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Par seb90 le 21 Octobre 2008 à 18:29A la merci des envahisseur
Il y avait une lacune de taille dans le plan américain dexploration spatiale, tel quil fut exposé en juillet 1950, et que les O.V.N.I. ont appliqué scrupuleusement et méthodiquement au cours de ces cinquante huit dernières années !<o:p></o:p>
Le programme sarrêtait à la phase sept : la tentative de « pleins contacts ».<o:p></o:p>
Que se passerait-il si les « indigènes » de la planète en cause tentaient de sopposer à cette intrusion ?<o:p></o:p>
Comment les neutraliser ? Aucune allusion nétait faite à cette éventualité.<o:p></o:p>
Il semble bien que les occupants des OVNI. aient envisagé une telle attitude, et aient étudié les moyens de neutraliser toute résistance.<o:p></o:p>
Ce serait lexplication de toutes les perturbations électriques provoquées par le passage ou la présence des OVNI. : Arrêt des moteurs de véhicules, pannes de courant de tout ordres, que ce soit dans les systèmes électroniques des avions de chasse (Rafale de Corrèze 2008) ou des bases de missiles, ou dans les centrales alimentant les grandes régions habitées et industrielles.<o:p></o:p>
Il serait beaucoup plus rassurant de penser que tous ces incidents sont les conséquences involontaires du mode de propulsion- électromagnétique, et courant spiralé ou autre.<o:p></o:p>
Mais, sil sagit dun plan de neutralisations, celui-ci sannonce redoutablement au point. <o:p></o:p>
On y trouve plusieurs volets, dune rigoureuse logique.<o:p></o:p>
1) Immobiliser les terriens se déplaçant à pied : les cas de paralysie par rayon lumineux a fréquences humaines verticales, le plus connu : Marius Delwide.<o:p></o:p>
2) Stopper tout ce qui bouge : voiture, motos, avions : des cas innombrables là aussi, dont plusieurs sont cités dans de nombreux ouvrages.<o:p></o:p>
Arrêt des véhicules, mais surtout un exemple-type de ce qui attendrait les chasseurs à réaction avec cet incident, dans le ciel dIran, en 1976 : je lai rapporté dans le chapitre »Poursuite dans le ciel ». Je rappellerai seulement que les pilotes ne purent tirer sur lengin en raison dune paralysie soudaine de tout le système électromagnétique et de leurs communications radio.<o:p></o:p>
3) Rendre inutilisable les bases de lancement de missiles :<o:p></o:p>
En raison de leur gravité, les incidents qui se sont déroulés sur les bases russes et américaines sont restés secrets.<o:p></o:p>
Quelques-uns ont pourtant filtré. Ainsi :<o:p></o:p>
En mai 1959, comme si les OVNI. Avaient les moyens de repérer les centres stratégiques, avec les conclusions peu rassurantes que lon peut en tirer, les radars du quartier général de lEtat-major des missiles, à Sverdliovsk, en plein Oural, saffolent brusquement.<o:p></o:p>
Sur les écrans, des échos apparaissent, disparaissent, simmobilisent en un carrousel inquiétant. Cest lalerte générale. La panique. Les engins évoluent à des altitudes qui les mettent hors de portée des défenses anti-aériennes. Ils ont des accélérations foudroyantes, ou sarrêtent sans avoir marqué le moindre ralentissement préalable<o:p></o:p>
Dans les bunkers souterrains, on vérifie fébrilement tous les appareils : ils fonctionnent parfaitement. Ce sont bien des engins matériels qui passent et repassent au-dessus du quartier général, cerveau des forces nucléaires stratégiques soviétiques.<o:p></o:p>
Leurs évolutions se prolongeront pendant 24 heures. Un épisode qui rappelle étrangement le carrousel qui sétait déroulé au-dessus de Washington au cours des nuits des 19 et 26 juillet 1952 : une formation de huit O.V.N.I. avait survolé, en toute impunité, la Maison-Blanche, et le Pentagone, siège de lEtat-major des forces armées U.S. de 23 h 30 à 5 heures du matin.<o:p></o:p>
