• Les pierres d'Ica




    Ica est une petite ville du Pérou située à 300 km de Lima, non loin des lignes de Nazca. C´est là qu´ont été découvertes les pierres anciennes gravées, dites pierres d´Ica.

    Le Dr. Javier Cabrera possède une immense collection de ces pierres qu´il a appelées " glyptolithes " Les pierres forment une bibliothèque sophistiquée laissée une ancienne civilisation perdue comprenant des images de greffes médicales et de transfusions sanguines, d´hommes avec des dinosaures, et des technologies de pointe tels que des télescopes et des équipements chirurgicaux. La bibliothèque s´étend à des sujets extrêmement variés comprenant les races humaines, des animaux préhistoriques, des cartes de continents perdus, des cartes stellaires et de la connaissance d´une catastrophe universelle.

    Le docteur a passé les trente dernières années à essayer d´éclaircir le mystère des pierres. La première pierre de sa collection lui avait été donnée pour son anniversaire comme presse-papier. Les anciennes chroniques espagnoles ont parlé de pierres similaires trouvées dans des tombeaux de l´époque précolombienne

    La collection de Cabrera compte plus de 11.000 pierres sur les 15 000 connues. Elles proviennent d´une grotte mise à jour il y a un certain nombre d´années quand un pan de la montagne s´est écroulé lors d´une crue de la rivière Ica . Un fermier illettré dit avoir trouvé la caverne mais refusa toujours d´indiquer son emplacement. L´annonce de cette découverte a capté l´intérêt des chercheurs, et les yeux du monde entier se tournèrent vers Ica. La BBC a aussitôt réalisé un reportage sur cette découverte énigmatique, attirant l´attention des autorités péruviennes.

    Craignant de voir ses richesses archéologiques pillées par les étrangers, et en vertu des lois nationales et internationales sur la protection du patrimoine, le gouvernement a fait arrêter et incarcérer le fermier pour pillage du patrimoine national,. Risquant plusieurs années de prison, voire la perpétuité, le fermier changea sa version de l´histoire avouant qu´il avait gravé lui-même les 15 000 pierres . Les pierres n´étaient qu´un canular, et l´affaire fut close.

    Pourtant " les connaissances hautement techniques " des scènes défiaient l´entendement de quiconque n´ayant que " peu ou pas d´éducation " et que sans une connaissance scientifique complexe, personne n´aurait pu illustrer les pierres avec autant d´exactitude. En fait, on a estimé que le fermier aurait dû, pour produire toute la bibliothèque, tailler une pierre chaque jour dans sa vie pendant plus de 40 ans !

    Les pierres sont en andésite, une roche volcanique vieille de 80 millions d´années, extrêmement dure et oxydée sur sa couche extérieure.. Des laboratoires en Allemagne ont authentifié les incisions qui composent les gravures comme extrêmement anciennes. La découverte de fossiles dans les environs montrent que le secteur était riche en fragments d´os datant des millions d´années.

    Cabrera avance la théorie que l´homme du "Glyptolithique" possédait des connaissances hautement techniques sur les opérations chirurgicales avec, entre autres, des descrïptions de césarienne avec l´acuponcture comme moyen d´anesthésie, des transplantations d´organes, du cœur, des reins et même du cerveau. Il avait découvert des moyens d´éviter le rejet des greffes qui sont à l´heure actuelle utilisés par la médecine moderne. L´isolation et l´extraction du matériel cellulaire dans le placenta d´une femme enceinte sont montrées dans une série de gravures avec réintroduction dans le patient transplanté pour éliminer la possibilité de rejet.

    Robert Charroux a commenté quelques unes de ces opérations dans son ouvrage " l´Énigme des Andes " aux éditions. Robert Laffont

    Dans une autre série, quatre pierres montrent les hémisphères de la terre révélant l´existence d´un continent inconnu qui fait aujourd´hui partie de notre inconscient collectif Fervent défenseur d´un ancien continent, le chercheur et auteur James Churchward, a découvert une tablette sacrée tibétaine montrant deux continents inconnus de part et d´autre de l´Amérique actuelle. Platon a parlé du continent perdu d´Atlantide, de même que les archives anciennes d´Orient.

