• A la merci des envahisseur

    Il y avait une lacune de taille dans le plan américain d’exploration spatiale, tel qu’il fut exposé en juillet 1950, et que les O.V.N.I. ont appliqué scrupuleusement et méthodiquement au cours de ces cinquante huit dernières années !<o:p></o:p>

    Le programme s’arrêtait à la phase sept : la tentative de « pleins contacts ».<o:p></o:p>

    Que se passerait-il si les « indigènes » de la planète en cause tentaient de s’opposer à cette intrusion ?<o:p></o:p>

    Comment les neutraliser ? Aucune allusion n’était faite à cette éventualité.<o:p></o:p>

    Il semble bien que les occupants des OVNI. aient envisagé une telle attitude, et aient étudié les moyens de neutraliser toute résistance.<o:p></o:p>

    Ce serait l’explication de toutes les perturbations électriques provoquées par le passage ou la présence des OVNI. : Arrêt des moteurs de véhicules, pannes de courant de tout ordres, que ce soit dans les systèmes électroniques des avions de chasse (Rafale de Corrèze 2008) ou des bases de missiles, ou dans les centrales alimentant les grandes régions habitées et industrielles.<o:p></o:p>

    Il serait beaucoup plus rassurant de penser que tous ces incidents sont les conséquences involontaires du mode de propulsion- électromagnétique, et courant spiralé ou autre.<o:p></o:p>

    Mais, s’il s’agit d’un plan de neutralisations, celui-ci s’annonce redoutablement au point. <o:p></o:p>

    On y trouve plusieurs volets, d’une rigoureuse logique.<o:p></o:p>

    1)   Immobiliser les terriens se déplaçant à pied : les cas de paralysie par rayon lumineux a fréquences humaines verticales, le plus connu : Marius Delwide.<o:p></o:p>

    2)   Stopper tout ce qui bouge : voiture, motos, avions : des cas innombrables là aussi, dont plusieurs sont cités dans de nombreux ouvrages.<o:p></o:p>

    Arrêt des véhicules, mais surtout un exemple-type de ce qui attendrait les chasseurs à réaction avec cet incident, dans le ciel d’Iran, en 1976 : je l’ai rapporté dans  le chapitre »Poursuite dans le ciel ». Je rappellerai seulement que les pilotes ne purent tirer sur l’engin en raison d’une paralysie soudaine de tout le système électromagnétique et de leurs communications radio.<o:p></o:p>

    3)   Rendre inutilisable les bases de lancement de missiles :<o:p></o:p>

    En raison de leur gravité, les incidents qui se sont déroulés sur les bases russes et américaines sont restés secrets.<o:p></o:p>

         Quelques-uns ont pourtant filtré. Ainsi :<o:p></o:p>

         En mai 1959, comme si les OVNI. Avaient les moyens de repérer les centres stratégiques, avec les conclusions peu rassurantes que l’on peut en tirer, les radars du quartier général de l’Etat-major des missiles, à Sverdliovsk, en plein Oural, s’affolent brusquement.<o:p></o:p>

    Sur les écrans, des échos apparaissent, disparaissent, s’immobilisent en un carrousel inquiétant. C’est l’alerte générale. La panique. Les engins évoluent à des altitudes qui les mettent hors de portée des défenses anti-aériennes. Ils ont des accélérations foudroyantes, ou s’arrêtent sans avoir marqué le moindre ralentissement préalable<o:p></o:p>

    Dans les bunkers souterrains, on vérifie fébrilement tous les appareils : ils fonctionnent parfaitement. Ce sont bien des engins matériels qui passent et repassent au-dessus du quartier général, cerveau des forces nucléaires stratégiques soviétiques.<o:p></o:p>

    Leurs évolutions se prolongeront pendant 24 heures. Un épisode qui rappelle étrangement le carrousel qui s’était déroulé au-dessus de Washington au cours des nuits des 19 et 26 juillet 1952 : une formation de huit O.V.N.I. avait survolé, en toute impunité, la Maison-Blanche, et le Pentagone, siège de l’Etat-major des forces armées U.S. de 23 h 30 à 5 heures du matin.<o:p></o:p>

