rien qui ressemblât à l’armée fantôme.


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    LES NOYES AVAIENT LEURS YEUX GRANDS OUVERTS.<o:p></o:p>

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    Mais, au soir du dixième jour, mû par une soudaine impulsion Lipkov se remit à l’eau sur un autre endroit du Lac. Il s’était muni d’un puissant projecteur.<o:p></o:p>

    ALORS IL VIT, PARMI LES HERBES ET LES ALGUES A <st1:metricconverter w:st="on" productid="12 METRES">12 METRES</st1:metricconverter> DE PROFONDEUR, DES SILHOUETTES IMMBOBILES.<o:p></o:p>

    IL, Y AVAIT LA DES CHARIOTS ATTELES, AVEC DES CHEVAUX HARNACHES ENTRE LES BRANCARDS, TOUT AUTOUR, LES ENCADRANT. DES GROUPES D’HOMMES ARMES LE FIXAIENT DE LEURS YEUX GRANDS OUVERTS.<o:p></o:p>

    « J’étais comme paralysé, a raconté ensuite Lypkov, comme fasciné par cette vision de cauchemar soudain surgie du néant. Je ne pouvais plus faire un mouvement. Je suis resté là je ne sais combien de temps, sans oser m’approcher de ces êtres, de ces animaux que la mort avait laissés debout après les avoir saisie.<o:p></o:p>

    Ils étaient étrangement intacts. Les chevaux n’avaient pas perdu un grelot, pas un poil de leur crinière.<o:p></o:p>

    Les longues robes des hommes, leurs cheveux, leurs visages, leurs mains, rien n’avait subi la moindre atteinte. J’avais l’impression d’être dans un musée, parmi des personnages de cire. »<o:p></o:p>

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    L’étonnant courage de Lipkov a donc permis de prouver qu’il y avait bien une « armée pétrifié » au fond du lac Kou-Kou-Nor.<o:p></o:p>

    Il a prouvé aussi qu’il y a toujours, a la base d’une légende, un fonds de vérité. Mais le problème posé aux savants, qui ont suivit l’affaire ensuite, n’en est pas moins ardu.<o:p></o:p>

    La parfaite conservation des hommes et des chevaux peut s’expliquer par le fait que les eaux du lac ne dépassent jamais +2°, salées, et qu’elles sont très riches en tanin et en acide carbonique.<o:p></o:p>

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    VICTIMES D’ARMES PARALYSANTES INCONNUES ?<o:p></o:p>

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    Mais comment ces hommes et ces chevaux ont-ils pu rester debout, comme s’ils étaient rivés au fond ? Imaginer qu’ils se sont enfoncés comme des pierres après avoir été précipités du haut de la montagne est toujours possible. Mais la logique voudrait qu’ils soient entassés les uns sur les autres et non figés en un garde-à-vous éternel.<o:p></o:p>

    Faut-il attribuer ce « miracle » à l’usage d’armes paralysantes inconnues ?<o:p></o:p>

    Est-ce le résultat d’une expérience tentée par des êtres plus avancés que nous. On ignore encore tout aujourd’hui en 2008, et le monde scientifique ne veut rien dire sur cette découverte, et toute cette histoire reste TOP SECRET.<o:p></o:p>

    Les cavaliers, et leurs montures sont toujours dans le lac, mis à part deux ou trois pour des recherches américaines.<o:p></o:p>

    Caractéristique du Lac<o:p></o:p>

    -Superficie 4400 – 4583 km²(le lac se vide et son niveau varie saisonnièrement)<o:p></o:p>

    Profondeur moyenne : <st1:metricconverter w:st="on" productid="21 m">21 m</st1:metricconverter><o:p></o:p>

    Profondeur maximale : <st1:metricconverter w:st="on" productid="27 m">27 m</st1:metricconverter><o:p></o:p>

    Bassin versant : 29660 km²<o:p></o:p>

    Altitude : <st1:metricconverter w:st="on" productid="3266 m">3266 m</st1:metricconverter> (Nord-Ouest du plateau Tibétain, région de l’Amdo)<o:p></o:p>