    L´explorateur William Niven, a découvert un pétroglyphe dans le Yucatan dépeignant la présence non expliquée d´étendu de terres dans l´Océan atlantique, et dans l´Océan pacifique, supposées être l´Atlantide et Mu. Ce n´est seulement que récemment les scientifiques ont convenu compte tenu de la théorie de la dérive des continents que les Amériques, l´Asie, et l´Afrique étaient entièrement différentes de ce qu´elles sont aujourd´hui. Avec l´aide des géologues, Cabrera a confirmé que la représentation de la terre sur les pierres était exacte par rapport à ce que la terre était géologiquement il y a des millions d´années.

    Source et images : http://artchives.samsara-fr.com/Souvenirs-atl/ica.htm

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  • Les dropas





    L'histoire débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre
    une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des
    cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la
    frontière Sino-Thibétaine. Entre des décorations montrant de petits
    êtres coiffées de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui
    les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut
    vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une
    espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leur morts !



    On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux
    incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et
    d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un
    linguiste Chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques
    entreposés à l'Académie de Pékin.



    Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se
    sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés
    incapables de réparer leur vaisseau. Ce groupe fut d'abord traqué, à
    cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui
    occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire
    accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement
    ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait
    vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.



    EN RESUME:

    En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la
    frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues Chinois
    entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes
    interconnectées.



    Leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé par la découverte d'une
    série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de
    squelettes de ce qui devait bien être un race d'être humains inédite.
    Leurs corps étaient petits et frêle, leur tête largement plus grande
    que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une
    espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de
    singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leur morts exclue
    cette possibilité.



    Etudiant un des squelettes, l'un des membre de l'expédition trébucha
    sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne.
    L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique. Un
    trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon spiralant de
    petits caractères inconnus.



    Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et
    expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques
    experte s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à
    ce que finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture
    inconnue et se mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes
    Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son
    travail, il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.



    Le texte racontait l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les
    habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya
    Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement
    claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les
    lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivant, effrayés qu'ils
    étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.



    Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à force de signes
    finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques, expliquant
    qu'il venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen de réparer
    leur véhicule ou d'en construire un autre.



    En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes
    cavernes. Les légendes de la région mentionnent des petits hommes
    jaunes venant des nuages, ayant de grosses tête et des corps très
    frêles, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.



    Sur les parois étrangement lissés des cavernes, on trouva des dessins
    précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles
    identifiables telle Sirius, avec des lignes en pointillés qui les
    joignent entre elles. Ces dessins ont été datés de 12.000 ans avant nos
    jours.



    La zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus
    semi-troglodytes connues comme les Han et les Dropa ou Dzopa. Les deux
    tribus sont d'apparence très étranges, de corps fragiles, d'une taille
    dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes
    disproportionnées et de grands yeux à l'iris bleu. Ils ne sont ni
    typiquement Chinois ni Thibétains.



    En Russie, plusieurs disques furent examinés. Il fut montré qu'ils
    contiennent de grandes quantité de Cobalt et d'autres substances
    métalliques. Placés sur une table tournante, Ils émettait un
    bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.



    Le Message :



    Le Dr Tsum a touché la face lisse du disque avec la paume de sa main.
    "Qu’est ce que pourrait être ce disque?" s'est-il demandé. Il a su son
    histoire récente; comment il a été découvert en 1938 par un archéologue
    chinois dans une caverne dans l’Himalaya, avec 715 disques semblables ;
    comment il était enterrés tout près des squelettes d'une tribu étrange
    de personnes faisant en moyenne seulement plus de quatre pieds de haut
    ; comment on a constaté que chaque disque a été inscrit avec une
    cannelure minuscule qui s'est développée en spirales autour de sa face,
    et que la cannelure s'est avérée être un hiéroglyphe inconnu. Il a
    également su que les disques, aussi remarquables qu'ils soient, avaient
    été simplement stockés à l'université de Beijing pendant 20 années.
    Pendant ce temps, d'autres avaient essayé de déchiffrer les
    inscriptions étranges, mais sans succès. Peut-être maintenant, en 1962,
    il pourrait.



