• Les sœurs Giles

    Un cas célèbre d'esprits frappeurs s'est produit à Bristol, en Angleterre, au milieu du XVIIIème siècle, dans la famille Giles. Ses membres commencèrent par entendre des bruits étranges, puis la situation se détériora au point que toute la maison se trouva chamboulée.
    Les deux filles de la famille, Molly et Dobby, furent agressées à de nombreuses reprises par l'esprit frappeur, ce dont fut témoin l'un des premiers investigateurs du phénomène, Henri Durbin, auteur d'une grande enquête sur la famille Giles en 1762. Un jour, Dobby, âgée de huit ans, hurla qu'une main était en train d'étrangler sa sœur. Durbin était présent et affirma avoir vu "la chair écrasée sur les côtés du cou, blanchie à l'endroit des doigts invisibles, et son visage qui se mit à rougir tout d'abord, pour devenir violet comme si on l'étranglait."
    Une autre fois, il vit Dobby se faire agresser:"J'étais en train de lui parler quand elle a été mordue au cou. Je l'ai examinée et ai constaté les marques de dents...mouillées de salive. C'était en haut de l'épaule, près du cou, impossible donc qu'elle se le soit fait elle même d'autant que je ne la quittait pas des yeux et qu'il n'y avait personne d'autre que nous dans la pièce."
    Durbin organisa une expérience bizarre avec la sœur aînée, Molly. Il planta des épingles dans un coussins après en avoir marqué certaines. Immédiatement, Molly se mit à hurler de douleur. Dubin raconta:"Une des épingles que j'avais marquées s'était plantée dans sa peau à peine une minute après que je l'eus enfoncée dans le coussin."


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  • La villa fantastique de Comeada

