• Armes à infra-son découverte extraterrestre utilisé par nos scientifiques


    Les armes à infra-sons utilisées dans les conditions et les instructions suivantes peuvent conduire à la destruction massive de personnes se trouvant dans des abris ou dans des engins blindés de combat.<o:p></o:p>

    Si les ondes passent par l’intermédiaire de courants telluriques, les abris antiatomiques sont aussi vulnérables.<o:p></o:p>

    Un fait important, la construction des armes à infra-sons entraineraient des dépenses bien plus faibles que celle de n’importe quel type d’arme de destruction massive existante. L’arme nucléaire se trouve sur ce point et d’ailleurs sur bien d’autre complément démodé et nettement dépassée, et moins dangereux pour la planète.<o:p></o:p>

    Voilà pourquoi nos amis extraterrestres nous proposent des armes moins dangereuses pour eux ?<o:p></o:p>

    Je précise que l’action des infra-sons sur l’organisme est la plus meurtrière.<o:p></o:p>

    Aux fréquences de 7 et 8 hertz elles coïncident avec la fréquence propre des organes internes, cœur en particulier (arrêt cardiaque à distance ?) <o:p></o:p>

    Il se produit alors un phénomène dit de résonance, qui entraine le déchirement des organes internes.<o:p></o:p>

    L’homme n’entend pas les infra-sons, ceux-ci provoquent des maux de tête, des vertiges, des vomissements, des troubles visuels, des spasmes dans la gorge, perturbent la respiration et font apparaître des effets dits psychologiques entrainant un sentiment de peur et un évanouissement.<o:p></o:p>

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    Pour certains cas, ils peuvent même provoquer une crise d’épilepsie. Le matériel des 2000 arrive même maintenant à provoquer des arrêts cardiaques en 30 secondes dans un rayon de <st1:metricconverter w:st="on" productid="30 m">30 m</st1:metricconverter>.<o:p></o:p>

    Les armes à infra-sons de faible puissance agissent sur les courants bioélectriques du cerveau et sur l’ensemble du système nerveux, c'est-à-dire sur l’état physique de l’homme et peuvent ainsi priver ce dernier de son aptitude à combattre et à se défendre.<o:p></o:p>

    (Voilà pourquoi il n’y a plus beaucoup de réaction des humains devant les problèmes du monde ????)<o:p></o:p>

    De plus, les infrasons peuvent se propager dans l’air, l’eau et l’écorce terrestre à très grande distance : 100 à 200 km  en suivant les veines des courants tellurique qui servent d’éléments porteurs sans déperdition notable, font qu’il est pratiquement impossible d’opposer à leur propagation quelques obstacles que ce soit, les constructions même importantes et solides n’ayant sur eux absolument aucun effet.<o:p></o:p>

    Sur la base des résultats acquis dans le domaine de l’acoustique, la mise au point de telles armes apparaît possible dans les années 2010.<o:p></o:p>

    Les armes actuelles de ce type sont un peu lourdes et peu transportables. Les deux années à venir vont résoudre largement ce problème.<o:p></o:p>

    Cette arme mise en parallèle avec l’effet EMP résous complètement l’inutilité des armes atomiques destructives à grande échelle et sans contrôle.<o:p></o:p>

    L’étude actuelle en grand secret dans des zones géologiques favorable à la transmission des infrasons, reste purement Militaire et les dossiers restent ultra confidentiels. Il est certain que cette nouvelle façon de voir les hostilités entre peuples est extrêmement sectaire. La parade de ces armes semble difficile actuellement.<o:p></o:p>

    Il ne faut pas oublier que les armes à radio fréquences sont dans la 1ere phase qui sera vite démodée, vu la vitesse du développement technologique.<o:p></o:p>

    Des zones clefs se trouvent actuellement dans divers pays. Ces zones sont recherchées par la Russie, et les États-Unis, la France, la Chine, (Tibet ?), Israël et la Grande Bretagne, souvent bien en dehors des territoires légitimes. La France bien placée en Europe possède plusieurs Zones actuellement de recherches, Murol, Sud de Beauvais, Forêt d’Orient et dans les collines au nord de Lyon, qui replace Taverny depuis quelques mois.<o:p></o:p>

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    Source personnelle<o:p></o:p>