Le 2 décembre 1965, un OVNI provoque une panne délectricité sur la région dEls Paso, au Texas.<o:p></o:p>
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Cette panne neutralise tous les aéroports de la région, les champs de tir des White Sands, et Fort Bliss.<o:p></o:p>
Le 25 août 1966, un officier de lU.S. Air force, attaché à la base de missiles intercontinentaux du Dakota du Nord, près de Minot, est à son poste dans la salle radio antiatomique, bâtie en béton armé. Il est brutalement coupé de toute liaison. Alors quil cherche à trouvé lexplication de cette interruption inexplicable (car le système des télécommunications avec les bases de missiles est conçu de façon à ne jamais rester interrompu : en cas daccidents sur lun des appareils, ou de rupture sur une longueur dondes déterminée, dautres appareils ou fréquences différentes se branchent automatiquement et immédiatement), un autre officier, qui se trouve sur la base, voit un OVNI. , haut dans le ciel, qui brille dune étrange lumière rouge. Il semble se livrer à un curieux et rapide mouvement de « yo-yo ». Les radars de la base de situent à <st1:metricconverter w:st="on" productid="30000 m">30000 m</st1:metricconverter> daltitude. Soudain, il pique presque jusquau sol, remonte aussi brusquement, et disparaît au-dessus des nuages.<o:p></o:p>
Pendant ces quelques minutes, la base a été complètement neutralisée et coupée de lextérieur.<o:p></o:p>
Fin octobre 1975, un OVNI. Brillant, « avec une antenne sortant du haut », survole pendant deux heurs une installation de missiles de lU.S. Air Force, en Montana.<o:p></o:p>
Cétait comme si lOVNI. Etait attiré par les missiles. Il stationnait juste au-dessus, ont raconté les membres du personnel de la base. Il était rond, avec déclatantes couleurs rouge, bleu et vert, il était de la grosseur dun avion commercial. Il semblait sarrêter et séloigner un peu, puis revenait. Aucun radar na enregistré lengin.<o:p></o:p>
4) Immobiliser les populations en interrompant les sources dénergie électrique, qui assurent une grande partie des transports en commun- y compris les ascenseurs ! léclairage et chauffage, et dune façon générale, la vie économique et sociale dun pays.<o:p></o:p>
Le 9 janvier 1954, un OVNI. Parcourt, pendant deux heures, le ciel de lEst de la France. Alors quil survole la région de Champlitte (Haute-Saône), une panne générale délectricité se produit. La lumière revient après la disparition de lOVNI.<o:p></o:p>
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En 1957, le passage dun grand OVNI. Provoque une panne générale à Tamaros (USA). Le courant revient quand lOVNI séloigne.<o:p></o:p>
Le 22 juillet 1958, Rome est à son tour plongée dans lobscurité quand passe un OVNI et la lumière revient quand il a disparu.<o:p></o:p>
Même phénomène le 6 décembre 1958, vers 23 heures, à Bari (Italie) survolée, à faible altitude, par un OVNI.<o:p></o:p>
Le 17 août 1959, en Argentine, dans létat de Minas Gerais, plusieurs OVNI. Survolent, à basse altitude, les stations de distribution du secteur électrique. Elles tombent en panne au fur et à mesure.<o:p></o:p>
A Uberlandia ? Le personnel, alerté par téléphone quelques minutes avant larrivée des OVNI., essaie de prévenir la panne, en tentant de refermer les sectionneurs qui avaient commencé, à souvrir. Ils ne peuvent y parvenir, la présence dun seul OVNI. Rendant vaines les mesures habituelles pour maintenir le courant. Ce dernier ne peut être rétabli quaprès le départ de lengin mystérieux ?<o:p></o:p>
Le 23 septembre 1965 marque le début dune impressionnante série de pannes : à Cuernava (Mexique), au moment où un OVNI. Survole la ville, toutes les lumières séteignent. Elles ne se rallument quaprès la disparition de lengin. Parmi les témoins : le Général Rafael Vega, commandant la subdivision militaire, Valentin Gonzalès, maire de la ville, et Emilio Riva Palacie, gouverneur de la province.<o:p></o:p>