    Au début du mos d’octobre 1919, Homen Christo loua une maison située à Comeada, dans la banlieue de Coïmbre au Portugal.
    Il s’y installa avec sa jeune épouse, leur bébé de six semaine et deux servantes.
    Dès la première nuit, la jeune femme se plaignit d’entendre des bruits étranges dans la maison.
    Mais se n’était que le début.
    Une semaine plus tard, un de leur ami, Gomers Paredes, ayant a faire à Comeada, leur demanda l’hospitalité pour une nuit.
    Après qu’ils eurent passé la soirée ensemble, chacun monta à un heure du matin dans leur chambre pour se coucher. A peine venait il d’éteindre sa bougie que Paredes entendit des coups sur les vitres de sa fenêtre.
    Il se leva et, rallumant sa bougie, ouvrit la croisée en grande. Il ne vit pourtant personne.
    Il se recoucha donc et souffla de nouveau la chandelle.
    Aussitôt, il entendit des pas tout près de lui, et des portes dans toute la maison se mirent à s’ouvrir et se refermer.
    Dès qu’il rallumait la bougie, tout cessait, mais le phénomène recommençait sitôt l’obscurité.
    Au matin ,il raconta l’incident à Christo, mais celui-ci n’avait rien entendu.
    Revenu chez lui à Coïmbre, Paredes rapporta l’histoire a son père.
    Celui-ci lui révéla alors qu’un autre locataire avait déjà quittée la maison à cause de bruits insolites.
    D’autre part, une femme y ayant passé une nuit avait déclaré que plus jamais elle n’y retournerait car cette maison est ensorcelée.
    Paredes parvint à convaincre son ami de veiller une nuit et les deux hommes et l’épouse de Christo attendirent.
    Rien ne se produisit tant qu’il y avait de la lumière.
    Dès que celle-ci fut éteinte, de grand coups retentirent sur la porte du rez-de-chaussée qui donnait sur le jardin.
    Homen Christo, armé de son revolver, se précipita et ouvrit la porte, mais il n’y avait personne. Pourtant, à peine fut-il dehors que la porte se referma avec fracas, et « on » donna un tour de clef, si bien qu’il dut appeler sa femme pour pouvoir rentrer chez lui.
    Remontant l’escalier avec son épouse, serrés l’un contre l’autre, Homen Christo sentit tout à coup sa femme devenir plus lourde, le retenant en arrière comme sous le poids de deux corps.
    Elle se mit alors à hurler et à se débattre, criant que quelqu’un lui tirait les pieds.
    Une fois sur le palier, Christo fit feu dans le noir. Il n’avait pourtant pas atteint le fantomatique agresseur, car il reçut une gifle violente sur la joue. Dans un sursaut d’énergie, il parvint à arracher sa femme à l’étreinte invisible et tous deux repartirent vers leur chambre, tandis que Paredes les suivait.
    A peine remonter dans leur chambre, le couple découvrit le berceau vide. Homen Christo, son épouse et leur ami durent fouiller la maison, guidés par le doux vagissement du bébé, pour retrouver l’enfant, entièrement dépouillé de ses langes, posé sur le dos au milieu d’une table du rez-de-chaussée. Christo était pourtant toujours convaincu qu’il y avait un mauvais plaisant dans la maison.
    Aussi, armé de son revolver, il décida d’inspecter la demeure.
    Comme toujours, les phénomènes ne se produisaient qu’en pleine obscurité. Voulant découvrir le mystificateur, il se posta sur le palier de l’escalier mena au rez-de-chaussée, son revolver à la main.
    A peine une allumette qu’il tenait venait-elle de s »éteindre qu’un formidable éclat de rire retentit tout près de lui, et un nuage blanc apparut juste devant lui, tandis que de ses deux narines se mirent à sortir deux filets de lumière blanchâtre.
    Les phénomènes se reproduisirent ainsi jusqu'à quatre heure du matin.
    Craignant de perde son sang froid et de tuer quelqu’un, Christo décida d’aller chercher un agent de police, dès le soleil levé.
    On mit à sa disposition un brigadier et deux agents. La nuit venue, le brigadier se posta dehors, dans le jardin, devant la porte. Les deux agents restèrent à l’intérieur.
    Après avoir fouillé la maison, on éteignit la lumière. Aussitôt, des coups furent frappés à la porte d’entrée.
    Ayant vérifié que les deux agents avaient bien entendu, Christo ouvrit l’huis et demanda au brigadier qui avait frappé.
    A sa grande surprise, celui-ci déclara que personne n’était venu, et qu’il n’avait rien entendu.
    On inversa les rôles. Les deux agents sortirent et le brigadier rentra. Le même phénomène se reproduisit. le brigadier entendit les coups, mais les agents ne virent et entendirent rien. Puis l’un des agents voulant s’assoir sur un banc, celui-ci fut retiré si brutalement par une force invisible que l’homme tomba à terre.
    De nouveau, des bruits se firent entendre, provenant surtout d’une pièce au premier. Tout à coup, dans l’un des chambres, un bruit de lutte résonna. Tout le monde accourut, persuadé que l’agent qui s’y trouvait avait démasqué le farceur.
    Ils n’y retrouvèrent que l’agent affolé qui frappait l’air avec son sabre. Il fallut employer la force pour maîtriser le malheureux qui devenait fou.
    Après cet épisode, le brigadier exhorta chacun à retrouver son sang froid, et on éteignit de nouveau. Homen Christo repris sa place sur le palier, et reçut sur la joue gauche une formidable gifle qui lui fit pousser un crie perçant. Car, dit il, il lui sembla que des doigts s’accrochèrent à sa chair comme pour l’arracher. On ralluma aussitôt, et tout le monde put voir la marque de quatre doigts sur sa joue. Il était alors minuit, et tout le monde décida de partir sur le champ. Christo, son épouse et leur bébé, les servantes et Paredes s‘en allèrent à l’hôtel passer le reste de la nuit. Les agent ahuris, rentèrent chez eux en jurant de ne plus remettre les pieds dans une pareille demeure. Homen Christo sous-loua la maison, mais au bout de deux jours, le nouveau locataire s'en alla, déclarent que cette maison était inhabitable.