                                                                              Le 3 juin 2008 <o:p></o:p>

                                                                                         <o:p></o:p>

                                                                                       Claude BURKEL

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  • C'est un O.V.N.I qui aurait attaqué le MARY CELESTE


    UNE DES PLUS EXTRAORDINAIRES ÉNIGMES DE LA MER <o:p></o:p>

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    Le plus extraordinaire mystère maritime de tout les temps, celui du « Mary Céleste », va t’-il être percé au bout de 136 ans. <o:p></o:p>

    Une nouvelle hypothèse, bien qu’audacieuse, vient d’être versée à son dossier déjà volumineux.<o:p></o:p>

    On se souvient, ou on ne se souvient pas, qu’en 1872, le voilier commercial britannique, « Mary Céleste », a été aperçu par l’équipage d’un autre cargo le « Dei Gratia », non loin des Açores. <o:p></o:p>

    La mer était d’un calme total et la façon dont le Mary Céleste flottait, visiblement sans direction définie, avait quelque chose d’anormal et d’insolite.<o:p></o:p>

    N’ayant pas répondu aux signaux, les marins du Dei Gratia sont montés à bord  du Mary Céleste pour y trouver un spectacle digne du premier chapitre d’un roman policier : une table avec des bols de thé à moitié vidés, encore tout à fait refroidis, des pipes, presque tièdes posées sur des cendriers et du linge à sécher sur les cordes, mais pas âme qui vive.<o:p></o:p>

    Mieux qu’un vaisseau fantôme.<o:p></o:p>

    Toutes les cabines, tous les recoins du navire ont été fouillés, sans résultat.<o:p></o:p>

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    LA CARGAISON ÉTAIT INTACT<o:p></o:p>

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    La nouvelle de la découverte de ce bateau mystérieusement abandonné s’est répandue rapidement dans le monde entier.<o:p></o:p>

    Une enquête fut immédiatement ouverte, les policiers les plus ingénieux se sont penchés sur l’énigme, sans résultat.<o:p></o:p>

    On avait pensé tout naturellement à un acte de piraterie, ce qui était assez fréquent à l’époque, mais cette hypothèse s’est rapidement démentie d’elle-même, puisque toute la cargaison, quinze cents tonneaux d’alcool pur, était intacte dans les cales.<o:p></o:p>

    Drôles de pirates qui n’auraient pas touché à ces fûts.<o:p></o:p>

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    Le Mary Céleste portait quelques traces comme s’il était entré en collision avec une embarcation.<o:p></o:p>

    A côté de ces traces, provenant probablement d’objets aigus, comme l’éperon d’un navire, on à découvert également des tâches brunes, de même d’ailleurs que sur l’épée du capitaine, qui était restée dans la cabine.<o:p></o:p>

    Enfin, troisième fait pour épaissir le mystère : la femme et la fille du capitaine s’étaient trouvées à bord et une grande partie de leurs vêtement et linges, ainsi que tous les papiers officiels, plus chronomètres, et sextants, ont été emportés.<o:p></o:p>

    Par qui, où  et pourquoi ? Ce qui était plus extraordinaire et plus inexplicable encore était  que tout avait dû se passer en quelques minutes. Or, si l’équipage s’était révolté, par exemple ou un commando (comme on dirait aujourd’hui) y était passé, leurs canots n’auraient pas pu s’éloigner et disparaitre si rapidement puisque les marins du « Dei Gratia » avaient scruté l’horizon avec des longues vues, sans avoir aperçu quoi que ce soit.<o:p></o:p>

    Hystérie collective ? Des traces de lutte. Un ou deux corps auraient dû  être retrouvés. Rien.<o:p></o:p>

    Les soupçons se portèrent alors sur les hommes du Dei Gratia, qui auraient attaqué eux-mêmes le Mary Céleste, auraient massacré son équipage, pris leur argent et objets de valeur, et inventé l’histoire, pour avoir droit ensuite au butin, car tout navire abandonné appartient à celui qui le découvre.<o:p></o:p>

    L’enquête, avec expertises, a duré non moins de quatorze ans. <o:p></o:p>

    C’est seulement en 1886 qu’un rapport officiel fut publié pour innocenter Morehose, le capitaine du Dei Gratia, et ses hommes, en établissant notamment que les tâches brunes découvert n’étaient pas du sang, et d’ailleurs a rien de connue.<o:p></o:p>