    Le 2 décembre 1965, un OVNI provoque une panne d’électricité sur la région d’Els Paso, au Texas.<o:p></o:p>

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    Cette panne neutralise tous les aéroports de la région, les champs de tir des White Sands, et Fort Bliss.<o:p></o:p>

    Le 25 août 1966, un officier de l’U.S. Air force, attaché à la base de missiles intercontinentaux du Dakota du Nord, près de Minot, est à son poste dans la salle radio antiatomique, bâtie en béton armé. Il est brutalement coupé de toute liaison. Alors qu’il cherche à trouvé l’explication de cette interruption inexplicable (car le système des télécommunications avec les bases de missiles est conçu de façon à ne jamais rester interrompu : en cas d’accidents sur l’un des appareils, ou de rupture sur une longueur d’ondes déterminée, d’autres appareils ou fréquences différentes se branchent automatiquement et immédiatement), un autre officier, qui se trouve sur la base, voit un OVNI. , haut dans le ciel, qui brille d’une étrange lumière rouge. Il semble se livrer à un curieux et rapide mouvement de « yo-yo ». Les radars de la base de situent à <st1:metricconverter w:st="on" productid="30000 m">30000 m</st1:metricconverter> d’altitude. Soudain, il pique presque jusqu’au sol, remonte aussi brusquement, et disparaît au-dessus des nuages.<o:p></o:p>

    Pendant ces quelques minutes, la base a été complètement neutralisée et coupée de l’extérieur.<o:p></o:p>

    Fin octobre 1975, un OVNI. Brillant, « avec une antenne sortant du haut », survole pendant deux heurs une installation de missiles de l’U.S. Air Force, en Montana.<o:p></o:p>

    C’était comme si l’OVNI. Etait attiré par les missiles. Il stationnait juste au-dessus, ont raconté les membres du personnel de la base. Il était rond, avec d’éclatantes couleurs rouge, bleu et vert, il était de la grosseur d’un avion commercial. Il semblait s’arrêter et s’éloigner un peu, puis revenait. Aucun radar n’a enregistré l’engin.<o:p></o:p>

    4) Immobiliser les populations en interrompant les sources d’énergie électrique, qui assurent une grande partie des transports en commun- y compris les ascenseurs ! – l’éclairage et chauffage, et d’une façon générale, la vie économique et sociale d’un pays.<o:p></o:p>

    Le 9 janvier 1954, un OVNI. Parcourt, pendant deux heures, le ciel  de l’Est de la France. Alors qu’il survole la région de Champlitte (Haute-Saône), une panne générale d’électricité se produit. La lumière revient après la disparition de l’OVNI.<o:p></o:p>

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    En 1957, le passage d’un grand OVNI. Provoque une panne générale à Tamaros (USA). Le courant revient quand l’OVNI s’éloigne.<o:p></o:p>

    Le 22 juillet 1958, Rome est à son tour plongée dans l’obscurité quand passe un OVNI … et la lumière revient quand il a disparu.<o:p></o:p>

    Même phénomène le 6 décembre 1958, vers 23 heures, à Bari (Italie) survolée, à faible altitude, par un OVNI.<o:p></o:p>

    Le 17 août 1959, en Argentine, dans l’état de Minas Gerais, plusieurs OVNI. Survolent, à basse altitude, les stations de distribution du secteur électrique. Elles tombent en panne au fur et à mesure.<o:p></o:p>

    A Uberlandia ? Le personnel, alerté par téléphone quelques minutes avant l’arrivée des OVNI., essaie de prévenir la panne, en tentant de refermer les sectionneurs qui avaient commencé, à s’ouvrir. Ils ne peuvent y parvenir, la présence d’un seul OVNI. Rendant vaines les mesures habituelles pour maintenir le courant. Ce dernier ne peut être rétabli qu’après le départ de l’engin mystérieux ?<o:p></o:p>