Le 9 novembre, cest la panne gigantesque qui frappe le nord-ouest des États-Unis : trente millions daméricains sont pris au piège dans leur voiture, les métros, les ascenseurs, les ateliers, les bureaux. Les grandes sociétés productrices délectricités ne purent se mettre daccord sur lorigine de cet « incident », étrangement préfiguré dans ce film « Le jour où la Terre sarrêta ».<o:p></o:p>
Par contre, il est établi que des OVNI. Étaient apparus vers 16 h 30 au dessus de la Pennsylvanie, et quils furent pris en chasse par des avions. A 17 h 30, un OVNI. Piqua près de Syracuse, et ce fut la panne, qui sétendit en chaîne à une immense région.<o:p></o:p>
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Le 2 décembre, les quelques 700000 habitants du Texas, du Nouveau-Mexique et du Mexique sont privés de lumière. Cause officielle : mauvais fonctionnement dun régulateur dans une centrale de El Paso ? Mais pourquoi a-t-il mal fonctionné ? Réponse « officieuse » ; un OVNI est passé par là. Ce qui est excessivement grave dans cette affaire, cest que la panne priva délectricité dimportantes installations militaires comme la base aérienne de Holloman, le champ de tir des Wihite Sands, Fort Bliss, et de nombreux aéroports régionaux.<o:p></o:p>
Et la principale victime fut le président Johnson, qui se trouvait dans son ranch du Texas, et conversait avec lun de ses collaborateurs resté à la Maison Blanche, justement sur de possible intrusion extérieur à la planète : au beau milieu de leur entretien, la ligne sétait tue !<o:p></o:p>
Bases aériennes et base de missiles aveuglées, un président « sourd et muet » : quelle inquiétante constatation.<o:p></o:p>
Le 5 décembre, quarante mille foyers du sud-ouest du Texas sont frappés de la même cécité.<o:p></o:p>
Le 9 janvier 1966, un OVNI. Apparaît au-dessus de Naples, principale base de lO.T.A.N. en Méditerranée. Toutes les lumières séteignent, y compris celles de Capri. La panne dura quarante minutes et sétendit de Naples à Brindisi. Deux chasseurs américains tentèrent en vain dintercepter lOVNI.<o:p></o:p>
Le 24 décembre 1978, un OVNI. A mis hors dusage une petite centrale électrique, dans le massif montagneux du Grand Sasso, en Italie.<o:p></o:p>
A laube de ce jeudi, deux employés de la centrale de Prati di Tivo voient toutes les aiguilles des cadrans de contrôle devenir « folles », y compris celles des appareils hors dusage. Finalement, la centrale sarrête de fonctionner.<o:p></o:p>
Peu après, les deux employés voient, dans le ciel, une sphère lumineuse, avec des ailerons rouges, se déplaçant silencieusement pendant plusieurs minutes avant de disparaître derrière les cimes.<o:p></o:p>
Quelques instants plus tard, un autre témoin a vu le même appareil quil a photographié. Les instruments de mesure de la centrale électrique ont été mis hors dusage. Quand à la remise en marche dinstruments jusqualors en panne. « Il y a aucune explication rationnelle, pas même la foudre », disent les enquêteurs.<o:p></o:p>
Dans la nuit du 30 au 31 décembre 1978, cest au tour de Venezuela de connaître une gigantesque panne de courant. La cause de cette panne na pu être déterminée.<o:p></o:p>
Selon la presse vénézuélienne, de nombreux témoignages dobservations dengins, auraient été enregistrés après la coupure de courant.<o:p></o:p>
Le 23 octobre 1979, léclairage public du village de Villacalabuey, dans la province espagnole de Léon (<st1:metricconverter w:st="on" productid="300 km">300 km</st1:metricconverter> au nord de Madrid) sest éteint momentanément alors qui scintillaient dans le ciel des objets volants mystérieux. Des phares de tracteurs et les lampes de certaines demeures se sont également assombris, tandis que, selon les témoins, les OVNI. Lançaient de petits éclairs dune grande intensité. Tout est redevenu normal quand les OVNI. Se sont « éteints »<o:p></o:p>