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    Sources : Gérard Gilles 1978 (Archives)<o:p></o:p>

                     Recherches privées <o:p></o:p>

                                                               Courtons le bas le 17 Aout 2008<o:p></o:p>

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                                                                       Claude BURKEL

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  • Le scandale de l'histoire moderne


    Les mensonges continuels à l’égard des élus et du public, tout cela a engendré une psychose de dissimulation permanente, parce que la divulgation provoquerait le plus vaste scandale de l’histoire.<o:p></o:p>

    Par exemple, comment le public réagirait-il s’il savait que la dégradation des écosystèmes et la perte irréversible de milliers d’espèces de plantes et d’animaux en cause, auraient pu être évitées par la diffusion d’une information honnête dans les années 50 ?<o:p></o:p>

    Quelle serait la réaction de la société si l’on savait que des milliards de milliards de dollars ont été dépensés au fil des ans pour des projets non autorisés, et anticonstitutionnels ? <o:p></o:p>

    Et si l’on savait que l’argent du contribuable ( en France aussi ) a été affecté par des consortiums à la mise au point, dans le secret, de technologie dérivées de l’étude des objets extraterrestres tombés sur terre, puis brevetées et exploitées à grands profit ? Non seulement le contribuable a été dépossédé par la ruse, mais en plus il doit payer pour utiliser des progrès technique dont il a déjà financé les recherches à son insu.<o:p></o:p>

    Notons également en passant qu’il y eu vol de propriété intellectuelle à l’égard de nos visiteurs de l’espace. Les industries n’ont pas seulement profité de la rétention de technologies dans les domaines de l’énergie et des transports, mais elles récoltent un don providentiel grâce aux progrès de l’électronique, de la miniaturisation et de leurs retombées. <o:p></o:p>

    Tout cela constitue un vol d’argent et de technologie qui devrait appartenir au domaine public, le contribuable ayant payé déjà pour cela.<o:p></o:p>

    Ce n’est pas tout. Que diraient les gens s’ils savaient que les programmes d’exploration spatiale monstrueusement coûteux utilisant des fusées, sont des expériences primitives et inutiles, puisque des technologies et des moyens de propulsion infiniment plus avancés étaient déjà disponible avant même que nous n’allions sur la Lune ? <o:p></o:p>

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    La NASA et la plupart des compagnies associées sont autant victimes du secret que le gouvernement et le public.<o:p></o:p>

    Une toute petite fraction cloisonnée au sein de la NASA est seule au courant des technologies extraterrestres qui se cachent derrière certains projets.<o:p></o:p>

    M. Chantelain qui a travaillé à la NASA, a été, lui aussi, victime du secret, car tout accès à des informations sur les technologies de pointe lui a été refusé, il a dû, comme tout le monde, se contenter de l’ancienne physique et des propulseurs à combustion périmés. <o:p></o:p>

    Quelle honte ! Notre destinée a été prise en otage pendant cinquante années.<o:p></o:p>

    Si le coup d’Etat discret perpétré au début des années 50 était révélé maintenant, cela provoquerait un séisme social sans précèdent.<o:p></o:p>

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    LE PIRE N’A PAS ETE DIT <o:p></o:p>

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    Tout ce qui vient d’être décrit est secondaire face à un autre problème ; le groupe occulte qui dirige tout ces programmes secrets issus des O.V.N.I. a aussi la main mise exclusive sur la relation naissante entre les Extraterrestres et les humains.<o:p></o:p>

    Et cette relation a été tragiquement mal conduite, au point de nous mener au bord d’une catastrophe majeure mondiale. <o:p></o:p>

    Que se passe-t-il lorsque groupe non élu, non mandaté, auto désigné et  à dominante militaire s’occupe seul du rapport entre humains et e E.T.<o:p></o:p>

    Pareil groupe n’a du monde qu’une conception bornée et univoque.<o:p></o:p>

    Dans cet environnement, des décisions extrêmement dangereuses peuvent être prises sans réplique, sans débat, sans perspective ni vision ouverte.<o:p></o:p>