    Source : Camille Flammarion, les maison hantées.

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  • Kannerez-noz

    Ce sont les êtres fantastiques les plus connus à travers les pays celtiques.
    En France et en haute Bretagne, on les appelle le plus souvent les Lavandières de nuit. Elles apparaissent dans les lavoirs, au bord des cours d'eau ou prés des ponts, où elles lavent leur linge ou les linceuls - parfois dégoulinant de sang - de ceux qui doivent bientôt mourir. C'est un funeste présage, qui prédit la mort de quelqu'un, parfois de mort violente. Quand elles tordent le linge pour l'essorer, il en sort du sang.C'est durant les nuits de pleine lune qu'on a le plus de chance de les rencontrer.
    C'est avec les hommes que les Kannerezed-noz ont le plus souvent affaire. Les enfants non baptisés et les mères de famille semblent immunisés contre leur actions. C'est au passage d'un gué, d'un pont, que les hommes, se déplaçant de nuit, se trouvent par hasard en leur présence. La lavandière les prie alors de l'aider à tordre son linge. Il faut à ce moment prendre bien soin de tordre dans le même sens qu'elle ; autrement on a les mains prises dans le linge, puis brisées.
    Aussitôt la lavandière, aidée au besoin par ses compagnes, frappe sa victime, incapable de se défendre, avec des linges tordus, et l'on retrouve son cadavre le lendemain, les os rompus, prés du lavoir.
    Elles ressemblent au Banshee: de taille gigantesque et d'une maigreur effrayante, avec des dents énormes et les cheveux épars.
    Selon, la croyance populaire, ce sont des femmes expiant des péchés, comme celui d'avoir fait la lessive le dimanche, ou alors d'avoir utilisé une pierre à la place du savon usant le linge des pauvres, ou des femmes coupables d'infanticide.
    Selon les érudits, il s'agirait d'un aspect de l'ancienne déesse de la guerre, Badhbh, que le guerrier rencontrait sur le chemin de la bataille et qui présageait de la mort de celui-ci. On la voyait au bord d'un ruisseau, lavant les vêtements souillés de sang du futur mort, et lançant par trois fois son terrible cri.

    Source: Légendaire Celtique, de Divi Kervella.

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  • L’autobus fantôme de Ladbroke Grove

    « J’ai tourné au carrefour, et j’ai vu un bus venir droit sur moi », dit l’automobiliste aux policiers.

    « C’était un autobus à deux étages ; les lumières étaient allumées en haut et en bas, ainsi que les phares ; mais il n’y avait pas de trace de passagers ou de conducteur. J’ai donné un grand coup de volant et je suis monté sur le trottoir ; mon aile a frotté contre un mur. Entre-temps, l’autobus avait disparu. »



    L’auteur de cette déposition, faite devant les autorités locales de North Kensington, à Londres, en mai 1930, pouvait avoir bu, ou avoir été victime d’hallucination.

    Mais, dans ce cas là, il n’était pas le seul.

    En effet, des centaines d’automobilistes se plaignirent d’avoir dû quitter la chaussée à cause d’un bus se dirigeant sur eux au carrefour de Saint Mark’s Road et de Cambridge Gardens, près de la station de métro de Ladbroke Grove.

    A la suite d’un accident mortel, le juge d’instruction recueillit des preuves, auprès de douzaines de résidents, de l’apparition subite de l’autobus fantôme.

    Il s’était produit un assez grand nombre d’accidents mineurs, dont quelques-uns avaient été fatals.
    La commune finit par faire redessiner le carrefour, et le taux d’accidents fut de beaucoup réduit.
    On n’entendit plus parler du fantomatique autobus rouge.