    Le professeur a soigneusement retranscrit les caractères à partir du
    disque. L'écriture était si petite qu’il a dû utiliser une loupe pour
    la voir clairement. Mais elle était vieille - peut-être 12.000 ans, a
    t’on estimé. Pendant qu'il travaillait, beaucoup de questions ont
    harcelé le professeur. Comment ces personnes primitives gravaient ces
    pierres avaec autant de précision ? Comment ont-ils contrôlé l'écriture
    presque microscopique ? Qui étaient-ils et qu'était le but de ces
    centaines de pierres ? Une fois que les caractères eus étaient
    retranscrits, le Dr. Tsum Um Nui a commencé la tâche laborieuse
    d'essayer de décoder le message. Par la suite, il a commencé à
    accomplir le progrès. Un mot a émergé. Puis d’autres. Une expression
    est devenue compréhensible, puis une phrase entière. Il avait déchiffré
    le code. Il a apprit que les messages sur les pierres ont été écrits
    par un peuple qui s'est appelé les Dropa. Mais ce que disait le message
    a 12.000 ans. Ce que le Dropa avait écrit doit avoir été l'un de leurs
    mythes culturels, ou faisait partie d'une certaine cérémonie religieuse
    préhistorique.



    Quand il a fini la traduction comme il pouvait, le professeur s'est
    assis en arrière dans sa chaise dans l'incrédulité. L'histoire des
    Dropa n'était rien de moins qu’étonnante. Comment ses collègues
    réagiraient-ils ? Comment le monde pourrait-il réagir si cette histoire
    était vraie ? Le professeur a préparé un papier sur ses résultats et
    l'a présenté à l'université pour la publication. Leur réaction était
    rapide et emphatique : le papier ne serait pas édité. L'académie de la
    préhistoire l'a expressément interdit d'éditer ou même de parler de ses
    résultats. Le monde, ne devrait rien savoir sur les Dropa.



    Les résultats du Dr. Tsum Um Nui ont été par la suite édités,
    cependant. Juste deux ans après, il a édité le papier, pour quelques
    comptes, l'académie s'est radoucie et a donné la permission au
    professeur d'éditer le papier, et pour d'autres comptes il l'a édité en
    dépit de l'interdiction officielle. Dans l'un ou l'autre cas, sa
    traduction et sa théorie ont rencontrées le ridicule par
    l'établissement d'archéologie. La traduction était tout juste bonne à
    prendre à la valeur nominale ou comme compte historique. Il changerait
    tout ce que nous savons sur notre histoire et de l'humanité dans
    l'univers.



    Ce que les pierres indiquent



    Les disques de Dropa indiquent l'histoire d'une sonde spatiale d'une
    planète éloignée qui endommagée a atterri dans les montagnes de
    Baian-Kara-Ula de l'Himalaya. Les occupants du vaisseau spatial - les
    Dropa - ont trouvé refuge dans les cavernes des montagnes. En dépit de
    leurs intentions paisibles, le Dropa ont été mal compris par les
    membres de la tribu qui occupaient les cavernes voisines et ils les ont
    chassé et également tué certains d'entre eux. Une traduction d'un des
    passages indique : "le Dropa est descendu des nuages dans leur avion.
    Nos hommes, femmes, et enfants se sont cachés dans les cavernes dix
    fois avant lever de soleil. Quand enfin ils ont compris la langue de
    signe du Dropa, ils se sont rendus compte que les nouveaux venus ont eu
    des intentions paisibles...."



    Les pierres continuent pour indiquer comment les Dropa ne pouvaient pas
    réparer leur vaisseau spatial endommagé et ne pourraient pas retourner
    sur leur planète, et ainsi ont échouées sur terre. Si c'est vrai, leurs
    descendants ont-ils survécu ?



    Aujourd'hui, le secteur est habité par deux tribus qui, en fait,
    s'appellent les Dropa et les Han. Ont ne pu classer l'une ou l'autre
    tribu dans n'importe quelle autre race connue ; ils ne sont ni des
    Chinois ni le Tibétain. Les deux tribus sont de stature pygméenne, les
    adultes mesurant entre 3,6 et 4,7 pieds avec une taille moyenne de 4,2
    pieds, et de poids entre 38 à 52 livres. Ils sont jaunes avec le corps
    minces et les têtes d'une façon disproportionnément grands,
    correspondant aux restes squelettiques trouvés dans les cavernes en
    1938. Ils ont les cheveux clairsemés et ont de grands yeux qui ne sont
    pas asiatiques dans l'aspect, mais ont les iris bleu clair.



    Il y a également un conte chinois antique qui pourrait soutenir la
    thèse des Dropa. Le conte raconte l'histoire d'un peuple, petit, mince,
    jaune qui est descendu à la terre des nuages, et qui ont été évités par
    chacun en raison de leur maigreur.