    Nous savons que, dans le secret total des militaires, des actes excessivement dangereux ont été commis à l’égard de certaines races d’Extraterrestres.<o:p></o:p>

    Nous tenons de nombreuses sources internes que des technologies avancées ont été utilisées pour cibler et détruire des OVNI.<o:p></o:p>

    Si seulement 10 pour cent de cela est vrai, nous sommes  de, en présence d’une crise diplomatique et sociale globale qui échappe totalement à notre contrôle et constitue une menace pour la planète entière.<o:p></o:p>

    Quel que soient les intentions  de ce puissant groupe, il est urgent qu’il apparaisse au grand jour et que les hommes d’Etat du monde puissent intervenir sur cette situation. (Seul, JOHN KENNEDY a voulu rendre public le contact avec les extraterrestres, nous avons vu le résultat ?)<o:p></o:p>

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    Bien que nous n’avons aucune raison de croire que les êtres de l’espace sont hostiles à notre égard, il est pourtant clair qu’ils ne tolèrent pas qu’on les agresse ; l’autodéfense est probablement un réflexe universel, ils ont jusqu’ici témoigné d’une grande patience, mais si les technologies développées en secret par les hommes arrivent à égalité avec les leurs et qu’ils se sentent menacés, un point critique pourrait être atteint ; cette perspective devrait nous faire réfléchir.<o:p></o:p>

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    LA DIVULGATION, UNE QUESTION DE SURVIE<o:p></o:p>

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    Pour faire face à pareil problème, il faudrait des hommes valables à la tête des Etats. <o:p></o:p>

    Mais si on les maintient à l’écart et que l’affaire demeure dans l’ombre, notre sort est entre les mains de la poignée d’irresponsables qui décident à notre place.<o:p></o:p>

    Cela doit changer, et vite. <o:p></o:p>

    Les motivations du secret sont claires ; pouvoir MONDIALE, contrôle économique et technologique, gel de la situation géopolitique, peur du scandale et la mise à nu du comportement de certains, etc.<o:p></o:p>

    Mais même si divulguer l’affaire OVNI /ET est de nature à provoquer un chambardement radical de toutes les facettes de la vie sur Terre, et je ne préfère pas parler des religions, et du Vatican évidemment. <o:p></o:p>

    Une relation qui pourrait être prometteuse entre l’humanité et des aliénes se trouve confisquée par des militaires aux vues biaisées et aux programmes secrets dangereux.<o:p></o:p>

    Après cinquante années de cet abus, il ne nous reste plus beaucoup de temps  avant que ne s’effondrent  les écosystèmes de la planète.<o:p></o:p>

    Il n’y a pas de choix facile, mais, il faut nous aider à faire le bon choix.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    DISQUE ABATTU A HUNTER LIGGETT<o:p></o:p>

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    Nous avons demandé à un grand spécialiste Henry Deacon, un complément d’information sur l’ovni abattu à Hunter Liggett, en Californie fin 72 ou début 73.<o:p></o:p>

    Son équipe essayait des armes à laser expérimentales sur diverses cibles dans la campagne. Soudain, un vaisseau de forme discoïdale, d’environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="30 m">30 m</st1:metricconverter> de diamètre et 8m d’épaisseur fit son apparition à quelques 135 à <st1:metricconverter w:st="on" productid="180 m">180 m</st1:metricconverter> de distance.<o:p></o:p>

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    Quelqu’un tira dessus avec le laser expérimentale de la Air Force qui était monté à l’arrière d’un camion M-35 de 2,5 tonnes. <o:p></o:p>

    Henry ne se souvient pas avoir constaté des dégâts visibles sur le vaisseau, mais celui-ci s’avéra tout de même hors d’usage.<o:p></o:p>

    Trois personnages de petite taille (qui n’étaient pas des Gris) en sortis sains et saufs, ont été capturés puis transférés à une base Niken (NdT : missiles) dans les collines près de Tilden Park, à l’est de Kensington, en Californie.<o:p></o:p>