    Conclusion qui fut loin d’avoir convaincu tout le monde. La preuve : des dizaines de livres, pièces de théâtre, études et même un film furent consacrés depuis au mystère, qui lui, était resté entier.<o:p></o:p>

    Aujourd’hui, encore des chercheurs consacrent toujours des études sur ce mystère. <o:p></o:p>

    Depuis cet événement d’autres cas semblables se sont déroulés dans ce secteur, dans les mêmes conditions, surtout des bateaux de tourismes, passagers volatilisés et rien de disparus.<o:p></o:p>

    La goélette hollandaise Hermania fut trouvée en 1849<o:p></o:p>

    Le Jammes B.  Chester le 28 févrierv1855<o:p></o:p>

    Le Zebrina octobre 1917<o:p></o:p>

    Le navire Joyita octobre 1955<o:p></o:p>

    Le yacht Balero de <st1:metricconverter w:st="on" productid="17 m│tres">17 mètres</st1:metricconverter> avec 8 personnes en 2002, le bateau retrouvé vide, uniquement de ses passagers.<o:p></o:p>

    L’on pourrait en ajouter encore des quantités.<o:p></o:p>

    Un ancien capitaine de la marine marchande des U.S.A. Richard T. Jackson, qui c’est consacré à l’étude de la venue sur terre des êtres extraterrestres, des O.V.N.I. croit avoir trouvé la clé de l’énigme.<o:p></o:p>

    D’après ses études se serait un OVNI est son équipage aurait amerri près du Mary Céleste ce jour fatidique, ses occupants y auraient fait irruption et, ils ont enlevés l’équipage tout entier, pour des recherches sur le genre humain qui nous dépasse, le linge féminin a du être un élément important pour eux, encore une question.<o:p></o:p>

    D’autre indices : pourquoi des papiers, le chronomètre et le sextant du navire, il ne faut pas oublier que le sextant est en rapport avec les étoiles, qui auraient intéressé les passagers de l’OVNI.<o:p></o:p>

    C’est une explication comme les autres, qu’on ne peut évidemment rejeter à priori.<o:p></o:p>

    Certains font cependant remarquer que depuis plus de 50 ans, et même plus de visiteurs de l’espace  sont aperçu en divers points du monde, est des enlèvements  sont effectués, et que notre Ordre Mondiale, ferme les yeux, pour éviter toute panique.<o:p></o:p>

    Quoi qu’il en soit, la supposition ne peut être rejetée.<o:p></o:p>

    Mais les vérifications, l’examen notamment des traces sur le flanc du bateau, ainsi que les étranges traces brunes, vérifications qui auraient pu être faites à l’époque, ne sont hélas plus possible aujourd’hui, mais il reste toujours les nouveaux cas, mais cela reste Top Secret, comme toujours ?<o:p></o:p>

    Je pense qu’il nous reste un travail immense à faire pour comprendre tout ce qui dépasse notre entendement.<o:p></o:p>

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    Sources : Paul Begg, Into Thin Air, p. 88-117; Greshomm Bradford,  The Secret of<o:p></o:p>

                     Mary Céleste; Jay Robert Nash, Among the Missing, p. 134-137.<o:p></o:p>

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                                                               Courton le bas le 13 mars 2008-03-13<o:p></o:p>

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                                                                                           Claude BURKEL

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  • Concentration D'O.V.N.I en SAONE et LOIRE


    ÉTUDE DES ANCIENNES OBSERVATIONS EN FRANCE<o:p></o:p>

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    CINQ OBJETS VOLANTS ONT ÉTÉ OBSERVES EN TROIS MOIS DANS LA RÉGION DE BAUDRIERES


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    <o:p></o:p>En ce soir de février, du côté de Baudrières, le grand silence des nuits d’hiver a envahi <o:p></o:p>

    Depuis longtemps déjà la plaine bressane qui s’étale le long de la Saône.<o:p></o:p>

    Au hameau de Saugy, dans leur maison isolée du bourg, les époux Bergerot et leurs enfants sont soudain tirés de leur sommeil par un hurlement étrange qui les plonge aussitôt dans l’effroi.<o:p></o:p>

    Ce n’est ni la plainte d’un oiseau de nuit, ni le glapissement d’un renard en chasse. Ce n’est pas non plus l’appel d’un klaxon. Ces notes lugubres qui crèvent les ténèbres à quelques centaines de mètres de la maison, semble-t-il, sont celles d’une sirène aux accents mystérieux.<o:p></o:p>