    Le 23 septembre 1965 marque le début d’une impressionnante série de pannes : à Cuernava (Mexique), au  moment où un OVNI. Survole la ville, toutes les lumières s’éteignent. Elles ne se rallument qu’après la disparition de l’engin. Parmi les témoins : le Général Rafael Vega, commandant la subdivision militaire, Valentin Gonzalès, maire de la ville, et Emilio Riva Palacie, gouverneur de la province.<o:p></o:p>

    Le 9 novembre, c’est la panne gigantesque qui frappe le nord-ouest des États-Unis : trente millions d’américains sont pris au piège dans leur voiture, les métros, les ascenseurs, les ateliers, les bureaux. Les grandes sociétés productrices d’électricités ne purent se mettre d’accord sur l’origine de cet « incident », étrangement préfiguré dans ce film «  Le jour où la Terre s’arrêta ».<o:p></o:p>

    Par contre, il est établi que des OVNI. Étaient apparus vers 16 h 30 au dessus de la Pennsylvanie, et qu’ils furent pris en chasse par des avions. A 17 h 30, un OVNI. Piqua près de Syracuse, et ce fut la panne, qui s’étendit en chaîne à une immense région.<o:p></o:p>

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    Le 2 décembre, les quelques 700000 habitants du Texas, du Nouveau-Mexique et du Mexique sont privés de lumière. Cause officielle : mauvais fonctionnement d’un régulateur dans une centrale de El Paso ? Mais pourquoi a-t-il mal fonctionné ? Réponse « officieuse » ; un OVNI est passé par là. Ce qui est excessivement  grave dans cette affaire, c’est que la panne priva d’électricité d’importantes installations militaires comme la base aérienne de Holloman, le champ de tir des Wihite Sands, Fort Bliss, et de nombreux aéroports régionaux.<o:p></o:p>

    Et la principale victime fut le président Johnson, qui se trouvait dans son ranch du Texas, et conversait avec l’un de ses collaborateurs resté à la Maison Blanche, justement sur de possible intrusion extérieur à la planète : au beau milieu de leur entretien, la ligne s’était tue !<o:p></o:p>

    Bases aériennes et base de missiles aveuglées, un président « sourd et muet » : quelle inquiétante constatation.<o:p></o:p>

    Le 5 décembre, quarante mille foyers du sud-ouest du Texas sont frappés de la même cécité.<o:p></o:p>

    Le 9 janvier 1966, un OVNI. Apparaît au-dessus de Naples, principale base de l’O.T.A.N. en Méditerranée. Toutes les lumières s’éteignent, y compris celles de Capri. La panne dura quarante minutes et s’étendit de Naples à Brindisi. Deux chasseurs américains tentèrent en vain d’intercepter l’OVNI.<o:p></o:p>

    Le 24 décembre 1978, un OVNI. A mis hors d’usage une petite centrale électrique, dans le massif montagneux du Grand Sasso, en Italie.<o:p></o:p>

    A l’aube de ce jeudi, deux employés de la centrale de Prati di Tivo voient toutes les aiguilles des cadrans de contrôle devenir « folles », y compris celles des appareils hors d’usage. Finalement, la centrale s’arrête de fonctionner.<o:p></o:p>

    Peu après, les deux employés voient, dans le ciel, une sphère lumineuse, avec des ailerons rouges, se déplaçant silencieusement pendant plusieurs minutes avant de disparaître derrière les cimes.<o:p></o:p>

    Quelques instants plus tard, un autre témoin a vu le même appareil qu’il a photographié. Les instruments de mesure de la centrale électrique ont été mis hors d’usage. Quand à la remise en marche d’instruments jusqu’alors en panne. « Il y a aucune explication rationnelle, pas même la foudre », disent les enquêteurs.<o:p></o:p>

    Dans la nuit du 30 au 31 décembre 1978, c’est au tour de Venezuela de connaître une gigantesque panne de courant. La cause de cette panne n’a pu être déterminée.<o:p></o:p>

    Selon la presse vénézuélienne, de nombreux témoignages d’observations d’engins, auraient été enregistrés après la coupure de courant.<o:p></o:p>