    Tout cela s’est passé très vite et à la grande stupéfaction générale.<o:p></o:p>

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    ÉCOUTE TÉLÉPHONIQUES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Henry nous a averti de l’existence de technologies avancées d’écoute de conversations, même à l’extérieur. <o:p></o:p>

    Selon lui, des lasers satellisés  sont même capables de détecter les vibrations des vêtements d’une personne. On sait qu’un processus élémentaires déjà ancien permet de capter les vibrations imprimées à une vitre par une conversation ayant lieu derrière celle-ci.<o:p></o:p>

    Il faut prendre conscience qu’il n’est plus nécessaire de placer des puces d’écoute à l’intérieur des habitations.<o:p></o:p>

    Les téléphones cellulaires  peuvent être activés pour relayer la parole, même lorsqu’ils sont éteints ; la seule parade consiste à ôter la batterie. <o:p></o:p>

    Nos conversations peuvent être entendues pratiquement partout, n’importe quand, selon le bon vouloir des agences de renseignements.<o:p></o:p>

    <o:p>
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    CONCERNANT LE 11 SEPTEMBRE ?<o:p></o:p>

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    Henry nous a également révélé qu’il avait su longtemps à l’avance que quelque chose se préparait, et que sur son lieu de travail lui et ses collègues avaient reçu quelques heures avant l’événement des instructions détaillées.<o:p></o:p>

    Ce qui l’avait choqué à ce moment-là, c’est le ton très discret du message en question, mais aussi l’apparente absence de réaction chez la plupart de ses confrères.<o:p></o:p>

    Le but était de leur éviter de s’inquiéter lorsqu’ils apprendraient la nouvelle par les médias : «  Lorsque vous entendrez cela à la radio plus tard dans la journée, ne paniquez pas, c’était prévu »<o:p></o:p>

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    Cinq ans après l’événement, Henry est probablement le premier initié qui apporte la confirmation que le 11/9 était planifié de l’intérieur.<o:p></o:p>

    Voici quelques-unes de ses affirmations : les avions qui ont percuté les tours étaient téléguidés (se substituant aux pilotes grâces à des modifications apportées au logiciel de pilotage automatique, autorisant des virages serrés normalement impossible car dépassant les limites programmées). <o:p></o:p>

    La commande à distance se trouvait à des milliers de kilomètres des avions ; l’avion qui a percuté le Pentagone était un petit jet de la marine, également téléguidé.<o:p></o:p>

    La manœuvre eut été impossible pour un Boeing 757 parce que l’effet aérodynamique du sol l’aurait empêché d’approcher aussi bas à pleine vitesse, il aurait dû ralentir comme pour une prise de terrain ; les appels par téléphones portables étaient des faux.<o:p></o:p>

    Osama Ben Laden n’avait rien à voir dans l’affaire, sauf qu’il constituait un atout pour le gouvernement.<o:p></o:p>

    Henry pense aussi qu’il y a eu perte de contrôle du vol 93, écrasé ou abattu au-dessus de la Pennsylvanie, et que cette phase du programme a échoué.<o:p></o:p>

    Un autre bâtiment en était la cible, mais il ignore lequel, il ignore également ce qu’il est advenu des passagers du vol 77 censé percuté le Pentagone.<o:p></o:p>

    C’est là tout ce qu’il nous a dit savoir sur cette affaire.<o:p></o:p>

    Je n’ose penser à la véritable raison de cette attaque, mais il y a une relation directe, avec la guerre en Irak.<o:p></o:p>

    La population de la Terre est véritablement pris en otage par un groupe de personnes, (L’ORDRE MONDIALE), et qui échappe au Chefs d’Etats du monde.<o:p></o:p>

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    Source : Extrait des confidences de Steven M. Greer, MD docteur<o:p></o:p>

                   En médecine, est fondateur et directeur du Disclosure Projet<o:p></o:p>

                   (Projet Divulgation). En mai 2001, il présida la conférence de<o:p></o:p>

                    Presse du projet Divulgation pour le National Press Club de<o:p></o:p>

                    Washington, DC. Plus de vingt personnalités bien informées.<o:p></o:p>

     Extrait : Projet CAMELOT de Henry Deacon<o:p></o:p>

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    <o:p> </o:p>

                                                                              Courton le bas le 30-12-2007<o:p></o:p>

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                                                                                  Claude BURKEL