    On aurait pu penser qu’il s’agissait de l’avertisseur d’une ambulance américaine, dira le lendemain Bernard Bergerot.<o:p></o:p>

    Pour l’instant, cet homme sensé et plein de sang-froid demeure quasi paralysé de peur dans son lit auprès de son épouse terrorisée.<o:p></o:p>

    Car le vrombissement mystérieux enfle et se prolonge interminablement.<o:p></o:p>

    Puis, soudain, tout s’apaise. Longtemps, dans le silence revenu, les Bergerot vont chercher le sommeil.<o:p></o:p>

    Le lendemain, avant de partir pour le travail à Chalon-sur-Saône, Bernard Bergerot, sa femme et son fils s’interrogeront en vain sur le phénomène.<o:p></o:p>

    Ils ne relèvent aucune trace suspecte dans le bois voisin qu’ils vont parcourir avec les enquêteurs. Ce n’est que plus tard, qu’ils s’assureront qu’ils n’ont pas fait un cauchemar en apprenant qu’à quelques centaines de mètres de chez eux, les époux Moiceau ont été réveillés cette nuit-là par le même hurlement insolite qui les a, eux aussi, plongés dans une sorte d’angoisse indéfinissable.<o:p></o:p>

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    Mme Bergerot n’a pas oublié ces notes lugubres lorsque trois semaines plus tard, le 28 février 1977 vers 19 h 30, elles retentissent à nouveau à proximité de sa maison.<o:p></o:p>

    Une fois de plus glacée d’effroi, elle serre contre elle sa petite fille. Son mari n’est pas encore rentré du travail et Patrick, son fils, 15 ans, vient de sortir pour raccompagner jusqu’au portail Noël Thibert et Serge Gros, deux de ses amis venus lui rendre visite.<o:p></o:p>

    Lui aussi demeure paralysé au pied de l’escalier extérieur, mais ce n’est pas seulement le bruit insolite qui le cloue au sol, c’est la vision qu’il découvre au-dessus du bois situé à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="1,5 km">1,5 km</st1:metricconverter> de la maison, il raconte.<o:p></o:p>

    « Alors que le nuit était déjà tombée depuis plus d’une heure, j’ai vu soudain le bois illuminé comme en plein jour par un soleil d’été.<o:p></o:p>

    Puis, j’ai cru que je rêvais : une boule de la grosseur de deux pleines lunes, légèrement ovale descendait en saccades sur le bois. Elle était violette en son centre et rouge sur les bords.<o:p></o:p>

    Des flammèches s’en échappaient et des feux jaunes et bleus clignotaient sue les côtés.<o:p></o:p>

    C’était à  la fois fascinant et terrifiant, si bien que je ne peux dire si j’étais paralysé par le peur ou par l’admiration. <o:p></o:p>

    Au moment où il allait atteindre la         cime des arbres l’engin lumineux s’est incliné puis il a disparu comme s’il avait atterri dans le bois. Les lumières se sont alors éteintes brusquement et le bruit qui nous effrayait tant, ma mère et moi, a cessé.<o:p></o:p>

    Compte tenu de la distance à laquelle je voyais cet engin, j’estime qu’il pouvait avoir 15 à <st1:metricconverter w:st="on" productid="20 m│tres">20 mètres</st1:metricconverter> de diamètre.<o:p></o:p>

    Pour démontrer, s’il en était besoin, que le jeune Patrick n’avait pas été victime d’une hallucination, il aurait suffit à Lucien Génelot et Pierre Dumont, les enquêteurs du cercle ufologique de Louhans, de retenir les témoignages de Mme Bergerot et des deux visiteurs.<o:p></o:p>

    Tous n’ont-ils pas entendu le sinistre hurlement qui descendait du ciel ?<o:p></o:p>

    De plus, la montre de Patrick n’a telle pas été détraquée à partir de l’observation de ce phénomène ?<o:p></o:p>

    Toutefois les enquêteurs devaient renforcer ces témoignages par celui de deux jeunes femmes de voisinage : Mme Odile et Catherine Gillet.<o:p></o:p>

    Le lendemain de «  l’atterrissage » au hameau de Saugy, vers 6 heures du matin, elles sont à leur tour réveillées par un vrombissement venant du ciel.<o:p></o:p>