    Extrait de Ghosts and Poltergeists F.Smyth

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  • Un phénomène poltergeist bien étrange

    Nous sommes en 1967, dans un cabinet d’avocat bavarois.
    Dans ce cabinet d’avocat, quelque chose d’étrange se passait avec les quatre postes téléphoniques. En effet, ils leurs arrivés de se mettre à sonner en même temps alors qu’il n’y a personne au bout du fil. Parfois, la conversation était interrompue par des bruits bizarres ou alors brusquement coupée.
    Suite à tout cela, Me Adam appelle la société Siemens qui lui a installé les lignes, une boîte de raccordement et les quatre postes.
    Après plusieurs semaines de test, aucune anomalie n’est décelée, mais les perturbations n’ont pas cessé pour autant. Ils s’adressent donc au service officiel des télécommunications. Le matériel sera remplacé et on ajoutera un instrument de mesure, un compteur de communication. Adam demanda alors à ses employés, le chef de bureau Johannes Engelhand, deux secrétaires et une autre personne qui travaille à mi-temps de tenir un registre de leurs appels.
    Avec l’aide de ces appareils, on observera certains phénomènes :

    Entre le 5 et le 19 octobre 1967, on enregistre des communications que personne n’a pu passer dans le bureau.

    A partir du 19 octobre, c’est par douzaine que les appels sont enregistrés et ils concernent pour la plupart l’horloge parlante.
    Les appels sont tellement rapprochés qu’il est physiquement impossible d’obtenir autant de fois le même numéro en si peu de temps.
    Par exemple, le 20 octobre, 46 appels à l’horloge parlante ont été passé entre 7H42 et 7H57 du matin.

    Puis, les phénomènes s’étendent, ne s’arrêtant pas seulement aux mystérieux appels téléphoniques.

    Le 20 octobre : un grand bruit sourd se fait entendre au même moment la lumière s’éteint.
    Un électricien est appelé d’urgence, mais tout est en très bon état, il constate juste que les tubes fluorescents se sont retournés sur eux-mêmes dans leur logement et donc déconnectés.
    L’électricien change tout le matériel, mais à peine le travail terminé, le même bruit sourd se fait entendre accompagné des perturbations identiques, on remarque que les fusibles ont été expulsés de leurs emplacements sans aucune intervention physique.
    Un spécialiste de la compagnie officielle de distribution du courant arrive sur les lieux, M. Paul Brunner. Il mène une enquête mais ne remarque rien d’anormal, il change cependant quelques appareils dans le bureau mais aussi dans l’immeuble.
    Il installera plusieurs appareils :
    - Un Unireg : qui permet de mesurer les différences de voltage et de les visualiser sur papier.
    - Un compteur Tektronix : pour étudier parallèlement les variations de champs magnétiques et de niveau sonore.

    Tous ces instruments sont scellés, pour éviter toute intervention humaine.

    Malgré cela, des phénomènes inexpliqués se produisent pendant les heures de bureau mais jamais durant les week-end-end et les vacances.

    Le 20 décembre : Dans le bureau de l’avocat, un tube fluorescent se détache et se brise au sol, les autres grillent alors que les appareils s’affolent.
    Deux jours plus tard, on observe que la photocopieuse fonctionne sans être branchées.

    Après un nouveau branchement testé … les lampes explosent, en blessant une employée. Puis, elles se mettent à se balancer au plafond comme pour provoquer les spécialistes, les fusibles s’éjectent de leurs logements et les instruments de mesures s’affolent de plus belle.

    Le 11 décembre, 8H45 : Alors que Me Adam discute dans la salle de dactylos avec son assistant Mayr, un tableau accroché au mur se met à tourner sur lui-même, Brunner qui venait d’entrer dans la pièce essaya de la retenir mais en vain. Plusieurs tableaux fit de même et certains tombèrent violemment au sol…

    Adam et Brunner avaient noté, ce matin-là, une tension particulière chez les deux secrétaires, Gustel Huber et surtout chez Anne-marie Schneider. Elles quittent précipitamment la salle en poussant des cris. Les hommes observent, impuissants, le phénomène.