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  • A la merci des envahisseur

    Il y avait une lacune de taille dans le plan américain d’exploration spatiale, tel qu’il fut exposé en juillet 1950, et que les O.V.N.I. ont appliqué scrupuleusement et méthodiquement au cours de ces cinquante huit dernières années !<o:p></o:p>

    Le programme s’arrêtait à la phase sept : la tentative de « pleins contacts ».<o:p></o:p>

    Que se passerait-il si les « indigènes » de la planète en cause tentaient de s’opposer à cette intrusion ?<o:p></o:p>

    Comment les neutraliser ? Aucune allusion n’était faite à cette éventualité.<o:p></o:p>

    Il semble bien que les occupants des OVNI. aient envisagé une telle attitude, et aient étudié les moyens de neutraliser toute résistance.<o:p></o:p>

    Ce serait l’explication de toutes les perturbations électriques provoquées par le passage ou la présence des OVNI. : Arrêt des moteurs de véhicules, pannes de courant de tout ordres, que ce soit dans les systèmes électroniques des avions de chasse (Rafale de Corrèze 2008) ou des bases de missiles, ou dans les centrales alimentant les grandes régions habitées et industrielles.<o:p></o:p>

    Il serait beaucoup plus rassurant de penser que tous ces incidents sont les conséquences involontaires du mode de propulsion- électromagnétique, et courant spiralé ou autre.<o:p></o:p>

    Mais, s’il s’agit d’un plan de neutralisations, celui-ci s’annonce redoutablement au point. <o:p></o:p>

    On y trouve plusieurs volets, d’une rigoureuse logique.<o:p></o:p>

    1)   Immobiliser les terriens se déplaçant à pied : les cas de paralysie par rayon lumineux a fréquences humaines verticales, le plus connu : Marius Delwide.<o:p></o:p>

    2)   Stopper tout ce qui bouge : voiture, motos, avions : des cas innombrables là aussi, dont plusieurs sont cités dans de nombreux ouvrages.<o:p></o:p>

    Arrêt des véhicules, mais surtout un exemple-type de ce qui attendrait les chasseurs à réaction avec cet incident, dans le ciel d’Iran, en 1976 : je l’ai rapporté dans  le chapitre »Poursuite dans le ciel ». Je rappellerai seulement que les pilotes ne purent tirer sur l’engin en raison d’une paralysie soudaine de tout le système électromagnétique et de leurs communications radio.<o:p></o:p>

    3)   Rendre inutilisable les bases de lancement de missiles :<o:p></o:p>

    En raison de leur gravité, les incidents qui se sont déroulés sur les bases russes et américaines sont restés secrets.<o:p></o:p>

         Quelques-uns ont pourtant filtré. Ainsi :<o:p></o:p>

         En mai 1959, comme si les OVNI. Avaient les moyens de repérer les centres stratégiques, avec les conclusions peu rassurantes que l’on peut en tirer, les radars du quartier général de l’Etat-major des missiles, à Sverdliovsk, en plein Oural, s’affolent brusquement.<o:p></o:p>

    Sur les écrans, des échos apparaissent, disparaissent, s’immobilisent en un carrousel inquiétant. C’est l’alerte générale. La panique. Les engins évoluent à des altitudes qui les mettent hors de portée des défenses anti-aériennes. Ils ont des accélérations foudroyantes, ou s’arrêtent sans avoir marqué le moindre ralentissement préalable<o:p></o:p>

    Dans les bunkers souterrains, on vérifie fébrilement tous les appareils : ils fonctionnent parfaitement. Ce sont bien des engins matériels qui passent et repassent au-dessus du quartier général, cerveau des forces nucléaires stratégiques soviétiques.<o:p></o:p>

    Leurs évolutions se prolongeront pendant 24 heures. Un épisode qui rappelle étrangement le carrousel qui s’était déroulé au-dessus de Washington au cours des nuits des 19 et 26 juillet 1952 : une formation de huit O.V.N.I. avait survolé, en toute impunité, la Maison-Blanche, et le Pentagone, siège de l’Etat-major des forces armées U.S. de 23 h 30 à 5 heures du matin.<o:p></o:p>