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    Le bébé qui dort dans la chambre voisine se met à pousser des cris de terreur.<o:p></o:p>

    Pour le calmer sa mère veut allumer la lumière, mais en vain. Le courant reste coupé tant que ce prolonge le bruit infernal. N’est-ce pas la panne classique que l’on relève dans un secteur sillonné par un          O.V.N.I. ?<o:p></o:p>

    Bientôt, une nouvelle observation va curieusement démontrer qu’en cette hiver, un mystérieux engin a choisi pour base ce bois de BRESSE.<o:p></o:p>

    Dans cette soirée du 17 mars, vers 21 heures, les Bonnot, un jeune couple de cultivateurs, terminent leur journée de labeur.<o:p></o:p>

    Leur ferme est bâtie sur le sommet d’une des rares collines qui dominent la plaine du Baudrières. De cette hauteur on découvre un large paysage et, en cette nuit de début  de printemps le ciel clair permet de deviner à environ <st1:metricconverter w:st="on" productid="3 km">3 km</st1:metricconverter> de là le bois de Saugy où quelques jours plus tôt Patrick Bergerot a vu «  atterrir » la sphère incandescente.<o:p></o:p>

    Soudain, Liliane, la jeune fermière s’arrête, bloquée au milieu de la cour.<o:p></o:p>

    Son regard vient d’être attiré par un énorme dôme lumineux qui descend lentement au-dessus de la masse sombre de la forêt.<o:p></o:p>

    « Il pouvait mesurer <st1:metricconverter w:st="on" productid="60 m│tres">60 mètres</st1:metricconverter> de diamètre, dira-t-elle. Il était de forme ovale et sa couleur allait du rouge à l’orange.<o:p></o:p>

    Il descendait si lentement qu’il donnait l’impression de stationner à la cime des arbres. J’ai appelé mon mari puis mes enfants et mes parents.<o:p></o:p>

    Nous étions tous sidérés et ne savions que dire devant cette merveille.<o:p></o:p>

    Nous avions beau prêter l’oreille, nous n’entendions aucun bruit.<o:p></o:p>

    Nous l’avons admiré pendant une dizaine de minutes, puis il a disparu, nous laissant supposer qu’il avait atterri. » ?<o:p></o:p>

    Comment oserait-on soupçonner ce jeune couple de cultivateur très évolués, d’avoir  été le jouet d’une « vision »<o:p></o:p>

    Pourquoi s’il était ainsi, éprouverait-il le besoin de confier cette vision à Mme Bergerot, leur tante, en ignorant que cette dernière  a été quelques semaines plutôt bouleversée par ce phénomène.<o:p></o:p>

    Dès le lendemain matin, ils lui font part, par téléphone, de leur curieuse observation.<o:p></o:p>

    «  Le dôme lumineux n’était pas loin de votre maison, dit Liliane Bonnot à sa tante. C’est pourquoi j’ai pensé que vous l’aviez vu, vous aussi. »<o:p></o:p>

    Nos, les Bergerot n’ont pas, cette fois, pas été alertés par la sirène et ils n’ont pas vu l’engin. »<o:p></o:p>

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    Mais ils racontent à leur nièce leurs observations précédentes et c’est ainsi qu’ils lui confirment qu’elle n’a pas été victime d’une hallucination.<o:p></o:p>

    Dès lors les langues vont se délier et de nombreux témoins vont se manifester dans toute cette région ; Roger Lonjaret voit, le 1 avril suivant, une « boule de feu » dans le ciel de Savigny ; Maryse Thibert n’en croit pas ses yeux lorsqu’en sortant de son travail, elle voit passer à basse altitude, entre Pont-de-Vaux et Cuisery une boule dorée et silencieuse.<o:p></o:p>

    D’autres habitants de ce coin de Bresse se mettent à raconter  d’étonnantes observations nocturnes mais refusent de donner leur nom.<o:p></o:p>

    Par chance pour les chercheurs qui se penchent désespérément sur les moindres indices pour tenter d’arracher aux O.V.N.I. sonores leurs mystères, il reste, du côté de Baudrières des témoins sincères qui ne sont ni fous, ni sourds, ni aveugles.<o:p></o:p>

    Pour ma part après une visite sur place en 1978, j’ai pu constater que les lieux d’atterrissage, que les témoins ont remarqué n’avait jamais été mentionnés dans aucun rapport, et en visitant ces lieux, des traces de brulures d’arbres étaient encore visibles nettement dans les branches.<o:p></o:p>