    Le 23 octobre 1979, l’éclairage public du village de Villacalabuey, dans la province espagnole de Léon (<st1:metricconverter w:st="on" productid="300 km">300 km</st1:metricconverter> au nord de Madrid) s’est éteint momentanément alors qui scintillaient dans le ciel des objets volants mystérieux. Des phares de tracteurs et les lampes de certaines demeures se sont également assombris, tandis que, selon les témoins, les OVNI. Lançaient de petits éclairs d’une grande intensité. Tout est redevenu normal quand les OVNI. Se sont « éteints »<o:p></o:p>

    Depuis les années 1980, certains États ne font plus mentions de ces pannes, pour éviter toute panique.<o:p></o:p>

    Cette énumération fait apparaître brutalement l’aspect le plus inquiétant du dossier O.V.N.I. : nous serions mis totalement hors d’état d’opposer la moindre résistance à une invasion venue de l’espace. <o:p></o:p>

    Faut-il fermer les yeux, en affirmant, pour se rassurer, que les « OVNI. n’existent pas » ? Ou, au contraire, tenter de mettre au point des moyens de défense échappant à toute neutralisation ?<o:p></o:p>

    Théoriquement, cette possibilité existe ? Des physiciens américains et russes se sont attaqué à l’étude des forces encore peu connues, mais fantastiques de l’électromagnétisme, et des courants magnétiques spiralés. Déjà dans les années 60  le professeur Motz, de l’Institut Stanford de Californie, affirmait ; <o:p></o:p>

    « L’annihilation totale de la matière et sa création total à partir de l’énergie sont les étapes prévisibles de la physique des prochaines décennies. »<o:p></o:p>

    L’une des applications de cette physique de l’an 2010 pourrait être mise au point de « champs subnucléaires », que Motz appelle aussi « champs inertiels », et qui ne sont en fait que des champs désintégrateurs.<o:p></o:p>

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    Une arme terrifiante puisque tout ce que balaierait ce faisceau de particules serait anéanti. Une arme qui ne risquerait pas de se retourner contre ses utilisateurs, car il n’y aurait pas de retombée radioactive comme avec les armes nucléaires actuelles.<o:p></o:p>

    Le docteur Motz, dont les travaux ont été poursuivis depuis par d’autres physiciens de l’institut Stanford, « Et aussi par des services secrets militaires » entrevoyait une autre possibilité offerte par les champs inertiels : créer, dans l’espace (des satellites secrets mises sur orbite, possède ce genre d’arme) dans l’espace, des barrières de forces, véritables boucliers invisibles sur lesquels viendraient s’écraser les missiles ennemis … et les OVNI ?, pour ce dernier cela me semble légèrement prétentieux de notre part ?<o:p></o:p>

    Ce serait la seule parade possible.<o:p></o:p>

    Et le simple bon sens exige de pousser au maximum les recherches dans cette voie, car l’éventualité d’une agression est dans la logique du Futur : il y aura fatalement un contact entre terriens et des êtres venus d’un autre monde, ou des autres mondes. Tout à la lumière des éléments recueillis depuis des dizaines d’années, et analysés ici, laisse redouter que ces êtres viennent en conquérants, pas tous je l’espère pour les futures générations.<o:p></o:p>

    Que feraient nos pauvres terriens avec leurs fusées, bloquées au font de leurs silos coupés des salles de commandements, si, demain les Extraterrestres, déclenchaient « l’Opérations Terre » ?<o:p></o:p>

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    Pour info, nous pensons que le dernier accident survenu a cause d’une interruption de courant, et l’avion Rafale de l’escadron « Provence de la base de Saint-Dizier », le jeudi 6 décembre 2007 à 18 h 20  dans la commune de Neuvic (Corrèze), avec a son le commandant Fréderic Salamo. Il n’y a eu aucune explication officielle.<o:p></o:p>

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    Sources : Documents recherches Services de renseignements<o:p></o:p>

                      Militaires, rapports des journalistes, Charles GARREAU<o:p></o:p>

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                                                                              Courton le bas le 12 mai 2008 <o:p></o:p>

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                                                                                  Claude BURKEL

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