    Le 2 décembre 1965, un OVNI provoque une panne d’électricité sur la région d’Els Paso, au Texas.<o:p></o:p>

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    <o:p> </o:p>

    Cette panne neutralise tous les aéroports de la région, les champs de tir des White Sands, et Fort Bliss.<o:p></o:p>

    Le 25 août 1966, un officier de l’U.S. Air force, attaché à la base de missiles intercontinentaux du Dakota du Nord, près de Minot, est à son poste dans la salle radio antiatomique, bâtie en béton armé. Il est brutalement coupé de toute liaison. Alors qu’il cherche à trouvé l’explication de cette interruption inexplicable (car le système des télécommunications avec les bases de missiles est conçu de façon à ne jamais rester interrompu : en cas d’accidents sur l’un des appareils, ou de rupture sur une longueur d’ondes déterminée, d’autres appareils ou fréquences différentes se branchent automatiquement et immédiatement), un autre officier, qui se trouve sur la base, voit un OVNI. , haut dans le ciel, qui brille d’une étrange lumière rouge. Il semble se livrer à un curieux et rapide mouvement de « yo-yo ». Les radars de la base de situent à <st1:metricconverter w:st="on" productid="30000 m">30000 m</st1:metricconverter> d’altitude. Soudain, il pique presque jusqu’au sol, remonte aussi brusquement, et disparaît au-dessus des nuages.<o:p></o:p>

    Pendant ces quelques minutes, la base a été complètement neutralisée et coupée de l’extérieur.<o:p></o:p>

    Fin octobre 1975, un OVNI. Brillant, « avec une antenne sortant du haut », survole pendant deux heurs une installation de missiles de l’U.S. Air Force, en Montana.<o:p></o:p>

    C’était comme si l’OVNI. Etait attiré par les missiles. Il stationnait juste au-dessus, ont raconté les membres du personnel de la base. Il était rond, avec d’éclatantes couleurs rouge, bleu et vert, il était de la grosseur d’un avion commercial. Il semblait s’arrêter et s’éloigner un peu, puis revenait. Aucun radar n’a enregistré l’engin.<o:p></o:p>

    4) Immobiliser les populations en interrompant les sources d’énergie électrique, qui assurent une grande partie des transports en commun- y compris les ascenseurs ! – l’éclairage et chauffage, et d’une façon générale, la vie économique et sociale d’un pays.<o:p></o:p>

    Le 9 janvier 1954, un OVNI. Parcourt, pendant deux heures, le ciel  de l’Est de la France. Alors qu’il survole la région de Champlitte (Haute-Saône), une panne générale d’électricité se produit. La lumière revient après la disparition de l’OVNI.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1957, le passage d’un grand OVNI. Provoque une panne générale à Tamaros (USA). Le courant revient quand l’OVNI s’éloigne.<o:p></o:p>

    Le 22 juillet 1958, Rome est à son tour plongée dans l’obscurité quand passe un OVNI … et la lumière revient quand il a disparu.<o:p></o:p>

    Même phénomène le 6 décembre 1958, vers 23 heures, à Bari (Italie) survolée, à faible altitude, par un OVNI.<o:p></o:p>

    Le 17 août 1959, en Argentine, dans l’état de Minas Gerais, plusieurs OVNI. Survolent, à basse altitude, les stations de distribution du secteur électrique. Elles tombent en panne au fur et à mesure.<o:p></o:p>

    A Uberlandia ? Le personnel, alerté par téléphone quelques minutes avant l’arrivée des OVNI., essaie de prévenir la panne, en tentant de refermer les sectionneurs qui avaient commencé, à s’ouvrir. Ils ne peuvent y parvenir, la présence d’un seul OVNI. Rendant vaines les mesures habituelles pour maintenir le courant. Ce dernier ne peut être rétabli qu’après le départ de l’engin mystérieux ?<o:p></o:p>