Depuis les années 1980, certains États ne font plus mentions de ces pannes, pour éviter toute panique.<o:p></o:p>
Cette énumération fait apparaître brutalement laspect le plus inquiétant du dossier O.V.N.I. : nous serions mis totalement hors détat dopposer la moindre résistance à une invasion venue de lespace. <o:p></o:p>
Faut-il fermer les yeux, en affirmant, pour se rassurer, que les « OVNI. nexistent pas » ? Ou, au contraire, tenter de mettre au point des moyens de défense échappant à toute neutralisation ?<o:p></o:p>
Théoriquement, cette possibilité existe ? Des physiciens américains et russes se sont attaqué à létude des forces encore peu connues, mais fantastiques de lélectromagnétisme, et des courants magnétiques spiralés. Déjà dans les années 60 le professeur Motz, de lInstitut Stanford de Californie, affirmait ; <o:p></o:p>
« Lannihilation totale de la matière et sa création total à partir de lénergie sont les étapes prévisibles de la physique des prochaines décennies. »<o:p></o:p>
Lune des applications de cette physique de lan 2010 pourrait être mise au point de « champs subnucléaires », que Motz appelle aussi « champs inertiels », et qui ne sont en fait que des champs désintégrateurs.<o:p></o:p>
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Une arme terrifiante puisque tout ce que balaierait ce faisceau de particules serait anéanti. Une arme qui ne risquerait pas de se retourner contre ses utilisateurs, car il ny aurait pas de retombée radioactive comme avec les armes nucléaires actuelles.<o:p></o:p>
Le docteur Motz, dont les travaux ont été poursuivis depuis par dautres physiciens de linstitut Stanford, « Et aussi par des services secrets militaires » entrevoyait une autre possibilité offerte par les champs inertiels : créer, dans lespace (des satellites secrets mises sur orbite, possède ce genre darme) dans lespace, des barrières de forces, véritables boucliers invisibles sur lesquels viendraient sécraser les missiles ennemis et les OVNI ?, pour ce dernier cela me semble légèrement prétentieux de notre part ?<o:p></o:p>
Ce serait la seule parade possible.<o:p></o:p>
Et le simple bon sens exige de pousser au maximum les recherches dans cette voie, car léventualité dune agression est dans la logique du Futur : il y aura fatalement un contact entre terriens et des êtres venus dun autre monde, ou des autres mondes. Tout à la lumière des éléments recueillis depuis des dizaines dannées, et analysés ici, laisse redouter que ces êtres viennent en conquérants, pas tous je lespère pour les futures générations.<o:p></o:p>
Que feraient nos pauvres terriens avec leurs fusées, bloquées au font de leurs silos coupés des salles de commandements, si, demain les Extraterrestres, déclenchaient « lOpérations Terre » ?<o:p></o:p>
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Pour info, nous pensons que le dernier accident survenu a cause dune interruption de courant, et lavion Rafale de lescadron « Provence de la base de Saint-Dizier », le jeudi 6 décembre 2007 à 18 h 20 dans la commune de Neuvic (Corrèze), avec a son le commandant Fréderic Salamo. Il ny a eu aucune explication officielle.<o:p></o:p>
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Sources : Documents recherches Services de renseignements<o:p></o:p>
Militaires, rapports des journalistes, Charles GARREAU<o:p></o:p>
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Courton le bas le 12 mai 2008 <o:p></o:p>
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Claude BURKEL
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