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    Source : Recherches personnelle<o:p></o:p>

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                                                                   Courton le bas le 24 mars 2008<o:p></o:p>

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                                                                               Claude   BURKEL

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  • Et si les anges étaient des extraterrestres


    L’abbé Marc Oraison, écrivain et médecin, est l’enfant terrible de L’Eglise. Dans le passé, certaines de ses prises de position ont fait scandale st sans doute a-t-il de la chance de vivre au XXe siècle car, jadis on aurait dit qu’il sentait le fagot.<o:p></o:p>

    Ce prêtre est en outre psychanalyste, position peu confortable sur le plan de la foi puisque Freud était athée et que la doctrine psychanalytique sous –entend un monde sans Dieu. C’est peut-être ce qui explique pourquoi l’abbé Oraison a toujours essayé de débarrasser  la foi de tout ce qui serait une création de l’inconscient.<o:p></o:p>

    L’essentiel, pour lui comme pour quelques théologiens d’avant-garde, c’est le verbe incarné, la transcendance de l’amour qui parle concrètement en Jésus-Christ, selon sa propre expression.<o:p></o:p>

    Maintenant, c’est aux anges que  s’en prend l’abbé Oraison.<o:p></o:p>

    Dans un article publié dans Paris-Math le <st1:date w:st="on" ls="trans" month="11" day="13" year="1976">13 novembre 1976</st1:date>, il s’étonne que dans la lettre adressée aux chrétiens par le récente assemblée de l’épiscopat français, lettre rappelant l’essentiel de la foi, il n’en soit pas question.<o:p></o:p>

    Croire aux anges dit-il, ce n’est plus de l’ordre de la foi, mais bien de l’ordre de la mythologie.<o:p></o:p>

    Ainsi nos chérubins n’auraient pas plus de réalité que le père Noël.<o:p></o:p>

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    Mais qui sont ces pauvres anges désormais sans existence ?<o:p></o:p>

    La croyance à des êtres supérieurs à la nature humaine tient une grande place non seulement dans l’Ancien et le Nouveau testament, mais aussi dans les théories religieuses de l’Inde, et de la Chine, de l’Egypte et de la Perse.<o:p></o:p>

    Les anges sont des êtres purement spirituels, intermédiaires entre Dieu et l’homme. Leur nom  vient d’aggelos, le messager en grec. <o:p></o:p>

    Saint Denys l’aréopagite, le premier évêque d’Athènes, s’appuyant  sur une vieille tradition zabblinique, soutient qu’avant de créer l’homme Dieu créa neuf  catégories d’anges, divisées en trois « chœurs ».<o:p></o:p>

    Dans le premier, figurent les Séraphins, les Chérubins et les Trônes ; dans le deuxième, les Dominations, les Vertus et les Puissances ; dans le dernier, enfin, les Principautés, les archanges et les Anges proprement dits.<o:p></o:p>

    Une erreur très répandue consiste à opposer anges et démons. <o:p></o:p>

    Ce dernier nom vient  d’un autre mot  daïmon, désignant, dans la mythologie païenne des êtres intermédiaires entre les dieux et les hommes, définition identique à celle de l’ange, comme on vient de le voir.<o:p></o:p>

    Selon la tradition, Dieu avait crée tous les anges purs et bons, mais, estimant que la vertu était sans mérite si elle n’était pas le résultat d’un choix, il les soumit à une épreuve.<o:p></o:p>

    Certains se laissèrent tenter par l’orgueil. Satan, le premier des Séraphins, se mit à la tête des rebelles.<o:p></o:p>

    Son objectif était de régner sur la moitié du ciel et de siéger sur un trône aussi élevé que celui de Dieu.<o:p></o:p>

    Cette ambition causa sa perte. D’après la théologie classique, en perdant la grâce, les démons ont néanmoins conservé une partie des dons qui rendent la nature angélique supérieure à la nature humaine.<o:p></o:p>

    Ils peuvent en particulier induire les hommes en tentation, jeter un trouble profond dans leur esprit (c’est la « possession ») et ils sont capables, en agissant sur le monde matériel, de réaliser des prodiges.<o:p></o:p>

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    Ce bref résumé de la nature des anges et des démons correspond aux définitions données par plusieurs anciens conciles<o:p></o:p>