    Le 23 septembre 1965 marque le début d’une impressionnante série de pannes : à Cuernava (Mexique), au  moment où un OVNI. Survole la ville, toutes les lumières s’éteignent. Elles ne se rallument qu’après la disparition de l’engin. Parmi les témoins : le Général Rafael Vega, commandant la subdivision militaire, Valentin Gonzalès, maire de la ville, et Emilio Riva Palacie, gouverneur de la province.<o:p></o:p>

    Le 9 novembre, c’est la panne gigantesque qui frappe le nord-ouest des États-Unis : trente millions d’américains sont pris au piège dans leur voiture, les métros, les ascenseurs, les ateliers, les bureaux. Les grandes sociétés productrices d’électricités ne purent se mettre d’accord sur l’origine de cet « incident », étrangement préfiguré dans ce film «  Le jour où la Terre s’arrêta ».<o:p></o:p>

    Par contre, il est établi que des OVNI. Étaient apparus vers 16 h 30 au dessus de la Pennsylvanie, et qu’ils furent pris en chasse par des avions. A 17 h 30, un OVNI. Piqua près de Syracuse, et ce fut la panne, qui s’étendit en chaîne à une immense région.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 2 décembre, les quelques 700000 habitants du Texas, du Nouveau-Mexique et du Mexique sont privés de lumière. Cause officielle : mauvais fonctionnement d’un régulateur dans une centrale de El Paso ? Mais pourquoi a-t-il mal fonctionné ? Réponse « officieuse » ; un OVNI est passé par là. Ce qui est excessivement  grave dans cette affaire, c’est que la panne priva d’électricité d’importantes installations militaires comme la base aérienne de Holloman, le champ de tir des Wihite Sands, Fort Bliss, et de nombreux aéroports régionaux.<o:p></o:p>

    Et la principale victime fut le président Johnson, qui se trouvait dans son ranch du Texas, et conversait avec l’un de ses collaborateurs resté à la Maison Blanche, justement sur de possible intrusion extérieur à la planète : au beau milieu de leur entretien, la ligne s’était tue !<o:p></o:p>

    Bases aériennes et base de missiles aveuglées, un président « sourd et muet » : quelle inquiétante constatation.<o:p></o:p>

    Le 5 décembre, quarante mille foyers du sud-ouest du Texas sont frappés de la même cécité.<o:p></o:p>

    Le 9 janvier 1966, un OVNI. Apparaît au-dessus de Naples, principale base de l’O.T.A.N. en Méditerranée. Toutes les lumières s’éteignent, y compris celles de Capri. La panne dura quarante minutes et s’étendit de Naples à Brindisi. Deux chasseurs américains tentèrent en vain d’intercepter l’OVNI.<o:p></o:p>

    Le 24 décembre 1978, un OVNI. A mis hors d’usage une petite centrale électrique, dans le massif montagneux du Grand Sasso, en Italie.<o:p></o:p>

    A l’aube de ce jeudi, deux employés de la centrale de Prati di Tivo voient toutes les aiguilles des cadrans de contrôle devenir « folles », y compris celles des appareils hors d’usage. Finalement, la centrale s’arrête de fonctionner.<o:p></o:p>

    Peu après, les deux employés voient, dans le ciel, une sphère lumineuse, avec des ailerons rouges, se déplaçant silencieusement pendant plusieurs minutes avant de disparaître derrière les cimes.<o:p></o:p>

    Quelques instants plus tard, un autre témoin a vu le même appareil qu’il a photographié. Les instruments de mesure de la centrale électrique ont été mis hors d’usage. Quand à la remise en marche d’instruments jusqu’alors en panne. « Il y a aucune explication rationnelle, pas même la foudre », disent les enquêteurs.<o:p></o:p>

    Dans la nuit du 30 au 31 décembre 1978, c’est au tour de Venezuela de connaître une gigantesque panne de courant. La cause de cette panne n’a pu être déterminée.<o:p></o:p>

    Selon la presse vénézuélienne, de nombreux témoignages d’observations d’engins, auraient été enregistrés après la coupure de courant.<o:p></o:p>