    Propriétés Étranges



    En 1968, les pierres de Dropa sont venues à l'attention de W. Saitsew,
    un scientifique russe qui a republié les résultats d’Um Nui Tsum et a
    effectué des essais sur les disques qui ont indiqué quelques propriétés
    très particulières. Physiquement, les pierres de granit contiennent des
    concentrations élevées de cobalt et d'autres métaux - une pierre très
    dure en effet qui aurait rendu difficile pour que les personnes
    primitives découpent le lettrage, particulièrement avec de tels
    caractères minutieux. En examinant un disque avec un oscillographe, un
    rythme étonnant d'oscillation a été enregistré comme si, par le passé,
    ils avaient été électriquement chargés ou avaient fonctionné comme
    conducteurs électriques.



    Les pierres des Dropa ressembles à un puzzle intrigant pour des
    archéologues et des anthropologues. Est-ce que les visiteurs de Dropa
    viennent vraiment d'une certaine planète éloignée, ou leur histoire est
    simplement un mythe de la création qui aurait été imaginé par une
    culture primitive ? Si c’est le cas, il additionne un tel "mythe" au
    grand nombre d'histoires de cultures antiques qui réclament que leurs
    descendants sont venus des cieux. Si non, les pierres de Dropa
    pourraient représenter la première visite enregistrée d'une
    civilisation étrangère à notre planète. Pour l’instant, les pierres de
    Dropa restent non expliquées.

    source http://forum.olweb.fr/showthread.php?t=98305&page=72

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  • Une civilisation amérindienne inconnue en Utah?




    Découverte d'un ensemble de plaques de cuivres inscrites de caractères inconnus par Mr Duane K. Erikson en Utah.

    Duane Erickson nous envoie cette photographie étonnante de ce lot de 23 plaques métalliques qui ont été découvertes, grâce aux indications d'Amérindiens en Utah. Nous attendons plus de précisions de la part de la BMS Foundation pour connaître la nature exacte du métal, qui semble du cuivre. La plaque en haut à droite semble présenter des constellations, d'autres plaques montent semble-t-il une montagne, et une autre, une sorte de "roue médecine", telle que nous pouvons en voir dans des pétroglyphes en Arizona et en Utah.

    L'écriture fait penser à du cunéiforme par la manière dont elle est ciselée délicatement sur le métal. Un épigraphiste devrait pouvoir définir si nous avons à faire un quelque chose de vrai ou à un faux. Mais il semble bien que cela soit réel, l'Indien Ute qui a conduit à ce dépôt, connait avec son peuple, d'autres endroits où seraient cachés de telles plaques. Enfin, l'archéologie américaine ignorerait ces choses pour l'instant, car cela dérange l'histoire "officielle".

    Ces plaques rappellent celles qui ont permis la traduction du Livre de Mormon, mais c'est un contexte différent bien sur, mais très intéressant. Une "culture des plaques" a-t-elle existée au Nouveau Monde?

    Le fait d'utiliser un métal est un support résistant au temps, mais cela va aussi à l'encontre de ce que l'on sait de la métallurgie des Amérindiens, tout cela est passionnant, et nous attendons de plus amples renseignements de la part de Duane K. Erikson.

    Commentaire d'Adama :

    J'ai montré cette photo à des archéologues, pour eux, en-dehors du fait qu'il est inconcevable que des amérindiens aient pu connaître l'usage des métaux de cette sorte, il est difficile à dire s'il s'agit d'une vraie découverte ou d'une fausse, c'est-à-dire d'un cannular. La prudence dans les deux cas est de mise sans expertise des documents originaux.

    Voici une lettre reçue par l'inventeur de cette découverte qui pour lui, dérange les autorités fédérales :

    CITATION DE SA LETTRE :


    Un documentaire sur la montagnes sacrée située en Utah, où l'endroit qui possède de nombreux vestiges d'occupations humaines et des objets d'or, devrait faire l'objet d'un petit film. Les restes de Noé, le tombeau d'Abel, et les restes de Seth auraient été identifiés dans cette région, par différentes traditions, région qui connut également de nombreuses batailles antiques. Un interview avec le découvreur de ce coffret de pierre, contenant des plaques de métal comportant une écriture inconnue, sera réalisé. (Note d'Adama :il faut rappeler qu'aux USA la culture biblique est fortement implantée, et encore plus en Utah, mais nous ne pouvons "rire" et balayer cela d'un regard hautain, il s'agit peut être d'authentiques vestiges inconnus, ce que je pense pour ma part).