    Quand  l’abbé Marc Oraison s’en prend aux anges, n’y voyant que l’expression poétique d’un mythe, il s’oppose carrément à des définitions théologiques qui ont encore force de loi.<o:p></o:p>

    Plusieurs observateurs on d’ailleurs été surpris d’entendre le Pape Paul VI faire allusion à plusieurs reprises au Diable au cours des derniers mois de sa vie. Tout ce qui avait trait  au Malin, croyait-on, était suranné, tout juste bon à faire peur aux enfants. <o:p></o:p>

    Or, la croyance au Diable est un article de foi. Et l’expérience du Diable implique celle de l’ange qu’il a été avant la révolte.<o:p></o:p>

    Les fidèles des nombreuses, bien que clandestines, sectes sataniques présentent quant à eux une version bien différente de la chute du premier des Séraphins.<o:p></o:p>

    Révolté par la manière dictatoriale avec laquelle Dieu exerçait son pouvoir sur les hommes, disent-ils, Satan se résolut à leur  révéler les secrets du ciel et à leur donner le pouvoir de subvenir eux-mêmes à leurs besoins.<o:p></o:p>

    C’est pour cela qu’il aurait été châtié et précipité aux enfers. De-là, soutiennent les satanismes, l’autre nom du prince des Ténèbres, celui de Lucifer qui signifie « porteur de lumière ».<o:p></o:p>

    Satan Lucifer est  le plus fidèle ami de l’homme, celui qui a voulu le libérer. On constate une similitude frappante entre cette version et le mythe grec de Prométhée, puni par Jupiter pour avoir donné aux hommes le secret du feu.<o:p></o:p>

    On retrouve dans toutes les légendes concernant les anges des  constantes curieuses. Ils arrivent d’on ne sait où, mais en tout cas d’ailleurs et chaque fois, leur contact avec les hommes son de l’ordinaire, soit qu’ils leur révèlent des secrets, soit au contraire, qu’ils apportent des cataclysmes, comme l’Ange exterminateur.<o:p></o:p>

    On retrouve ces caractéristiques aussi bien dans la Bible que dans un certain nombre d’autres récits mythologiques.<o:p></o:p>

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    Une telle constance serait difficilement compréhensible si les anges n’étaient que des images poétiques sorties tout droit de l’imagination.<o:p></o:p>

    Or, des spécialistes  de l’étude des textes religieux anciens en sont arrivés à une conclusion étonnante.<o:p></o:p>

    Pour eux, les anges seraient tous simplement des extraterrestres.<o:p></o:p>

    Ils seraient donc réellement des messagers non de la volonté de Dieu, mais de civilisations extra solaires.<o:p></o:p>

    D’ailleurs, Origène d’Alexandrie, le célèbre docteur de l’Eglise  soutenait que la Bible ne précisait pas comment les anges avaient été crées parce qu’ils étaient restés immortels après la ruine des mondes qui avaient précédé le notre. L’erreur d’Origène viendrait de ce qu’il aurait situé ces mondes dans le temps et non dans l’espace.<o:p></o:p>

    Le contact entre les anges extraterrestres  et les hommes s’est parfois passé harmonieusement, d’où les légendes des anges bienfaisants. Dans d’autres cas, les hommes auraient fait preuve d’hostilité envers eux, déclenchant des représailles redoutables.<o:p></o:p>

    Une lecture minutieuse de l’aventure  de Sodome et Gomorrhe telle que la raconte la Genèse, par exemple, semble confirmer cette thèse : les deux anges accueillis par Loth viennent à Sodome animé d’intentions pacifiques.<o:p></o:p>

    Mais quand les habitants tentent de les violenter, ils détruisent les deux villes. « Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et Gomorrhe du soufre et du feu venant du ciel, lit-on dans la Genèse. Il renversa ces villes st toute la plaine, avec tous les habitants et la végétation. Or, la femme de Loth regarda en arrière, et elle devient une colonne de sel » Qu’est-ce donc, sinon le récit d’une explosion nucléaire déclenchée par les deux anges. Mais sans doute les extraterrestres sont-ils aussi des mythes poétiques pour l’abbé Oraison.             <o:p></o:p>

                                                                              Fait le <st1:date w:st="on" ls="trans" month="4" day="29" year="2007">29 Avril 2007</st1:date>-04-29<o:p></o:p>

                                                                                                   Claude BURKEL

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