    Le 23 octobre 1979, l’éclairage public du village de Villacalabuey, dans la province espagnole de Léon (<st1:metricconverter w:st="on" productid="300 km">300 km</st1:metricconverter> au nord de Madrid) s’est éteint momentanément alors qui scintillaient dans le ciel des objets volants mystérieux. Des phares de tracteurs et les lampes de certaines demeures se sont également assombris, tandis que, selon les témoins, les OVNI. Lançaient de petits éclairs d’une grande intensité. Tout est redevenu normal quand les OVNI. Se sont « éteints »<o:p></o:p>

    Depuis les années 1980, certains États ne font plus mentions de ces pannes, pour éviter toute panique.<o:p></o:p>

    Cette énumération fait apparaître brutalement l’aspect le plus inquiétant du dossier O.V.N.I. : nous serions mis totalement hors d’état d’opposer la moindre résistance à une invasion venue de l’espace. <o:p></o:p>

    Faut-il fermer les yeux, en affirmant, pour se rassurer, que les « OVNI. n’existent pas » ? Ou, au contraire, tenter de mettre au point des moyens de défense échappant à toute neutralisation ?<o:p></o:p>

    Théoriquement, cette possibilité existe ? Des physiciens américains et russes se sont attaqué à l’étude des forces encore peu connues, mais fantastiques de l’électromagnétisme, et des courants magnétiques spiralés. Déjà dans les années 60  le professeur Motz, de l’Institut Stanford de Californie, affirmait ; <o:p></o:p>

    « L’annihilation totale de la matière et sa création total à partir de l’énergie sont les étapes prévisibles de la physique des prochaines décennies. »<o:p></o:p>

    L’une des applications de cette physique de l’an 2010 pourrait être mise au point de « champs subnucléaires », que Motz appelle aussi « champs inertiels », et qui ne sont en fait que des champs désintégrateurs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Une arme terrifiante puisque tout ce que balaierait ce faisceau de particules serait anéanti. Une arme qui ne risquerait pas de se retourner contre ses utilisateurs, car il n’y aurait pas de retombée radioactive comme avec les armes nucléaires actuelles.<o:p></o:p>

    Le docteur Motz, dont les travaux ont été poursuivis depuis par d’autres physiciens de l’institut Stanford, « Et aussi par des services secrets militaires » entrevoyait une autre possibilité offerte par les champs inertiels : créer, dans l’espace (des satellites secrets mises sur orbite, possède ce genre d’arme) dans l’espace, des barrières de forces, véritables boucliers invisibles sur lesquels viendraient s’écraser les missiles ennemis … et les OVNI ?, pour ce dernier cela me semble légèrement prétentieux de notre part ?<o:p></o:p>

    Ce serait la seule parade possible.<o:p></o:p>

    Et le simple bon sens exige de pousser au maximum les recherches dans cette voie, car l’éventualité d’une agression est dans la logique du Futur : il y aura fatalement un contact entre terriens et des êtres venus d’un autre monde, ou des autres mondes. Tout à la lumière des éléments recueillis depuis des dizaines d’années, et analysés ici, laisse redouter que ces êtres viennent en conquérants, pas tous je l’espère pour les futures générations.<o:p></o:p>

    Que feraient nos pauvres terriens avec leurs fusées, bloquées au font de leurs silos coupés des salles de commandements, si, demain les Extraterrestres, déclenchaient « l’Opérations Terre » ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour info, nous pensons que le dernier accident survenu a cause d’une interruption de courant, et l’avion Rafale de l’escadron « Provence de la base de Saint-Dizier », le jeudi 6 décembre 2007 à 18 h 20  dans la commune de Neuvic (Corrèze), avec a son le commandant Fréderic Salamo. Il n’y a eu aucune explication officielle.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sources : Documents recherches Services de renseignements<o:p></o:p>

                      Militaires, rapports des journalistes, Charles GARREAU<o:p></o:p>

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    <o:p> </o:p>

                                                                              Courton le bas le 12 mai 2008 <o:p></o:p>

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                                                                                  Claude BURKEL

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