    Des milliers de plaques de métal, seraient encore dans la région dissimulées, les plaques auraient été un moyen pour d'anciens peuples de graver leurs annales. Je suis en train de terminer un CD ROM sur des plaques similaires qui existent dans d'autres civiliations à travers le monde, et certaines proviennent également du Tibet. Peut-ont parler d'une civilisation inconnue des plaques? dont l'archéologie officielle ignore en partie l'existence.

    L'Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours ne prend pas position sur ces plaques de métal (Note d'Adama : église majoritaire en Utah) découvertes depuis, et reste en-dehors de ce débat, bien que de nombreux Saints s'y intéressent. Pour l'instant, il n 'y a pas assez de données pour trancher dans un sens ou dans l'autre sur l'authenticité de ces documents. Mais, certains sont réels sans l'ombre d'un doute.

    Concernant le Gouvernement Fédéral, un de mes contacts aux Etats-Unis a fait l'objet d'intimidation, a été observé nuit et jour par des agents fédéraux, et un "accident" a même été organisé contre cette source. Preuve que ces recherches dérangent le gouvernement qui veut cacher les traces d'un passé différent de ce qui est enseigné officiellement sur le continent Nord Américain.

    Le Gouvernement Fédéral a édicté une loi spéciale pour toute découverte dans ou sur la montagne sacrée de l'Utah, et confisque toute découverte. Ce qui est exceptionnel étant donné qu'aucune loi interdit normalement la prospection de données archéologiques aux Etats-Unis.

    Un viel indien dont je préfère taire le nom, connait un endroit dans la région où il a vu des "corps de géants", comme ceux décrits dans la Bible, et de nombreuses boites de pierre renfermant d'autres plaques gravées d'écritures inconnues.

    J'ai pu me rendre dans l'un des endroits en compagnie de cet ami Indien, et j'ai pu prendre quelques photographies de ces éléments incroyables, et qui sont cachés au public américain et au monde.
    Par conséquent je vais essayer de faire un documentaire, pour informer de cette réalité qui dérange, et qui pourrait éclairer autrement le passé de notre continent.

    FIN DE CITATION

    Je dois me rendre en Utah à l'invitation de Duane K. Erikson, pour voir par moi même ces éléments étranges. Je ne manquerai pas lors des prochaines vacances, d'en faire un compte rendu honnête et détaillé. Affaire à suivre...

    Source : BMS/Kolob Order http://koloborder.blog4ever.com/blog/lirarticle-18187-249694.html

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  • Des sphères métalliques vieilles de 3 milliards d’années


    Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d’une mine d’argent en Afrique du Sud, la Wonderstone Silver Mine, d’étranges sphères métalliques.
    Ce sont environ 200 sphères qui ont ainsi été trouvées. Cela n’aurait rien d’extraordinaire si la datation des roches ne remontait à environ 3 milliards d’années.

    Ces sphères ou billes ont un diamètre de 3 à 10 cm. Elles sont composées d’un alliage à base de nickel et d’acier. Cet alliage n’existe pas à l’état naturel.

    Certaines de ces sphères possèdent une sorte de coquille. Si on la casse, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l’air.


    Les sphères ont été extraites d’une couche rocheuse de pyrophyllite. A l’aide de divers isotopes radioactifs, la datation géologique de ces roches remonterait entre 2,8 et 3 milliards d’années.

    En 1979, plusieurs de ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA ont également analysé ces sphères. A ce jour, nul n’est parvenu à fournir une explication plausible.


    La composition pourrait être d’origine météorique mais la fabrication n’a rien de naturelle et semble bien artificielle.
    Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son axe sans la présence d’aucune vibration extérieure.
    Il y aurait-il à l’intérieur de ces sphères une énergie qui fonctionnerait toujours au bout de 3 milliards d’années ?

    D’autres sphères du même type auraient été trouvées au Texas en 1997 et dans trois autres Etats.

    D’où viennent ces sphères ? A quoi servaient-elles ? L’énigme reste entière.

    Source : http://www.dinosoria.com/sphere.htm

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  • Maquette d'avion datant de 200 avant J-C







    En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av.JC.

    Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée du Caire.

    Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre.

    - Aux formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes.

    - Qui a une queue verticale et non horizontale.

    - Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.

    - L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure.

    - Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.

    - Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.

    Il peut donc voler !!! Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur.

    Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972.


    http://www.kterre.org/chronologie/info.php?id=5583

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