    Brunner décide d’écrire un rapport officiel en reconnaissant qu’il est incapable d’expliquer ces phénomènes. Dans son rapport, il indiqua « qu’il faut bien postuler la présence d’une force inconnue de notre science et de notre technologie. Un pouvoir dont ni la nature, ni la force, ni la direction qu’il peut prendre ne peuvent être définies. Un pouvoir au-delà de notre compréhension… ».

    Les docteurs Kanger de l’institut Max Plark de physique des plasmas, et, Zicha, de l’université de Munich sont demandés en consultation, il s’agit des deux plus éminents physiciens allemands des années 60.

    Voici leurs conclusions :

    - Les phénomènes électriques et électroniques étranges ne sont accompagnés d’aucune différence dans les voltages et n’en résultent pas ;
    - Les anomalies n’ont pas pour cause d’éventuelles variations dans les fréquences du voltage en provenance de l’extérieur ;
    - Les appareils de contrôle et de mesure fonctionnent normalement en eux-mêmes ; ils ont été changés à plusieurs reprises pour effectuer ce test ;
    - Aucun champ magnétique n’a été détecté ;
    - Pas de vibration infra ou ultrasonique ;
    - Toute intervention humaine ou fraude est à éliminer …

    Les deux physiciens remarquent que les phénomènes montrent une certaine forme d’intelligence, de part les choix des manifestations.

    Plusieurs universités mandent des enquêteurs, dont celle de Fribourg-en-Brisgau, où le professeur Hans Bender s’occupe d’un département de parapsychologie, qui travaille en particulier sur les hantises.

    Celui-ci soutient la thèse anglo-saxonne selon laquelle certaines personnalités perturbées, adolescents ou adultes dont la puberté a souvent été retardée, psychopathes légers, introvertis maladifs sont susceptibles de libérer eux-mêmes ou de catalyser une force inconnue qui devient responsable des phénomènes.

    Très vite, l’attention de ces « nouveaux exorcistes », comme ils ont été appelés dans une certaine presse de l’époque, vers Anne-marie Schneider. Elle est la plus tendue de tous, et un assistant du professeur a vu des lampes se balancer sur son passage dans un des couloirs. Et les phénomènes ne se déroulent qu’aux heures de bureau, plus particulièrement vers 7H30, à son arrivée. On notera aussi que lors de ses absences pour des petits congés, il ne se passe rien.
    Du 13 au 18 décembre, elle prend congé et les chercheurs en profitent pour effectuer des tests… Pendant ces 5 jours, il ne se passe rien.
    A son retour, tout reprend.
    A chaque manifestation, Anne-marie tombe dans une mauvaise crise de nerfs.

    Il a été constaté qu’à chaque manifestation d’un phénomène poltergeist, la personne qui en est responsable et cela sans en être consciente éprouve en retour un choc nerveux pouvant conduire jusqu’à la démence.

    La police aussi la soupçonne et l’officier Wendl pense qu’il finira par prendre la jeune fille en flagrant délit, mais il va vite admettre que physiquement, elle n’est responsable de rien.

    Un après-midi, alors que Anne-marie et Gustel Huber, la seconde secrétaire, discutent, un énorme meuble de chêne massif se déplace sur 30 centimètres… cette armoire pèse prés de 200 kilos …

    Anne-marie est aussi victime de la force qu’elle déchaîne, le 17 janvier, la jeune fille reçoit un violent choc électrique entre les jambes, ensuite, dans la même journée elle sera littéralement poursuivie par la chaise qu’elle vient de quitter, un policier en sera témoin.

    Me Adam décide de la renvoyer, conseillé par Bender resta en contact avec Anne-marie Schneider, et ils effectuèrent des tests psychokinésique, mais les tests se révélèrent négatif.
    En effet, elle ne semblait pas consciente des phénomènes spectaculaires qu’elle a pu causer.

    D’après l’équipe du professeur Bender, elle n’était pas capable de produire ces phénomènes que sous un fort état de stress et de frustration.

    L’effet poltergeist est incontrôlable même par celui qui le produit …


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